Contribution du Pr Abdellali Merdaci – Le bachagha Boualem et l’antisémitisme

Boualem Sansal
Boualem Sansal. D. R.

Par Pr Abdellali Merdaci – Paris fait grand bruit de meurtres crapuleux, en 2017 et en 2018, de deux vieilles dames françaises de confession juive – et, seulement, en raison de cela. Les assassins, vite identifiés, des Français, pas nécessairement des musulmans, sont des voisins connus des victimes, de leur famille et de leur entourage. Dans une France où tout ce qui touche aux juifs et au sionisme tueur d’enfants à Ghaza et spoliateur de terres palestiniennes, est suspect d’antisémitisme, ces meurtres ont été, sous une forte pression médiatique dans le cas de Sarah Halimi, et sans le préalable de l’enquête judiciaire, pour Mireille Knoll, qualifiés de «meurtres antisémites». La mort violente de deux Françaises est condamnable et tout autant les voyous qui l’ont infligée. Or, ces deux meurtres, notamment celui de Mireille Knoll commis par des délinquants notoires avinés, sont attribués à l’islam, suscitant en France une imparable levée de boucliers contre un «nouvel antisémitisme».

Un manifeste, signé par trois cents personnalités des champs intellectuel, artistique, littéraire et politique français, initié par le journaliste Philippe Val, ancien directeur de Charlie Hebdo, publié dans l’édition du Parisien du 22 avril 2018, évoque «une épuration ethnique à bas bruit». En fait, si le sens des mots n’est pas dévoyé – Dachau, Buchenwald, Treblinka, les camps et la solution finale nazie dans la France du XXIe siècle –, pourquoi une criminalité ordinaire, qui relève du commissariat de police de quartier, ruinerait-elle l’unité de la République française, longtemps première puissance coloniale dans le monde, aujourd’hui fer de lance, politique et militaire, de l’Union européenne, capable de mener de terribles guerres punitives hors de son territoire ? Où est, en l’espèce, la juste mesure de ce battage médiatique ?

Cette charge bruyante contre un «nouvel antisémitisme» n’est pas sans arrière-pensées étroitement politiques. Il est illusoire de croire qu’il existe un islam spécifiquement français qu’un gouvernement, réputé laïc, devrait réformer à l’échelle de mœurs occidentales. Les islamologues de l’université française savent parfaitement qu’hors de l’ijtihad, le texte du Coran n’est ni amendable ni corruptible. Ce débat, porté par les droites en France, vise expressément l’islam et les musulmans, qui seraient inassimilables à la règle occidentale et à la tradition judéo-chrétienne, échappant aux normes de son droit. Voilà les éléments d’un contre-récit national français : depuis plus d’un demi-siècle, au gré du démantèlement de son ancien empire colonial en Afrique et en Asie, la France a admis sur son sol et naturalisé des millions de ressortissants étrangers, principalement de pays maghrébins et subsahariens, désormais acteurs d’une société multiculturelle, éloignée de l’image surannée de «fille aînée de l’Eglise», désespérant le crédo «nos ancêtres les Gaulois» de l’historien Ernest Lavisse et déclassant les valeurs héritées de la Ire République, «Liberté, Egalité, Fraternité», vieilles lunes sur les frontons de ses institutions publiques.

Il est indéniable, aujourd’hui, que cette «France nouvelle», premier pays musulman d’Europe, où l’élément blanc fondamental s’estompe dans ses territoires de la précarité, inquiète l’académicien Alain Finkielkraut et ses épigones. A terme, le croît démographique arabo-africain, foncièrement musulman, prendra le dessus dans les cités, singulièrement. Et, épisodiquement, des Français, de confession juive, s’y sentiront à l’étroit et même menacés, pour les quitter. Est-ce là «l’épuration ethnique» dénoncée par Val et ses amis ? Beaucoup de Français refusent cette situation et ont, certainement, d’évidents motifs de la refuser ; mais elle a été créée et imposée par leurs gouvernants. Longtemps pays colonisateur, la France sera inévitablement à son tour colonisée par des populations de cultures différentes, naturalisées françaises, défendues par ses lois et aussi par celles de l’Union européenne, qui ne croient en sa démocratie que dans la stricte limite où elle sert leurs attentes.

Ces néo-Français ont pris place au centre du pouvoir politique. Les Français connaissent, déjà, des ministres d’origine arabo-musulmane dans les gouvernements de leur pays – le général De Gaulle y avait appelé Mademoiselle Sid-Cara (Mila, Algérie) et, à sa suite, les présidents Sarkozy, Hollande et Macron auront leurs ministres de la «diversité» ; et un président de la République issu de la communauté arabo-musulmane n’est plus à exclure. Les vaticinations littéraires de Michel Houellebecq (Soumission, Paris, Flammarion, 2015) entrent-elles ainsi de plain-pied dans la réalité d’une France subjuguée, faisant corps contre son islam et ses musulmans ?

L’islamophobie, bien réelle dans le discours de l’intelligentsia française médiatique, explose en prurits saisonniers. Le manifeste de Philippe Val et de ses trois cents cosignataires sur un «nouvel antisémitisme», absolument musulman, en est l’exemple ravivé. En quoi cette nouvelle agitation islamophobe d’élites parisiennes, liée à la question irrésolue de la sensible et inéluctable transformation de la population française au décours de siècles coloniaux, intéresse-t-elle les Algériens ? Lorsqu’à Paris, les jactances, nocturnes et débridées, sont tirées contre l’islam, il n’est pas exclu d’y trouver en bonne position Boualem Sansal, sa toge purpurine de bachagha félon et ses breloques de la France littéraire, qui n’a jamais fléchi dans sa haine de l’islam, des musulmans et de son pays natal.

Dans le manifeste de Philippe Val, il est juste de retenir cet appel angoissé, ultime et symptomatique avertissement avant la chute : «Avant que la France ne soit plus la France». Appartient-il légitimement à un Algérien – Sansal l’est-il encore ? – de se préoccuper de ce que la France doit – ou ne doit pas – être ?

Plus français que les Français, plus juif que les juifs

Pour comprendre cet activisme malséant du bachagha «Boualem» des lettres algériennes, traînant sa litanie de vilénies et de forfaitures, il faut revenir aux éléments décisifs de son parcours, qui intéresse aussi bien la science politique que l’histoire littéraire. Au départ, rien ne prédestinait à une carrière littéraire ce lecteur de Jean Bruce et James Hadley Chase (dans des traductions) qui, pour ce qui ressort de la littérature algérienne, ne s’autorisait que du voisinage du défunt Rachid Mimouni, qui lui aura servi de commode caution à ses débuts. La seule écriture dont peut se réclamer Boualem Sansal, dans laquelle il aura excellé, est celle du haut commis de l’Etat au ministère de l’Industrie où il aura, tout au long des années 1980 et 1990, crânement mis en musique la déstructuration du tissu industriel algérien, décidée par le président Chadli Bendjedid, sur injonction des experts du FMI et de la Banque mondiale, et continuée par ses successeurs. Une écriture grumeleuse, aux encres fétides, charriant des résidus inaltérables d’un style de perfide bureaucratie casquée, quasi-révulsant, qui vous fait tomber ses récits des mains, parfois dès la troisième page.

Après un quart de siècle de sombres magouilles dans les cabinets ministériels, adoubé par les services de sécurité et le défunt article 120 des statuts du FLN, Sansal s’est projeté dans l’habit du romancier, trop large pour ses maigres dispositions intellectuelles et littéraires. Il est entré par effraction dans la coterie des lettres et il y a prospéré non pas par la qualité de sa langue littéraire et par son inventivité, mais par un opportunisme forcené.

