L’Etat complexé

Etat
Alger, la «perle du Maghreb» (dixit Zoukh). New Press

Par M. Aït-Amara – La religion peut-elle justifier la gabegie et l’incivisme ? Comment expliquer l’absence de réaction face à cette pratique qui revient chaque année et qui consiste à transformer nos villes en abattoirs à ciel ouvert où ni l’hygiène ni la sécurité ne sont respectées ?

Des citoyens, agacés de voir nos rues transformées en ruisseaux de sang et en dépotoirs pour les peaux gluantes abandonnées à même les trottoirs ou à l’entrée des immeubles dans les cités dortoirs, ont posté des images dégoûtantes sur les réseaux sociaux. C’est ça la fête du sacrifice ? Est-il écrit que les musulmans doivent sacrifier la propreté, le respect de la nature et le savoir-vivre ?

Quel président, quel chef de gouvernement, quel ministre, quel élu local oserait ordonner que soit interdit l’égorgement des moutons hors du cadre légal, dans des lieux appropriés et conçus pour ce faire ? Aucun. L’Etat est complexé. Il a peur qu’une telle interdiction soit interprétée comme une atteinte à un rituel sacré de l’islam, un blasphème. L’Etat montre ainsi toute sa faiblesse devant le pouvoir du nombre, devant les hordes fanatisées qui sauteraient sur l’occasion pour crier à l’Etat apostat et impie.

Le pouvoir frileux et pusillanime face aux salafistes qui affûtent leurs armes et attendent le moment venu pour planter leur poignard dans le dos de la démocratie, aura-t-il le même courage que le président tunisien Béji Caïd Essebsi qui affronte les intégristes en leur imposant la loi positive, celle des Hommes qui régit – et doit régir – la cité ? Aura-t-il le courage de repousser les offensives insidieuses des extrémistes religieux qui ont créé un Etat parallèle réfractaire à l’ordre et à la discipline ?

L’anarchie érigée en code au nom de la religion doit cesser. Et c’est à l’Etat qu’il revient d’y mettre fin.

M.A.-A. 

Comment (24)

    Eid n'as que d'incoveniants
    27 août 2018 - 3 h 59 min

    Eid a beaucoup de points négatifs que positifs si on voit rationnellement:
    -Anarchie, attroupement, déchets, mouton non-certifie, mouton malade, nuisance sonore la nuit, accidents corporel, accident mortel, urgence a l’hôpital, intoxication alimentaire, action choquante sur les enfant voyant un mouton égorgé, invitation de maladie bestiale, risque de feu du au barbecue, une somme d’argent importante dépensé en une courte durée, vacances de 2 jours au lieu d’un jour. Il faut dissuader. Le gouvernement doit établir des décrets pour éliminer ces comportement au nom de l’hygiène et l’ordre et la sante mais hélas il est absent parce que lui-même infiltré a plus de 60% d’intégristes.

    Kassaman
    25 août 2018 - 11 h 54 min

    Ce Haro sur l’état me semble injuste, si on le considère responsable de cette résurgence anachronique du choléra il faut aussi accepter qu’il est le « responsable » de notre très bon IDH au niveau Africain. Donc on ne peut dire de l’état qu’il est totalement démissionnaire même si bien sûr il a sa part de responsabilité.
    Partons de l’hypothèse que l’état est totalement absent en ce qui concerne l’hygiène publique, il faut alors admettre que le citoyen n’est pas naturellement propre!!! qu’il a besoin de lois et de sanctions pour ne pas jeter ses ordures dans la rue!? le peuple est-il un enfant qui dès que quelque chose ne va pas reporte la faute sur « l’état »? Il faut arrêter avec cette attitude de dédouanement on infantilise le peuple.

