Le FFS innove en créant une «chancellerie diplomatique»

FFS Chancellerie
Hadj Djilani (1er à gauche), premier secrétaire national du FFS. New Press

Par R. Mahmoudi Après l’Instance présidentielle, le Conseil d’éthique, le Front des forces socialistes (FFS) innove en annonçant la création d’une nouvelle instance appelée «Chancellerie diplomatique».

Dans un communiqué laconique rendu public mardi, et signé par son premier secrétaire, Mohamed Hadj Djilani, le secrétariat national de ce parti annonce la nomination de cinq cadres comme membres de cette structure. Il s’agit de Mougari Essaid, Kaci Lounes, Amarouche Belkacem, Ghezlaoui Samir et Yacoub Mohamed.

Le communiqué ne précise pas les tâches de cette nouvelle structure, qui risque ainsi de se confondre avec l’action du secrétaire national chargé des relations internationales, un poste qui existe toujours dans l’actuel organigramme du parti.

R. M.

Comment (2)

    MELLO
    4 juillet 2018 - 21 h 13 min

    En fait , il suffisait de voir et de comprendre ce terme de chancellerie diplomatique. Jusqu’aux dernières nouvelles , c’est notre MAE qui tient la corde de la diplomatie. Mais , maintes fois, notre pays a eu à subir les affres de coups fourrés introduits par certains pays qui veulent que l’Algérie reste ce pays sous développé qui n’est fait que pour le terrorisme, la corruption et tous les maux sociaux. De l’autre côté, nos chancellerie véhiculent des images irréelles d’un pays plein de dynamisme, mais plombé par un verrouillage politique. C’est dans ce sens que le FFS à innové par la mise en place de cette structure pour montrer le vrai visage de ce pays ,ignoré et mal connu par nombre de pays .

    Anonyme
    4 juillet 2018 - 16 h 40 min

    Cette instance aura pour mission l’accompagnement de notre diaspora dans le cadre du development Economique dans le pays, parce que cette instance possède un niveau tel qu’elle dépasse notre diaspora et elle est au courant de la plus petite à plus grande information et formation politico-économique donc elle a toute la latitude de créer une culture entrepreneuriale pour notre diaspora.D’ailleurs au ffs on’a même pas pensé à inclure la gente féminine dans cette instance, il s’est trop éloigné des idéaux du mouvement national ou déjà à l’époque Ferhat Abbas, lui il disait que la femme est la moitié de la société, je pense idem pour la diaspora, pauvre FFS

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