En 1999, les éditions Gallimard, à Paris, puissant groupe éditorial, publient, au sortir de la crise politique et militaire qui a bouleversé l’Algérie des années 1990, un roman que l’auteur a envoyé par la poste. Le Serment des barbares a été hissé sur le pavois non pas par la France, ses lecteurs et ses journaux littéraires, mais par les Algériens qui ne l’avaient même pas lu. L’estampille Gallimard était une garantie. Trois autres opus (L’Enfant fou de l’arbre creux, 2000 ; Dis-moi le paradis, 2003 ; Harraga, 2005) ont suivi, marqués par l’échec. Cependant, le haut fonctionnaire entendait préserver ses droits à une carrière protégée dans les rouages de l’Etat, tout en aiguisant une critique à l’os contre le président Bouteflika et son imprenable «système», ce même «système» qu’il a servi de longues décennies comme une gagneuse décatie, sans trouver à y redire. En 2003, le président Bouteflika, excédé, qui trouvait intolérable cette déloyauté d’un factotum enluminé envers la main qui le nourrissait, signait son renvoi avec effet immédiat de la haute administration.

Sans emploi, piètre écrivain pour forcer les portes du succès, Boualem Sansal décide de faire le choix gagnant d’Israël et du sionisme pour relancer une carrière littéraire sans retentissement. Il en donne, en 2008, le vif témoignage dans Le Village de l’Allemand. Le Journal des frères Schiller et dans ses nombreuses interventions dans les médias français en marge de ce roman, couronné par de prodigieuses ventes et traduit en plusieurs langues. Sansal a trouvé la recette du succès littéraire en France. Taper sur l’Algérie et les Algériens, tout en s’appropriant une conscience juive malheureuse. Mais l’incrimination nazie de l’ALN, et au-delà de ses rangs, du mouvement national, au cœur de son récit, reste caricaturale.

Tour à tour, à la parution de l’ouvrage, Mohamed Bouhamidi, le regretté Omar Mokhtar Chaalal, Rachid Lourdjane, l’auteur de ces lignes (Algérie, une suite allemande, Constantine, Médersa, 2008) et, récemment Rachid Boudjedra (Les Contrebandiers de l’Histoire, Tizi Ouzou, Les Editions Frantz Fanon, 2017) ont démonté le fragile écheveau projeté par Sansal : la Guerre de libération nationale, œuvre d’une armée nazie et les Algériens, irrécupérables fomenteurs de pogroms. Mais l’écrivain, recruté demi-solde du sionisme international, avait donné de solides gages pour mériter l’appui sordide de Pierre Assouline, chef de file du lobby sioniste dans le champ littéraire français, et de sa compagnie de plumitifs égrotants.

En 2011, dans Darwin, son sixième roman, outre l’hommage appuyé à Pierre Assouline, Sansal revendique la parentèle d’une maquerelle des bordels du piémont de l’Ouarsenis et une filiation juive. La suite est connue : le voyage en Israël, la kippa au Mur des Lamentations, au printemps 2012, les interventions intempestives aux diners du Crif où il s’affirmait plus juif que les juifs, répétant à l’envi que les Palestiniens n’ont jamais envisagé d’avoir une terre à eux et leur indépendance, promouvant l’alaya des juifs français auprès d’Israël, et, plus français que les Français, regrettant de voir la France se dépeupler de ses juifs. En 2014, il s’en prenait publiquement à Irène Bokova, alors directrice générale de l’Unesco, à propos d’une manifestation célébrant Israël, déprogrammée à la demande des ambassadeurs de la Ligue arabe auprès de l’institution. Il parlait alors d’une même voix que Benjamin Netanyahou, qui l’avait inscrit au comité d’organisation de cette manifestation sioniste.

Israël, les juifs et le sionisme : un providentiel marchepied

Il est clair que le bachagha «Boualem» peut écrire mille romans, soigneusement colligés par son directeur de collection chez Gallimard, Jean-Marie Laclavetine, il n’aura jamais le talent de Mouloud Feraoun (d’après Le Fils du pauvre, 1950-1954), Mouloud Mammeri, Mohammed Dib, Kateb Yacine, Malek Haddad et Rachid Boudjedra. Et, pourtant, ces auteurs d’œuvres algériennes, exceptionnellement fécondes par leur langue littéraire, n’ont pas reçu, en leur temps d’errance et d’exclusion, de significatives récompenses françaises. Le rabouilleur Sansal y est constamment poussé et magnifié : c’est, aujourd’hui, l’écrivain le plus primé, en France, de la littérature algérienne de langue française.

Dans l’univers des lettres parisiennes, son activisme pro-sioniste n’aura pas été vain. Il ne le sera pas davantage pour son féal Kamel Daoud, auteur en 2014 d’un récit emberlificoté, réécrit pour le lectorat français par son éditeur Actes Sud, propulsé au sommet de la littérature française par le même Assouline, quasiment «scotché» par son indifférence proclamée et surjouée envers les Palestiniens, massacrés par l’armée israélienne dans la bande de Ghaza (opération «Plomb durci», printemps-été 2014) au moment où était diffusé en librairie son Meursault. Le trublion oranais recevait et acceptait sans barguigner la pesante protection du boucher de Tripoli, Bernard-Henri Lévy.

Cependant, Sansal n’est mû que par de fracassantes ambitions de gloire littéraire et il est convaincu de l’urgence de maintenir son soutien public au sionisme et au néocolonialisme français, allant dans ce registre jusqu’à assimiler les combattants et martyrs de la Bataille d’Alger, en 1957, au terroriste islamiste endeuillant la ville de Nice, au mois de juillet 2016. Ce soutien, toujours renouvelé, reste pour lui une assurée et payante stratégie d’écrivain. Dans les faits, cette stratégie roublarde, marquée au sceau de l’insincérité, enregistre de trop visibles ratés. Ainsi sur l’antisémitisme, intolérable en toutes ses manifestations.

Au mois de janvier 2018, courant au secours d’Antoine Gallimard, son éditeur et bienfaiteur, projetant de publier intégralement les pamphlets antisémites de Louis-Ferdinand Céline (Bagatelles pour un massacre, 1937 ; L’Ecole des cadavres, 1938 ; Les Beaux draps, 1941), le bachagha «Boualem» déclarait à l’hebdomadaire parisien L’Obs (n° 2774, 4-10 janvier 2018) que «les livres de Céline ne vont ni augmenter ni diminuer l’antisémitisme». Et, il donnait licence à cet antisémitisme au nom de la liberté d’expression : «Le Céline des pamphlets ne vaut pas le coup de risquer de ruiner cette chose miraculeuse qu’est la liberté d’expression, dont la liberté d’édition est le vecteur et le levier». Ces propos cyniques sont proférés au moment où l’écrivain Alain Soral et son comparse l’humoriste Dieudonné M’bala M’bala étaient poursuivis et condamnés par un tribunal parisien pour écrits et propos antisémites. Annick Duraffour et Pierre-André Taguieff ont établi dans un ouvrage documenté (Céline, la race, le juif. Légende littéraire et vérité historique, Paris, Fayard, 2017) la virulence des pamphlets antisémites de Céline, qui, sur le long terme, seraient plus préjudiciables que les couteaux des «racailles» à capuche des banlieues françaises.

Lorsque son éditeur est en cause, Sansal navigue dans les eaux putrides de l’inconstance, faisant prévaloir sur l’antisémitisme des positions à géométrie variable. Son philosémitisme circonstancié est temporairement rangé au tiroir des farces et attrapes. Il estime subséquemment qu’il faut laisser s’exprimer le Céline rageusement antisémite dont les pamphlets sont autrement plus dangereux et pernicieux que des voyous assassins de vieilles dames à Paris. C’est ce même Sansal, chevalier blanc de la liberté d’expression, qui milite pour une diffusion à grande échelle de la littérature antisémite de Céline, qui s’associe, en ce mois d’avril 2018, à la publication d’un ouvrage collectif Le Nouvel antisémitisme en France (Paris, Albin Michel), introduit par l’islamophobe décomplexée Elisabeth De Fontenay, dont le seul objectif de mettre l’islam au ban de la société française et de crier : «L’Islam, voilà l’ennemi !». Cette fatrasie islamophobe est écrite, selon la presse française, «avec l’énergie de la colère». Ce qui n’en fait pas précisément une référence d’objectivité.