    Extremiste
    23 août 2018 - 14 h 30 min

    l’Etat n’est pas complexé, L’état est démissionnaire

    Anonym
    22 août 2018 - 21 h 39 min

    Je ne serai pas surpris si demain je verrai lès mêmes citoyens sur la photo ramener les reporters de tv foot et social comme ennahar, beur tv , chams, echourouk et autres montrer à tout le monde dans qu’elle état est leurs soukna est devenu à cause du Raïs el baladia et demandais essouloutate, el wali et certains même Raïs el djemhouria de leurs donné une autre soukna et vendre ou louer l’autre F ghetto pour 5 millions le mois , je ne connais aucun peuple qui voyage 19 fois l’année entre toRk, touness, masser, ces derniers temps kuala lampour,hadj et plusieurs omra ne peut payer une taxe à la mairie ou l’opgi,ou respecter l’environnement.

    bedraham
    22 août 2018 - 20 h 22 min

    ce n’est pas l’islam hachah. qui est la cause de la situation desastreuse salete, absence de civisme et de respect envers autrui l’anarchie dans le commerce etc..mais c’est le citoyen qui en est la cause principale et durant les periodes de l’Aid el Adha les choses s’emplifient au lieu d’organiser et de reglementer les rituels du sacrifice du mouton de maniere a ce que prime la proprete la securite et le respect de l’environnement en mettant en place des espaces provisoirs specialements amenagees dans chaque quartier bien des attitudes bienfaitrices pour l’humanite la proprete et les sciences aux services du progres dans l’amelioration des conditions de vie des citoyens font partie des fondement de l’slam.

      Kassaman
      25 août 2018 - 11 h 46 min

      Je ne comprends pas tous les pouces bas que avez reçu tant votre remarque est pertinente et pleine de bons sens.
      Comme vous le préconisez, la solution est toute simple. Dans chaque quartier, mettre en place des installations temporaires qui permettent aux citoyens d’accomplir leur sacrifice dans les meilleurs conditions d’hygiène et de sécurité. Et rendre leur utilisation obligatoire.

    Anonyme
    22 août 2018 - 17 h 10 min

    Qui est le touriste qui va venir au mois d’aout sauf celui qui veut voir les moutons , les mouches et autres insectes, il s’ennuyera pas ils sont partout même dans le hall de l’hotel, qui est le touriste qui visitera notre pays par voiture sauf si il veut retourner chez lui dans un cercueil,il rentrera gravement chez lui si il stationne sa voiture devant un parkingeur, qui est le fou qui va passé quelques jours au bord de la mer avec sa propre chaise et son parasol ? El wataniyine ne m’insulte pas, moi aussi j’aime mon pays sauf que je suis dans la minorité, pas comme vous.

    Anonyme
    22 août 2018 - 17 h 07 min

    السلام عليكم ورحمه الله وبركاته
    il n’y a pas plus propre que l’islam et je crois que les salafistes seront les premiers a applaudir toute décision concernant la propreté, parce ce que vous êtes en train d’accuser de saleté ne s’arrête pas a la fête de l’Aïd mais a toute l’année et partout l’Algérie est devenue un véritable dépotoir et toutes les tentatives de l’état pour redresser la situation sont restées vaines tant que les personnes en elles mêmes sont sales..ce qu’il faudrait c’est installer des caméras devant chaque dépotoir et que chaque fauteur soit punis croyez moi plus personne n’osera jeter sa poubelle n’importe comment…

    lhadi
    22 août 2018 - 16 h 50 min

    Il ne peut y avoir de politique de progrès social et national qui soit possible en Algérie sans développement politique.

    Ce que le pays, ce que les algériens attendent, c’est un véritable changement, une politique apportant enfin des solutions réelles et neuves aux problèmes pressants qui se posent à eux.

    Fraternellement.