Certes, cette colère, le bachagha des lettres algériennes n’en a pas manqué chaque fois qu’il s’est agi, répondant aux desiderata de ses commanditaires, de dresser des bûchers pour cramer l’islam, les Arabes, les musulmans, l’impénétrable «système» d’Alger, les Algériens et leur guerre anticoloniale bassement insultés, auxquels il opposera son origine marocaine comme pour s’en prévenir et s’en démarquer. A cet exercice de tireur embusqué, le bachagha scélérat, premier de cordée de la harka «mtornie», est infaillible. Il sait qu’à Paris et en Occident cette disponibilité à tirer – «dans le dos», comme les harkis, de sinistre mémoire – est extrêmement rentable en termes d’exposition médiatique, de ventes en librairies et de traductions internationales de ses ouvrages. Et même l’Académie française s’y est compromise pour entrer dans le cloaque de l’indignité en attribuant son grand prix du roman à l’indigeste 2084. La fin du monde (2015), au moment où les jurés Goncourt, en conclave à Tunis, se gardaient prudemment de s’y brûler les ailes.

Cette course effrénée aux prix littéraires, cet écrivain médiocre ne l’a pas entreprise seul, sans relais. Jusqu’à quel point ses alliés, les agents du sionisme dans le champ littéraire français, qui font et défont les notoriétés, en payant d’infrangibles succès et fortunes littéraires leurs affidés arabo-musulmans sans foi ni loi, y souscriront-ils encore ? La stratégie d’écrivain de Boualem Sansal, assujettie au sionisme international et au néocolonialisme français, ses postures invraisemblables d’imprécateur avachi, ne supporteront pas longtemps le poids de l’inconséquence. Elles sont condamnées à l’épuisement. Il faudra bien qu’elles apparaissent pour ce qu’elles sont : un infâme opportunisme d’un castrat de l’écriture plus proche du style injonctif et du papier pelure de l’administration que du bonheur de la créativité littéraire.

A. M.

Comment (51)

    ZOULIKHA EL AURASSIA
    29 avril 2018 - 9 h 00 min

    C’est clair et plus que normal dans la mesure où son nom rime parfaitement avec : SANG….. SALE ! Sans commentaire.

      الهوارية
      29 avril 2018 - 11 h 42 min

      Moi je dirais tortionnaire: celui torture avec la chaine en fer, ou la cravache, sansla

    Amine
    28 avril 2018 - 18 h 47 min

    Triste personnage ce sieur Sensal. Une vraie imposture, aux antipodes ce qu’il prétendre être.Un opportuniste né, qui a vite compris en se jettant dans les bras d’un lobbying clairement anti-muslmans, défensurs de la fameuse thèse du grand remplacement, allait lui ouvrir les portes de la gloire littéraire, à coup de récompenses et de plateaux télé à profusion, or le mec n’a rien compris au chapitre. Il est juste un élément éjectable manipulable à merci, un harki méprisable qui nous rapelle ces harkis au lendemain de l’indépendance de l’Algérie, arrivèrent en France parkés comme des lépreux dans des zones d’isolation avec le mépris dont on sait l’origine. Time questio comme disent les anglais, pour le jeter à la poubelle au moment opportun.

    Ce nostalgique de la période coloniale, et de sa Rouiba où regnait cette douceur de vie comme il le dit à l’occidental, nie les siens à commencer par sa mère et son père. Ces parents fréquentèrent t-ils l’école du colonisateur? la réponse est NON.. Un crime colonial qui en dit long sur la nature d’un colon, qui a ouevré pendant 132 ans à fabriqué des gens ignorants, corviables à merci. Ainsi des Fatmas, continuent à entretenir cette supériorité fantasmée du blanc.

    En signant cette tribune de la honte, Sieur Sensal , se tire une balle dans le pied, et s’engage désormais dans le mépris des siens à commences par sa propre famille… Ainsi est l’histoire, faite de traîtres et d’imposteurs.

    benchikh
    28 avril 2018 - 6 h 39 min

    à la place de Mr Sansal ,je remercie l’Etat Algérien et le peuple Algérien de m’avoir donner cette chance à Boumerdes de vivre avec dignité et d’avoir étudié gratuitement jusqu’à l’université sans payer un sou ,et que cette je ne l’aurai jamais eu cette chance sur le sol Français.De rien Mr Sansal l’Algérie à un bon coeur et un grand état .

    TOZ
    27 avril 2018 - 23 h 31 min

    Boualem Sansal est un marocain du Rif, ce n’est pas un Algérien ( voir Wikipédia ), il l’a dit lui même lors d’une interview visible sur Youtube, et on en a suffisamment parlé ici même sur A P l’an dernier.

    Anonyme
    27 avril 2018 - 22 h 51 min

    Mais sansal est effectivement juif,c tout simple. Cherchez sa généalogie et vous verrez,mais juif d’origine récente,car si on remonte loin dans le temps beaucoup de familles algériennes le sont.

    Anonyme
    27 avril 2018 - 20 h 27 min

    Si vous me donnez le choix entre un nationaliste et un traitre , je préfère de loin le nationaliste alors que le traitre a sa nation il peut aussi vendre aussi sa mère et son père sa propre famille et ca lui fais rien mais ca n engage que moi .

    Karim
    27 avril 2018 - 20 h 08 min

    Tradition et civilisation judéo-chrétienne, c’est un concept inventé par les juifs pour pour gagner les Chrétiens à la cause sioniste. La preuve est que les juifs ont été persécutés pendant des siècles en Europe. Il serait plus adéquat de parler de civilisation chrétienne.Les juifs n’ont laissé aucun vestige historique qui puisse témoigner de leur histoire. Allez chercher le pourquoi.

      Anonyme
      6 mai 2018 - 15 h 02 min

      Concept inventer par un journaliste new-yorkais dans les années 70

    Anonyme
    27 avril 2018 - 19 h 48 min

    Le courage et la témérité intellectuelle de nos artistes et écrivains a toujours effrayé et désarçonné la sous culture du café maure et des hal9qates.

    Slam
    27 avril 2018 - 19 h 07 min

    Quand ce nest pas Kamel Daoud, c’est Sansal, quand ce n’est pas Sansal c’est Kamel Daoud. On tourne en rond dans la léthargie sous-culturée de nos contributeurs qui n’arrivent pas à à admettre l’évidence : Etre un écrivain, un penseur, cela suppose une dose de courage intellectuel pour sortir du troupeau. Sortir de son nationalisme abrutissant et épouser une dimension universelle. Avec ses valeurs et ses exigences. Sinon on reste à la maison comme (…) Respect Mr Sansal ! Vos prises de positions dénotent votre liberté et votre indépendance d’esprit (…)

      Anonyme
      27 avril 2018 - 20 h 40 min

      Pour avoir un certains courage intellectuel il faut déjà combattre l injustice chez soi ; bcps d intellectuels sont morts en Algérie pdt la décennie noire pour combattre l obscurantisme et ils ont payé de leurs vies ; oui eux je les respecte et je les considères comme des martyrs de l Algérie , ne me compare pas un lâche usurpateur qui crache sur son pays d origine chez les autres à ses intellectuels morts en Algerie et ni à des martin Luther King ou bien des Nelson Mandela qui se sont battus avec paix et intelligence ctre l injustice chez eux et en n ont payé un lourd tribu . Sansal c’est tt le contraire c est un lâche et un traitre qui crache sur l Algérie et son peuple quelque part et s assoie à table avec Macron en Algérie pour narguer l Algérie et essai de nous humilier en nous provoquant chez nous en Algérie donc l Algérie et son peuple .bcps d algériens écrivains intellectuel et autres s opposent et critiquent le pouvoir et ceux qui ne va pas , ils ont pas attendu Sansal.