      timour
      23 août 2018 - 21 h 35 min

      Les Algériens n’attendent plus. Sinon cela ferait longtemps que les problèmes que vous évoquez avec constance et pédagogie dans toutes vos chroniques seraient résolus ou tout au moins en voie de résolution.
      Seuls quelques Algériens comme vous, citoyens conscients des problèmes pressants qui nous cernent, réagissent et/ou agissent.
      Mais il semble bien que la masse du peuple a perdu (et on lui a fait perdre sciemment) depuis longtemps le sens et le goût de la démocratie.
      Depuis 56 ans on a parlé en son nom ; on a décidé à sa place ; on lui a menti avec constance ; on l’a infantilisé ; on l’a rendu analphabète, on lui a fait oublier le goût de l’effort et le sens des responsabilités ; on lui a fait croire que notre nation était forte et exemplaire ; on lui a seriné des tas de promesses (souvenez-vous de toutes ces visites de délégations étrangères avec lesquelles des contrats devaient être signés), on l’a gouverné en évitant soigneusement de le guider vers l’avenir et vers la modernité. Aussi, ce peuple flatté, bafoué et méprisé par ses dirigeants est en très grande souffrance.
      Alors que voulez-vous que fasse ce peuple livré à lui-même ? C’est l’Aïd El Kebir et il célèbre cette fête religieuse…comme il peut. Puisqu’aucune autorité gouvernementale n’a le courage de prendre l’initiative d’organiser (mot inconnu ici) le commerce et le sacrifice de l’animal, il s’organise à sa manière. C’est-à-dire dans l’anarchie. Et cela dure depuis des années.
      Monsieur Lhadi avec tout le respect que je vous dois, permettez moi de vous dire que tant que nous aurons une Ecole algérienne défaillante, incapable de former des citoyens, nous n’aurons aucune chance d’accéder à cette démocratie à laquelle nous croyons. En 1962, les gens de ma génération l’espéraient mais au fil du temps cet objectif s’est perdu dans le désert de la médiocrité. L’Histoire est là : toutes les nations qui ont voulu progresser et évoluer ont tablé sur une éducation fondée sur une pédagogie moderne et efficace.
      Et vous savez très bien que c’est l’Education qui, outre l’affirmation et l’épanouissement de la personnalité qu’elle amplifie, le développement des aptitudes qu’elle encourage, l’initiation à des approches culturelles qu’elle fait découvrir, c’est l’Education dis-je qui apportera à nos enfants et petits enfants (futurs citoyennes et citoyens) les usages de la société, le vivre ensemble—-en société. C’est une Ecole algérienne transformée, efficace et enthousiaste qu’il faut mettre en place et briser tout ces conservatismes qui mènent notre pays au désastre.
      Pour qu’il y ait un véritable changement, il faut que cette demande émane d’un peuple motivé, prêt à se prendre en charge et à « relever ses manches » afin de remettre ce pays dans le bon sens. Pour l’instant notre peuple se contente des miettes qu’on lui laisse. Il vivote. Sa jeunesse végète, s’ennuie, se décourage. Tant que la rente subsistera, on pourra lui faire accepter n’importe quelle politique. Mais le jour où…mais ceci est une autre histoire.
      « L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde » disait le sage Président Nelson Mendela. Sous entendu « afin de le faire progresser dans la recherche du bien-être sur terre ».

    Anonym
    22 août 2018 - 15 h 47 min

    Et monsieur l’imam de la grande mosquée d’alger nous dis Radou balkoum dès ayadi kharidjia, alors que c’est lès ayadis dakhilia qui sont entrain de massacrer notre pays, crois que nous sommes le seul pays ou on distribue dès logements sans aucune condition et le grand tbehdil ils font un grand lès drapeaux , poster du president,les cameras de tv, déjà le premier jour du demenagement el khoRda commence, non serieusement il faut que les hommes et femmes intellectuels se levent et font quelques choses et ne pas laissé ce pays entre les mains de ses je m’en foutiste, salam alaikoum.

    Républicain
    22 août 2018 - 15 h 07 min

    @Chi’ha
    Le problème n’est pas dans l’Islam mais les incultes qui la pratiquent en croyant que les fetes de l’Aid se résume au mouton !!! Nous avons perdu le sens de la religion, nous sommes devenus des mutants avec un tube digestif en lieu et place du cerveau. Incivilités, pertes de valeurs, …. nous avons perdu le fond de la spiritualité pour nous attaché « au paraître « , à la forme, au visible, au matériel,… C’est cela la réalité de l’Algerie d’aujoyrd’hui. Mais bien tout ça a été possible qu’avec la complicité d’un État de NON DROIT, illégitime qui a force de manipulations , de populisme pour garder le pouvoir à fait dans l’alliance avec archaïques se disant musilman. C’est l’alliance des conservateurs et de l’Islam archaïque qui se partage l’économie Algérienne : le formel pour les uns et l’ Informel pour les autres sur le dos de 90% des autres Algériens ( a nous manger la laine sur le dos!!!
    Vive l’Algerie Républicaine, vive la séparation du politique de la religion , vive l’Etat de droit juste et fort et tolérance zéro pour les corrompus et les trafiquants de tout genres.