        Slam
        28 avril 2018 - 9 h 03 min

        Je crois que vous confondez les Genres. Sansal est connu pour être un écrivain, pas un Leader d’opinion ou dirigeant politique comme les héros que vous citez. Sansal écrit des romans. Il prend des positions en tant qu’écrivain. On aime ou on n’aime pas ses romans ou ses positions, il reste un écrivain. Et coté littérature il se débrouille très bien, n’en déplaise à nos chers « contributeurs »…

          Anonyme
          28 avril 2018 - 17 h 40 min

          je confond rien je vs parle de tt les écrivains algériens en Algérie qui ne sont pas forcement militant ou autres ; tt simplement des intellectuels , c est pas le seul unique et isolé comme vs voulez bien le prétendre. ca reste un traitre à l Algérie et nos services compétents et le reste de l Algérie le savent et ca me suffit largement.

        Anonyme
        28 avril 2018 - 18 h 12 min

        Ses prises de positions dénotent sa vassalité à la France néo-coloniale et un retour à ses sources juives .l’intellectuel n’est pas celui qui noircit le papier mais celui se rend utile à la société par ses inventions où sa contribution à l’effort de développement de son pays. Ton Sansal est un écrivaillon qui n’a d’autre ressource que vendre son âme pour remplir son ventre.Point barre. N’essayez pas de pervertir la définition de la liberté de pensée en amendant un vendu.

          Slam
          29 avril 2018 - 16 h 20 min

          Libre à vous à vous d’apprécier les écrivains-fln qui écrivent « tahia el djazair » sur toutes les pages de leurs romans. c’est peut-être votre style de littérature, je la respecte. Moi j’ai lu les romans de Sansal et ils me plaisent autant que ceux de Kamel Daoud ou Yasmina Khadra. Pas de nationalisme chauvin et abrutissant, il nous révèle nos propres tares. Oui il a le droit de soutenir les juifs. Oui il a le droit de critiquer les musulmans. oui il est LIBRE. Et cette liberté profite à vous aussi qui avez le droit de l’insulter et le menacer sans avoir jamais avoir lu une page de ses romans.

    TOLGA ZAÂTCHA
    27 avril 2018 - 17 h 37 min

    Ce mec est un pauvre type. J’en suis totalement convaincu à présent. Je lui avais donné une sorte de bénéfice du doute mais plus à présent. Car il est ébloui par les feux de la rampe, malheureusement. Il veut à tout prix devenir célèbre sur les corps des Algériens, des Arabes et des Musulmans en les insultant sur ordres de l’empire satanique judéo-franc-maçon qui l’utilisera à mort jusqu’au jour où ils le lâcheront en le jetant comme un Kleenex….. Il a, non seulement une mentalité de complexé face à l’intelligentsia occidentale mais bien pire que cela il a une véritable haine de soi et de ce qu’il est.

    Anonyme
    27 avril 2018 - 17 h 14 min

    si il continu s attaquer ou a verser son venin contre l Algérie ; nous les algériens de France les vrais nous allons lui tiré les cheveux juste comme ca juste par plaisirs pour lui rappeler qu on philosophe pas nous , on NTM toi et tes sionistes . on est la dans chaque quartiers difficiles en France ; vous nous avez oublié!

    Selecto
    27 avril 2018 - 15 h 25 min

    Il y a un paramètre que les écrivains Algériens ou d’origines connaissent pour avoir une promotion ou un prix littéraire en France qui n’a rien à voir avec le talent.

    Nos écrivains connaissent le nom de celui qui décide de leur sort à savoir le Marocain Tahar Bendjelloune qui est chargé officiellement par l’Académie française de l’étude et de l’attribution des prix aux écrivains  » Maghrébins », Assia Djebbar le savait elle ne ratait pas une occasion pour déclarer que la seule ville où elle se sentait heureuse c’était Marrakech et deux semaines avant son admission à l’Académie française elle a déclarée dans le journal Le Monde qu’elle souffrait toujours de son éducation musulmane.

    L’insulte de l’Algérie et de sa Révolution est un gage et un paramétrè de réussite pour nos écrivains tant que Tahar Bendjelloune est en service.

    Pour les cinéastes aussi, présenter l’Algérie et l’Algérien sous une mauvaise posture c’est la porte ouverte des sociétés de distributions et des subventions.

    Amine
    27 avril 2018 - 14 h 54 min

    S’attaquer à l’Algérie implique s’attaquer à son peuple, nos mères, nos pères, nos frères et sœurs, amis, voisins, collègues et surtout salir la mémoire de celles et ceux qui ont subis les affres du colonialisme. S’attaquer à son propre pays revient à le renier. A mon avis que M. Sansal prenne son courage à deux mains et demande l’annulation (la déchéance) de sa nationalité algérienne. Ceci est pour notre pays.
    Quant à la religion, soutenir (avec certains « imams ») dans la fameuse lettre que le Coran devrait être corrigé, moi je dirai comme l’a dit le grand-père du Prophète (saw) l’année de l’éléphant lorsqu’il est partit voir Abraha pour lui demander de lui rendre ses chameaux « La Kaaba a un Dieu qui la protège ». Personne et rien ne pourra altérer le Saint Coran, c’est une constante et une promesse de Dieu, mais rien n’est sûr pour l’Algérie. Les coups viennent de l’intérieur et des enfants qu’elle a allaité. Soyons vigilants et unis.

    Anonyme
    27 avril 2018 - 14 h 14 min

    Un jeune couple venait de s’installer dans un nouveau quartier. Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait son linge. « Quel linge sale! dit-elle. Elle ne sait pas laver. Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive ». Son mari regarda la scène mais garda le silence. C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge. Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari : « Regarde! Elle a enfin appris à laver son linge maintenant. Qui le lui a enseigné ? » Le mari répondit: « Personne, je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre maison ! » Moralité : Parfois tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits. Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord la qualité de notre regard. Alors, nous pourrions voir avec clarté, la limpidité du cœur des autres.

    Mme CH
    27 avril 2018 - 14 h 03 min

    Aya Boualem Zid El Goudem…jusqu’au mur de lamentation pour pleurer comme une madeleine sur votre sort..! La photo est très expressive…!!!
    Un article de haute facture présenté par Mr Merdaci…chapeau bas!
    Un sioniste avéré qui est déjà allé en 2012 à « Jérusalem » Al Qods pour les amnésiques, pour effectuer son célèbre pèlerinage au mur de lamentation, sa façon honteuse et dégradante de prêter allégeance à Israël. C’est ce Larbin sans foi ni loi qui a «adressé une lettre à la directrice de l’Unesco, Irina Bokova, pour se plaindre de l’annulation d’une exposition prévue au siège de l’organisation internationale et intitulée: « Les 3 500 ans de relations entre le peuple juif et la Terre sainte »…
    Effectivement, comme je l’ai déjà dit, les assoiffés de notoriété à bas prix, autrement dit les traîtres, ont trouvé la recette infecte et indigeste pour se faire connaitre et recevoir des prix (des os), de la part des organisations infestées d’étoiles bleues, c’est de scier leur pays, leurs compatriotes, renier leur religion, leur identité, etc.etc.!!! La poubelle de l’Histoire vous attend… Hélas, ce genre d’énergumènes existe toujours en Algérie…!!

    Sansal Et le Roi Soleil
    27 avril 2018 - 13 h 22 min

    Sansal est un opportuniste sournois. En mal de gloire littéraire, il a compris que faire des pleurnicheries du CRIF ‘malheureux’ un fond de commerce lui ouvrirait toutes grandes les portes de l’Élysée et le mettrait sous les feux de la rampe. Ambitieux, il a frappé fort en signant ce manifeste. Ce coup ci, parole de Sansal, il parviendra à coup sûr, à faire atterrir ses romans, relevés à la sauce pro juive, pro sioniste et islamophobe, sur la table de chevet de Jupiter. Forcément, il y’a concurrence!
    Quel triste aveu, Sansal se trompe d’époque. Il s’imagine courtisan, à la recherche des faveurs de Louis XIV.
    Sansal doit surpasser tous ses concurrents pour amuser la cour et divertir sa majesté Le Roi Soleil.

    DYHIA-DZ
    27 avril 2018 - 12 h 31 min

    WOW ! Quel article !! Cet article doit être conservé dans les archives pour les générations futures.
    Ainsi, on comprend bien le profil psychologique de Sensal, assoiffé de la reconnaissance (complexe d’infériorité) qui s’est offert corps et âme aux ennemis de sa patrie. À force de vouloir exister, il s’est métamorphosé en un minable valet.

    Kahina-DZ
    27 avril 2018 - 12 h 13 min

    Votre article est un chef-d’œuvre où les zones sombres de l’histoire du pseudo-Algérien Sensal ont été bien clarifiées. On comprend mieux l’âme satanique de cet écrivain préfabriqué.

    Sensal a cessé d’être Algérien, il est dans la peau d’un marocain au service de ceux qui l’on créée ( les sionistes).
    Les sans cerveaux qui aspirent à une carrière qu’ils ne méritent pas vendent leur âme au sionisme…C’est la règle générale.

    Abou Stroff
    27 avril 2018 - 11 h 57 min

    pour éviter de patauger dans la phraséologie creuse (en surdimensionnant des lieux communs) ou dans l’onanisme burlesque (traiter sansal de tous les noms d’oiseau, par exemple), pourquoi les intellectuels arabo-muslims, anti-sionistes, « plus nationalistes qu’eux tu meurs », ne se retrouvent ils pas autour d’une table garnie de thé et de baklawa pour signer une contre-pétition et montrer au monde entier que l’anti-sémitisme est une invention de l’impérialo-sioniste soutenue par la réaction et alimenté par tous ceux qui jalousent aussi bien la religion musulmane, sommet indépassable de la pensée humaine que les musulmans, référence et modèle incontournables de l’humanité dans son entièreté.
    moralité de l’histoire: les sionistes, en général et l’entité sioniste, en particulier sont forts parce que les « arabo-muslims » sont faibles et les arabo-muslims sont faibles parce qu’ils croient être le nombril du monde alors qu’ils sont, depuis la découverte de l’Amérique et le contournement de l’Afrique par les capitalistes dans leur « odyssée » ou processus de conquête du monde, dépassés par l’histoire qui se fait sans eux. en d’autres termes, que les arabo-muslims se regardent dans une glace pour découvrir la face hideuse qu’ils arborent.

    Mahmoud
    27 avril 2018 - 11 h 51 min

    Votre article me rappelle le style des polémiste nord coréen quand ils s’attaque aux occidentaux.Sansal est un grand écrivain et lui attribuer les qualificatifs de sioniste et harki sont injustes et faux.Il pose un regard critique sur les falsifications de l’histoire de notre pays,sur les dérives de l’integrisme islamiste et sur les larbins du pouvoir ridicule qui se maintient grâce au mensonges et à la corruption.

      Anonyme
      27 avril 2018 - 12 h 58 min

      alors pourquoi cette proximité avec des personnages douteux pour ne pas dire d’extreme droite,qui dénoncent ce prétendu anti-semitisme répandu dans les banlieues,alors que ce probleme est marginal est avant tout lié a l’importation du conflit israelo-palestinien et ne concerne pas la géneralité de tous les musulmans,contrairement a ce que veut démontrer ce manifeste,ce qui est grave

    Nadjma
    27 avril 2018 - 11 h 37 min

    Extrait de la biographie Boualem Sansal publiée sur Wikipédia « Boualem Sansal (en arabe : بوعلام صنصال), né le 15 octobre 1949 à Theniet El Had, petit village des monts de l’Ouarsenis. Le père de Boualem Sansal, Abdelkader Sansal, est issu d’une famille aisée rifaine ayant fui le Maroc pour l’Algérie, et sa mère Khadjidja Benallouche a reçu une éducation « à la française » (elle a le brevet).
    Ben alors il est marocain, ça se comprends mieux, je trouvais aussi que la nature même de sa haine envers l’Algérie était différente de celle des harkis ordinaires;

      ZAHRA
      28 avril 2018 - 12 h 04 min

      Sa maman BENALLOUCHE porte un nom juif. C’est vrai ! Ce n’est pas une blague. Son nom vient de ALLOUCHE qui est un nom juif Algérien. C’est comme les BENDAOUD et autres noms juifs à consonances arabes….

    tarzan
    27 avril 2018 - 11 h 36 min

    K. Daoud est originaire de la ville de Mostaganem et n’est donc pas oranais.

    lhadi
    27 avril 2018 - 11 h 30 min

    Au delà de l’aspect répugnant de ce manifeste, il ne suffit pas de grand chose pour se rendre compte qu’une une des techniques de manipulation de ces aficionado du sionisme, par ailleurs beaucoup utilisée dans notre quotidien, consiste, pour des desseins inavoués, à utiliser le registre émotionnel qui permet d’ouvrir un accès à l’inconscient afin d’y implanter certains désirs, idées, peurs, pulsions ou comportements.

    Qu’à cela ne tienne, la foi des musulmans est plus difficile à ébranler que la haine des cavaliers de l’apocalypse.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Anonyme
    27 avril 2018 - 10 h 15 min

    Sansal harki, » mtornie », piètre écrivain pro juif. Il n’a d’écrivain, que le nom. C’est un sinistre magouilleur de la littérature pro juive, qui vise à détruire tout ce qui est glorieux dans l’histoire de l’Algérie, et sa culture. Malhonnête pseudo intellectuel.

    ALGÉRIEN LIBRE
    27 avril 2018 - 9 h 56 min

    Excellent article. Il peut se déchaîner (avec ou sans complicités) autant qu’il veut sur l’Algérie, l’islam….ils n’y changeront rien. C’est un pays de très grandes civilisations et de conquérants et c’est une religion civilisatrice et il n’en n’existe pas deux depuis la création. C’est ainsi et tout le monde fera avec. Point final.