    Anonyme
    22 août 2018 - 13 h 19 min

    Il faut distinguer entre la religion ( qui prône l’humilité, l’entraide, la solidarité, le savoir, l’hygiène, le silence et d’autres vertus dont parlent aussi les autres religions ) de la religiosité ( bigoterie excessive) visible, tapageuse, ostentatoire, contraire par ses agissements aux vrais enseignements de la religion, étrangère à nos valeurs et importée des actuels pétro-émirats arrogants et belliqueux enrichis par une manne pétrolière qui leur donne le vertige.
    L’incivisme régnant et prégnant qui étouffe la société algérienne au point de la tuer, fait le bonheur des partisans du statu-quo abonnés à des rentes de situation et des partisans de l’état informel.

    Mazouzi
    22 août 2018 - 12 h 50 min

    C’est un Pur et Dur qui doit reprendre les reines du pouvoir et se débarrasser de cette horde sauvage qui dirige notre beau pays et qui, le partage avec l’autre…horde sauvage qui a fait des ravage dans les années 90.
    Quand je dis un Pur et Dur, ça ne peut-être qu’un officier de haut rang afin de mettre de l’ordre avec un peloton d’exécution pour les plus récalcitrants.
    Avec un Président handicapé invisible et la bande qui le maintient en vie pour son propre compte, on est bon pour le 5è, 6è,7è mandats et pourquoi pas pour l’éternité.
    Honte à nous, nous sommes devenu la risée et la honte du monde, nous, le pays de révolutionnaires!!!!

      Zaatar
      22 août 2018 - 14 h 14 min

      Ya hassra 3ala nass zmen. Où sont ils ? Il ne Nous reste qu’à pleurer notre sort. Car les carottes sont cuites!!! seuls une chute des prix du pétrole ou le tarissement de nos puits d’hydrocarbures pourraient être notre planche de Salut à court ou moyen terme. Autrement c’est dans un siècle et demi à deux.

    MELLO
    22 août 2018 - 12 h 40 min

    L’Etat ne pas être complexé puisqu’il n’existe pas. L’Etat c’est cet ensemble hétéroclites d’institutions de la pyramide de responsabilites. L’Etat est absent car les lignes de démarcations ne sont pas precises entre un ministre, un wali, un chef de daira, un PAPC et la sûreté nationale. Chacun des niveaux renvoie la balle a l’autre. Le PAPC vous dit c’est la police, la police vous dit c’est le chef de Daira, celui ci nous renvoie vers le wali, lequel wali vous oriente vers le ministre. Le Ministre ? Non c’est le wali et ainsi de suite et personne ne décide; c’est le vide total. Pourtant, une décision peut provenir du Wakf ,s’agissant d’une fête religieuse, qui impose le rituel dans les abattoirs et non dans « des lieux conçus pour ce faire »- il faut appeler un chat par son nom: abattoir. Durant l’Aid el Adha, c’est l’Algérie qui se vide de son sang,de son sens, tellement la population perd le nord. La veille de chaque « fête » religieuse c’est toujours le même « cinema » , un scénario apocalyptique inonde nos villes et villages. La ruée vers tout ce qui se mange, un tohu-bohu qui n’a pas son pareil dans aucun autre pays musulman. Sommes des musulmans ?

    Tangoweb54.
    22 août 2018 - 12 h 24 min

    Nous sommes les seuls Nord-Africain ou l arnachie et le laisser-aller sont de rigueurs. Comment voulez vous que ce pouvoir dictatorial nous respecte en tant que peuple qui ne pense qu a son ventre et ou l individualisme et l incivisme sont roi ? Nous somme un troupeau sans berger ou tout un chacun pratique la politique « apres moi c est c est le déluge » le mal est en nous .

    Tarass Boulba
    22 août 2018 - 12 h 18 min

    S’il a fallu à la France près de sept ans pour éradiquer complétement la présence de moutons sur les balcons et dans les baignoires des appartements des banlieues françaises et pour interdire l’égorgement du mouton de l’Aid au bas des immeubles et même dans les pavillons privés des citoyens français de confession musulmane, eh bien en Algérie il nous faudra 2 siècles et encore il n’est pas sûr et garanti qu’on y arrivera ! L’auteur et chroniqueur Amine Zaoui a fait un très bon article dans un quotidien algérien sur ce qu’il appelle « la bédounisation islamique » dans notre pays l’Algérie, un nouveau concept qui sied très bien à la situation actuelle, hélas !!