    صالح/ الجزائر
    27 avril 2018 - 9 h 40 min

    Au moment ou ( la France historique ) décrète la  » Loi portant statut des juifs  » ( antisémite ) , les Algériens : indigènes , musulmans et sémites , défendait toute la France y compris les Juifs .
    Durant la Seconde Guerre mondiale , Si Kaddour Benghabrit aurait sauvé la vie d’une centaine de juifs, dont celle du chanteur Salim Hilali, en leur faisant octroyer par le personnel administratif de la mosquée ( mosquée de Paris ) des certificats d’identité musulmane , qui leur permirent d’échapper à l’arrestation et à la déportation , et la mort .
    ——————-
    Loi portant statut des juifs
    Nous, Maréchal de France, chef de l’État français, Le conseil des ministres entendu, décrétons :
    Article 1 : Est regardé comme juif, pour l’application de la présente loi, toute personne issue de trois grands-parents de race juive ou de deux grands-parents de la même race, si son conjoint lui-même est juif.
    Article 2 : L’accès et l’exercice des fonctions publiques et mandats énumérés ci-après sont interdits aux juifs :
    1. Chef de l’État, membre du Gouvernement, conseil d’État, conseil de l’ordre national de la Légion d’honneur, cour de cassation, cour des comptes, corps des mines, corps des ponts et chaussées, inspection générale des finances, cours d’appel, tribunaux de première instance, justices de paix, toutes juridictions d’ordre professionnel et toutes assemblées issues de l’élection.
    2. Agents relevant du département des affaires étrangères, secrétaires généraux des départements ministériels, directeurs généraux, directeurs des administrations centrales des ministères, préfets, sous-préfets, secrétaires généraux des préfectures, inspecteurs généraux des services administratifs au ministère de l’intérieur, fonctionnaires de tous grades attachés à tous services de police.
    3. Résidents généraux, gouverneurs généraux, gouverneurs et secrétaires généraux des colonies, inspecteurs des colonies.
    4. Membres des corps enseignants.
    5. Officiers des armées de terre, de mer et de l’air.
    6. Administrateurs, directeurs, secrétaires généraux dans les entreprises bénéficiaires de concessions ou de subventions accordées par une collectivité publique, postes à la nomination du Gouvernement dans les entreprises d’intérêt général.
    Article 3 : L’accès et l’exercice de toutes les fonctions publiques autres que celles énumérées à l’article 2 ne sont ouverts aux Juifs que s’ils peuvent exciper de l’une des conditions suivantes :
    a- : Être titulaire de la carte de combattant 1914-1918 ou avoir été cité au cours de la campagne 1914-1918 ;
    b- : Avoir été cité à l’ordre du jour au cours de la campagne 1939-1940 ;
    c- : Être décoré de la Légion d’honneur à titre militaire ou de la médaille militaire.
    Article 4 : L’accès et l’exercice des professions libérales, des professions libres, des fonctions dévolues aux officiers ministériels et à tous auxiliaires de la justice sont permis aux juifs, à moins que des règlements d’administration publique n’aient fixé pour eux une proportion déterminée. Dans ce cas, les mêmes règlements détermineront les conditions dans lesquelles aura lieu l’élimination des juifs en surnombre.
    Article 5 : Les juifs ne pourront, sans condition ni réserve, exercer l’une quelconque des professions suivantes :
    Directeurs, gérants, rédacteurs de journaux, revues, agences ou périodiques, à l’exception de publications de caractère strictement scientifique.
    Directeurs, administrateurs, gérants d’entreprises ayant pour objet la fabrication, l’impression, la distribution, la présentation de films cinématographiques; metteurs en scène et directeurs de prises de vues, compositeurs de scénarios, directeurs, administrateurs, gérants de salles de théâtres ou de cinématographie, entrepreneurs de spectacles, directeurs, administrateurs, gérants de toutes entreprises se rapportant à la radiodiffusion.
    Des règlements d’administration publique fixeront, pour chaque catégorie, les conditions dans lesquelles les autorités publiques pourront s’assurer du respect, par les intéressés, des interdictions prononcées au présent article, ainsi que les sanctions attachées à ces interdictions.
    Article 6 :- En aucun cas, les juifs ne peuvent faire partie des organismes chargés de représenter les progressions visées aux articles 4 et 5 de la présente loi ou d’en assurer la discipline.
    Article 7 : Les fonctionnaires juifs visés aux articles 2 et 3 cesseront d’exercer leurs fonctions dans les deux mois qui suivront la promulgation de la présente loi. Ils seront admis à faire valoir leurs droits à la retraite s’ils remplissent les conditions de durée de service ; à une retraite proportionnelle s’ils ont au moins quinze ans de service ; ceux ne pouvant exciper d’aucune de ces conditions recevront leur traitement pendant une durée qui sera fixée, pour chaque catégorie, par un règlement d’administration publique.
    Article 8 : Par décret individuel pris en conseil d’État et dûment motivé, les juifs qui, dans les domaines littéraire, scientifique, artistique, ont rendu des services exceptionnels à l’État français, pourront être relevés des interdictions prévues par la présente loi. Ces décrets et les motifs qui les justifient seront publiés au Journal officiel.
    Article 9 : La présente loi est applicable à l’Algérie, aux colonies, pays de protectorat et territoires sous mandat.
    Article 10 : Le présent acte sera publié au Journal officiel et exécuté comme loi de l’État.
    Fait à Vichy, le 3 octobre 1940.
    Signataires
    Par le maréchal de France , Philippe Pétain , chef de l’État français :
    Le vice-président du Conseil, Pierre Laval.
    Le garde des sceaux, ministre secrétaire d’État à la Justice, Raphaël Alibert.
    Le ministre secrétaire d’État à l’Intérieur, Marcel Peyrouton.
    Le ministre secrétaire d’État, aux Affaires étrangères, Paul Baudouin.
    Le ministre secrétaire d’État à la Guerre, Général Huntziger.

    Source
    Journal officiel de l’État français, p. 5323, 18 octobre 1940

    EL BOULEVARD
    27 avril 2018 - 9 h 16 min

    ce sansal doit être définitivement oublié, un algérien Fhel ne s’enorgueillit pas d’avoir comme parente une maquerelle juive comme tenancière d’ un bordel dans l’Ouarsenis .merci M Merdaci de nous avoir éclairé sur le passé honteux de ce piètre individu. M le Président a bien fait de le balayer des hautes fonctions qu’il occupait.et il y en d’autres qui y sont encore ,imposés dans des institutions hautement stratégiques malgré le passé ténébreux de leurs parents.n’est pas AISSA MESSAOUDI qui veut.

    le Terroir
    27 avril 2018 - 8 h 42 min

    Ce traitre doit être déchu de sa nationalité algérienne!!!

    Anonyme
    27 avril 2018 - 8 h 37 min

    Franchement ce type Boualem Sansal ne mérite pas un tel article, c’est un rien ce mec, on peut pas dire que c’est un mauvais écrivain car il n’est pas écrivain. Il profite d’une situation donnée, les juifs sont au pouvoir en France alors il devient juif (rien ne dit qu’il ne l’a pas toujours été, allez savoir !), je crois sincèrement que si les français avaient toujours le pouvoir dans leur pays ce type n’aurait même pas publié un mot. Insulter l’Algérie et taper sur les palestiniens n’auraient pas été des arguments suffisant pour le promouvoir écrivain, on aurait exigé un peu plus de talent. La presse algérienne devrait arrêter de parler de lui car il n’est personne, ce n’est qu’un traitre parmi tant d’autres traitres. Je crois aussi que confondre Kamel Daoud avec cet individu est injuste pour Kamel Daoud qui n’est pas un traitre mais un naïf imbu de lui même. J’ai déjà fait ce commentaire concernant Daoud sur AP, il a été victime de toutes les flatteries de la part de « l’intelligentsia parisienne », ils l’ont encensé de cette façon pour le perdre et ça a marché malheureusement pour lui, il n’en reste pas moins que son « Meursault contre enquête » a beaucoup dérangé tous ces adorateurs d’Albert Camus, il a apporté une cinglante et inattendue réponse à l’écrivain génocidaire.

    Enya
    27 avril 2018 - 8 h 31 min

    ce triste personnage est un MAKiste travaillant pour l’entite sioniste à faire eclater l’algerie et voir sa kabylie independante . toutes ses interventions ne sont que des directives de tel aviv

      Nadjma
      27 avril 2018 - 11 h 30 min

      Enya, qui vous dit que Sansal est kabyle ? voici un petit extrait de sa biographie publiée sur Wikipédia « Boualem Sansal (en arabe : بوعلام صنصال), né le 15 octobre 1949 à Theniet El Had, petit village des monts de l’Ouarsenis. Le père de Boualem Sansal, Abdelkader Sansal, est issu d’une famille aisée rifaine ayant fui le Maroc pour l’Algérie, et sa mère Khadjidja Benallouche a reçu une éducation « à la française » (elle a le brevet).  » ma question est pourquoi en faire un kabyle s’il ne l’est pas?

    kilma
    27 avril 2018 - 8 h 08 min

    Ce traitre doit être déchu de sa nationalité algérienne et refoulé du territoire de nos ancêtres et de nos 1,5 million de chouhadas… ce sera pour lui l’occasion de faire son haliya chez son maître chettanyahou.

    Abou Strpff
    27 avril 2018 - 7 h 48 min

    cette attaque en règle à l’encontre du sieur sansal me parait tout à fait stérile dans la mesure où il y a, me semble t il, un amalgame, pour ne dire une diversion, entre sansal en tant qu’écrivain et ses positions politiques.
    je ne me permettrai pas (vu ma culture livresque) de porter un quelconque jugement sur sansal l’écrivain mais je me permets de me positionner en ce qui concerne ses positions politiques
    sansal a choisi son camp et je trouve qu’il a beaucoup de courage de choisir OUVERTEMENT son camp (ce qui n’est guère le cas de beaucoup de soi disant anti-sionistes qui traficotent discrètement avec le mouvement sioniste, en général et l’entité sioniste, en particulier) .
    en effet, au regard de la domination sans partage du secteur de l’édition en particulier et tous les secteurs qui comptent, en général par les lobbys juifs et/ou sionistes, sansal a compris qu’il n’avait pas le choix s’il voulait atteindre une quelconque notoriété. après tout, dans un monde où l’idéologie dominante est l’individualisme poussé à l’extrême, sansal agit en tant qu’agent rationnel, point barre.
    moralité de l’histoire: au lieu de se lamenter sur le fait que quelques centaines de pro-sionistes signent un manifeste dénonçant un soi disant anti-sémitisme, n’est il pas plus pertinent pour nos centaines « intellectuels » de signer et de diffuser un contre-manifeste expliquant que le soi disant anti-sémitisme est essentiellement alimenté par l’existence même de l’entité sioniste, vestige colonial et entité raciste basée sur le religion?
    PS: l’entité sioniste en tant que vestige colonial n’est pas la seule cause du soi disant anti-sémitisme du moment. nous ne devons point oublié que cet anti-sémitisme permet à tous les régimes archaïques qui dominent les formations sociales dites musulmanes d’avoir un bouc émissaire (ou un punching ball) palpable et observable à brandir face à des peuples en déperdition avérée.

    Sprinkler
    27 avril 2018 - 7 h 38 min

    Boualem  » Sans-sel « , le cheveu poivre, le look  » anar  » caviar du XIV ème, comme Daoud immortalisé devant la pierre de bourgogne des quartiers haussmaniens à l’heure de l’apéro, ne dédaigne pas à prendre la pose devant les  » ordres architecturaux  » de  » leur  » république  » nourricière « …

    Hibeche
    27 avril 2018 - 7 h 35 min

    Merci m. Merdaci pour ce prégal. Je suis persuadé que K. Daoud est en train de se ronger les ongles de ne pouvoir signer ce torchon contre l’antisémitisme qui, en réalité, veulent tailler le coran à leur mesure. Cette idée n’est pas nouvelle, BHL en a parlé en 2011. Pour notre K. Daoud antinational, il est dans sa chambre faisant les 1000 pas, en cherchant l’astuce pour signer même en usant un faux nom, pourvu de plaire à ses « maîtres » et continuer à vendre son âme euh ! pardon , ses livres.

      Anonyme
      27 avril 2018 - 17 h 15 min

      Le Coran a été taillé bien avant ce manifeste par les Califes qui se sont succédé. Ce qui ont lu savent qu’il y a eu au moins 31 coran depuis la création de l’islam .
      De toutes ces anciennes versions du Coran qui ont été détruites, seuls deux manuscrits ont survécu jusqu’à notre époque : le Codex de Samarkand (daté de 654) conservé au musée Doktary à Istanbul et le Codex de Londres (daté de 772) conservé au British Museum. Chacun contient environ 750 divergences par rapport au Coran actuel (on remarque que c’est souvent le Coran actuel qui semble avoir ajouté des mots ou des phrases au texte primitif).Al Tabry, au 10ème siècle, l’avouait carrément :
      « Le texte du coran n’était pas fixé à mon époque. »
      Et l’Imam Ja’far, pour résumer la situation, allait plus loin encore « Le véritable Coran n’existe pas ! »
      Selon As-Suyuti (mort en 1505) « (As-Suyuti, AL-ITQAN FI OULOUM AL-QOUR’AN , partie 3, page 72).
      Ibn ’Umar al Khattab avait dit :
      « Que personne d’entre vous ne dise qu’il a acquis le Coran entier, car qu’en sait-il ? Beaucoup du Coran a été perdu ! Alors qu’il dise : J’ai acquis ce qui était disponible. « 

    awrassi
    27 avril 2018 - 6 h 39 min

    Excellent article. Les Français commencent à retrouver la mémoire, et quoi de mieux que l’islam et les musulmans pour leur faire oublier … leurs véritables maîtres sionistes. Ils sont des millions à lire Egalite et Reconciliation, Panamza et autres médias dissidents.

      benchikh
      27 avril 2018 - 20 h 12 min

      cher Anonyme ,les Arabes avaient un don d’entendre des paroles et les mémoriser sur le coup ,ils avaient une très bonne mémoire,ils étaient des grands poètes ,peur que le coran s’oublie après la mort d’ Umar ibn el katab ,Othman ibn Afan a ordonné d’écrire le coran dans un seul( Sahifa) livre,c’est le seul coran qui existe, oui avec d’autres écritures(EL koufi (turque).les autres comme tabary et non Tabry sont des hommes qui ont essayé de trouver des méthodes logiques du coran et de la vie de Mohammed (QSSL)sunna, comment il prié comment il se lavé ,en générale toute un mode de vie.Personne ne peut changer les mots du créateur .Regardez la religion hébreu ou elle on est avec des milliers de groupes qui n’ont rien avoir avec Dieu,et le Christianisme (catholique ,protestant orthodoxe ,l’ancien et le nouveau testament ,l’être humain est toujours le même les mêmes habitudes la même nourriture,rien n’a changé sa veut dire le Coran ne doit pas changer .Pour le groupe de Shi’a ils ont rien avoir avec l’Islam ,c’est une invention d’un juif Abdoulah ibn Sabaa.Voilà ,j’ai essayé de faire mon mieux parce-que c’est notre devoir de vous informez.Ne confondez pas entre el tafssir ( explications du Coran?ils sont nombreux qui ont essayé de trouver le profond du Coran) et entre ce glorieux Coran.

    benchikh
    27 avril 2018 - 6 h 04 min

    « Je pense souvent à l’exil mais où, chez Bush, chez Sarkozy ? Remplacer un malheur par un autre n’est pas ce qu’on peut appeler une bonne décision. »des mots que vous avez écrits Mr Sensal ,vous êtes maintenant un réfugié chez la France coloniale. Un jour vous entendrez d’une femme Française qui vous dira « partez chez vous, vous avez rien affaire ici chez nous »vous saurez que quand on veut changer les choses, il faut commencer par soi même, lisez l’histoire des philosophes et des prothètes ont participé au changement tout en restant chez eux, il y a que les chiens qui sont contents lorsqu’on leur offre un os.