    Anonyme
    22 août 2018 - 11 h 54 min

    Un pouvoir illégitime ne pourra jamais lutter contre l’illégitimité.Pour se perpétuer au pouvoir ce système fera toutes les concessions aux voyous qui se manifestent sous des colorations religieuses jusqu’à la destruction totale de l’Etat algérien .

    retour vers le moyen age
    22 août 2018 - 11 h 52 min

    c’est malheureux de voir à quel point les 3/4 (au moins) de la population sont dans une précarité mentale sans pareille et sans précédent dans le monde !!
    sunna du Prophète ou-bien sunna de ceux « rapportent » des mensonges au nom du Prophète ? )
    c’est vraiment le retour vers le moyen age, la décadence mentale…!

    Zaatar
    22 août 2018 - 11 h 05 min

    Il est quand même curieux et même étonnant que les Algériens n’aient pas encore compris le deal conclu entre le pouvoir et les islamistes. Voyons messieurs, ne voyez vous pas deux économies parallèle ? L’une formelle, Celle officielle et l’autre informelle, Celle de la vermine islamiste ? Ne voyez vous pas deux entités en place, un pouvoir qui gère la rente et des islamistes à qui presque tout est permis sauf le pouvoir ? Le pouvoir ne peut s’ingerer dans les affaires religieuses dictées par les islamistes. N’avez vous pas remarqué qu’on n’a presque plus de cinéma, plus de centre culturel, plus d’activités de loisirs, plus de bars., plus de bidons et que les pratiques archaïques religieuses ont allègrement pris le dessus ? Ne me dites pas que le pouvoir en place, Par exemple, ne peut pas imposer l’interdiction des paiements en Cash, Et pourtant si. Depuis le temps il n’arrive pas à le faire, car l’informel est entièrement aux mains des islamistes. Alors interdire le sacrifice du mouton Dans la rue ou imposer des règles pour le sacrifice va certainement soulever l’ire de nos vaillants islamistes. Ce que le pouvoir ne voudrait surtout pas… Et donc par voie de conséquence, nos rues, nos cités, nos parkings… Etc continueront encore à être le théâtre du sacrifice religieux chaque année.

    Républicain
    22 août 2018 - 10 h 44 min

    Ces dernières Présidences et ses satellites ont piétiner la République Algérienne, la Constitution, le vrai Islam au détriment du populisme, de la médiocrité, du manque d’ambition et de courage pour notre pays. J’ai honte pour mon pays quand je vois cette dégradation, cette défiguration, ces incivilités, cette corruption, cette délinquance, cette corruption,… j’ai juste envie de quitter ce pays. Nous sommes la risée du monde entier et on sait à qui on le doit !!!!!

      Zaatar
      22 août 2018 - 11 h 36 min

      On le doit aux deux entités en place qui ont fait un deal sur l’Algérie.

      Ch'ha
      22 août 2018 - 12 h 14 min

      @Republicain
      La risée du monde, vous délirez!!??
      La question est pourquoi les makhnazis ou tunisiens ou africains musulmans etc…n’ont pas posté de photos sur les réseaux sociaux !
      L’État est venu ramassé les peaux en camion tout à nettoyer pourquoi les algériens n’ont pas filmé le travail des agents de nettoyage de la ville et la collecte des peaux. pourquoi cette autoflagellation systématique lorsqu’il s’agit de laïd et aucun état d’âme lorsqu’il s’agit de balancer des détritus dans les rues comme si le patrimoine nenous appartenait pas !!!!
      À l’État de sanctionner par des amendes et du pénal on verra si vous continuerez à jeter le moindre détritus dehors. En Allemagne Suisse Autriche …le moindre détritus crotte de chien… amende.
      Cessez de STIGMATISER l’islam et la fête de Laïd À VOUS DE VOUS DISCIPLINER ET ÉDUQUER ET ÇA VAUT POUR TOUS LES JOURS DE L’ANNÉE.
      Machallah je suis issue d’yne région propre.
      J’ai vu les agents ramasser vos peaux dans bons nombres de régions du pays.

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