      Anonyme
      28 avril 2018 - 9 h 20 min

      @Benchikh ; C’est aussi notre devoir de vous informer ;
      Durant l’époque de Mohamed, le Coran n’était pas rassemblé dans un livre collectif. Mohamed mourut l’année 10 après l’Hégire (A .H.), qui correspond à 632 après Jésus Christ.
      Le premier assemblage des textes du Coran fut accompli à l’époque d’Abou Bakar. Dès que moururent à la guerre beaucoup de ceux qui avaient mémorisé les textes du Coran, Omar suggéra à Abou Bakar de rassembler le Coran en un seul livre. Ayant remarqué que la plupart des gardiens du Coran étaient tués dans les guerres musulmanes, spécialement à la bataille d’Al-Yamamah, Omar se précipita chez Abou Bakar pour lui demander de rassembler le Coran en un seul livre, sous peine de le perdre complètement.
      Abou Bakar demanda à Zaied Ibn Thabet. de rassembler le Coran, et celui-ci fut rassemblé en sept lettres ou sept récitations différentes.
      Le Coran fut conservé sous la responsabilité d’Abou Bakar jusqu’à ce qu’il meure, puis d’Omar après lui, jusqu’à ce qu’il soit assassiné, puis d’Hafsa, la fille d’Omar, et c’était le texte de référence auquel se reportait Othman Ibn Affan.
      * Après la mort d’Hafsa, Marawan Ibn Al-Hakam ,.gouverneur de Médine, fit saisir ce Coran, qui était la référence originale du Coran, tel que le récitait le prophète .
      Ce Coran fut détruit et mutilé par. Marawan Ibn Al-Hakam qui le fit totalement disparaître.
      Ces évènements historiques sont mentionnés dans les références suivantes :
      – Sahihe Bukhari, le chapitre de la conquête, converse number 4000
      – Les preuves de la prophétie Al-Bayhaqy, part 3, page 277
      – La perfection dans les sciences du Qoran par Al-Syouty, part 1, page 60
      -Les Corans par Al-Sajistany
      Ce qui était le premier assemblage du Coran en un seul livre fut détruit, mutilé et complètement anéanti par Marawan Ibn Al-Hakam
      * L’assemblage de textes le plus important dans l’histoire fut réalisé par Uthman Ibn Affan, car Uthman considérait que les Musulmans se disputaient à cause des contradictions concernant les 7 récitations différentes du Coran. Il ordonna donc de rassembler de nouveau les feuillets du Coran dans l’année 25 A.H.
      Ainsi les 7 récitations du Coran ont été collectées, et elles se réfèrent au Coran original d’Abou Bakar, préservé par Hafsa avant sa destruction par Marawan Ibn Al-Hakam.
      Uthman ayant trouvé qu’il y avait 7 corans différents et que le peuple était divisé à cause de cette multitude de Corans fit donc brûler 6 des 7 Corans et en préserva seulement un. Comment a-t-il pu faire cela, c’est une conduite étrange, et le résultat en est très grave.
      Le Coran d’Uthman était dénué de signes et d’ornementations.
      – Al-Sajistany. a mentionné que des copies de cette version du Coran, appelée « Coran de l’Imam », avaient été envoyées à toutes les capitales islamiques.
      Assemblage des feuillets du Coran à l’époque Omeyade
      – Comme l’arabe alphabétique n’avait pas de voyelles à l’époque des Omeyades, ceux-ci firent un Coran modifié, doté d’ornementations, pour éviter les fautes de récitation, ce qui renouvela et transforma le Coran.
      – – L’Encyclopédie arabe simplifiée mentionnait que : « Alors qu’il y avait pas mal de fautes dans la récitation du Coran, ils nommèrent Nasser Ibn Asem pour le rectifier durant l’époque de Al-Hajaj Ibn Yousef Al-Thaqafy .dans les années 660-714 G.
      – Ce Coran de Al-Hajaj Ibn Yousef Al-Thaqafy. relevait de nombreuses expressions peu familières, qui correspondaient à l’origine poétique du texte ; alors un nouveau Coran émergea contenant des signes et des ornementations aménagées.
      .- Al-Sajistany. a mentionné que Al-Hajaj Ibn Yousef Al-Thaqafy a transformé 11 passages à partir du Coran de Uthman. Comment se fait-il que le Coran présente d’énormes transformations et variations d’une époque à l’autre, alors qu’il était mentionné qu’il était fixé sur des tablettes préservées avant le commencement des temps ?
      Comment a-t-il été détruit ? Comment a-t-il été falsifié ?
      – Le Coran iraquien était la version originale circulant habituellement dans le monde entier.
      Le nombre de Corans:
      Le Coran d’Abdullah Bin Amre Ibn Al-Ass
      le Coran d’Abdullah Ibn Abbas
      le Coran d’Abdullah Ibn Al Zoubir
      le Coran d’Abe Baker Al Sedeek
      le Coran d »Abe Mosa Al Asharee
      le Coran de Abu Zaied
      le Coran d’ Aïcha,
      le Coran d’Akrama
      le Coran d’Al Asoad Ibn Yazid
      le Coran d’Al Hajaj Ibn Yousef Al Thakafy
      le Coran d’Anes Bin Malek
      le Coran d’Ata’ Abe Rabeh
      le Coran d’Hafsa
      le Coran de Moaaz Bin Gabel
      le Coran de Moujahid
      le Coran de Muhammad Bin Abe Mosa.
      le Coran d’Obaid Bin Omeir Al-Laithy.
      le Coran d’Othman Ibn Affan
      le Coran de Qualown /Abu Mosa Ibn Mina
      le Coran de Saeed Bin Gabber
      le Coran de Salem Maola Abe Hozaifa
      le Coran de Suleiman Ibn Mahran
      le Coran de Talha
      le Coran de Waresh
      le Coran de Zaied Ibn Thabet
      etc…

    DE A è Z
    27 avril 2018 - 5 h 53 min

    Garde à vous mental!
    Constat clinique sans appel et autopsie d’une situation politique qui démontre comment le refoulé colonial a muté pour accoucher d’un nouvel ennemi intime: l’islam.
    Bravo pour la maîtrise d’une langue portée à incandescence et mise à disposition d’une ambition didactique.
    Les derniers épisodes ont démontré que la liberté d’expression était le paillasson sur lequel on s’essuie allègrement le pied et que l’on mène en laisse comme un chien.
    Sansal, Daoud et consorts, préparent par leur défection morale toutes les conditions de l’ingérence étrangère, en permettant aux racistes et islamophobes de se prévaloir de leurs arrières-pensées, car de de pensée, ils n’en possèdent pas.
     » Avec Nous, après nous? Apprivoiser l’avenir » écrivaient d’une plume commune Shimon Peres et Jacques Attali pour dessiner les contours d’un projet qui avait la prétention d’imposer au monde entier une vision idéologique au service d’un messianisme qui porte le masque de la rationalité moderne, convaincu de sa supériorité.
    Je cite:  » Nous croyons tous deux que l’existence de l’Etat d’Israël participe de la modernisation de la planète… »
    Sansal, Daoud en parfaites illustrations du point Godwin suivent un agenda qu’ils ne connaissent ni comprennent. Orphelins d’un conflit symétrique,ces théoriciens en mal de type guerre froide, ont inventé le nouveau gholem,’ le danger islamiste’.Nous sommes venus réparer le monde affirme Attali à chaque occasion. De cette ‘réparation’, nous n’avons vu que le chaos.
    Le Tikkun Olam (corriger le Monde) commence donc par imposer une seule manière de voir le monde et l’affuble d’un seul script.
    Sansal est un néo-harki car mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde.

    Anonyme
    27 avril 2018 - 5 h 28 min

    Excellent article. Cela va mieux en l’écrivant. « Pauvres » Sensal et Daoud… leur réveil sera douloureux; avec eux le mot harki vient de trouver une autre vie : ils sont de simples « harkis se rêvant littéraires ». Leurs émoluments sont passagers et il ne reste d’un homme que sa réputation. La leur est vraiment pas terrible.

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