La clinique de Sidi-Yahia fermée suite au décès du chanteur Houari Manar

Manar Sidi-Yahia
Le défunt Houari Manar. D. R.

La clinique privée Sidi-Yahia 2, où le chanteur de raï Houari Manar est décédé le 7 janvier dernier, lors d’une opération de chirurgie esthétique, fait l’objet d’une décision de fermeture préventive émise par le ministère de la Santé, rapporte le quotidien Ennahar, citant des sources proches de la clinique.

Selon la même source, l’enquête menée sur les circonstances du décès de la star du raï à la clinique Sidi-Yahia 2 a révélé que le médecin, qui allait pratiquer l’opération de liposuccion, n’avait pas le diplôme requis pour ce genre d’intervention. Il aurait seulement suivi une formation en chirurgie plastique en France.

A cet effet, le département de Mokhtar Hasbellaoui a ordonné la fermeture, à titre préventif, de la clinique, en attendant la fin de l’enquête, indique la même source.  

R. M.

Comment (14)

    Sami Moreau
    16 juin 2021 - 17 h 41 min

    Allah yerehmou qui l’écoute après son déces ses chansons

    PourqueVivelAlgerie
    16 février 2019 - 23 h 11 min

    Ceux qui ont la charge de la santé devraient en principe s’occuper à éradiquer les charlatans qui pullulent au sein des places publiques. Sévir contre les établissements de santé privés pour les soins bâclés et mettre en place un contrôle rigoureux sur la tarification des actes médicaux. Privé ne justifie pas la jungle et le vol! Instituer un contrôle sur certains cabinets médicaux qui ressemblent à des porcheries, ni salles d’attente digne de ce nom, lieux sales et lugubres, pas de secrétaire médicale puisque les patients sont considérés moins que du bétail car on leur impose une attente qui peut depasser les quatre heures! Ces gens là ne risquent rien!

    Le Berbère
    16 février 2019 - 18 h 28 min

    Je n’ai aucun droit de critiqué le mode de vie ou l’orientation sexuelle de la victime car ça fait partie de la vie privé de chaqu’un et ce n’est pas bien de dire des choses durs dans le dos des morts à titre posthume comme certains commentateurs. Je voudrais simplement dire que ce garçon ( Allah yerhmou) est une victime de la non responsabilité professionnelle de cette établissement de santé et je sais qu’il y’a beaucoup de cas semblables chez nous que ce soit dans les cliniques privés ou dans les hôpitaux publics…Quand on est dans un pays où le caractère sacré de la vie n’a aucun sense, la vie des êtres humains n’est pas une valeur sûre.

    Rascasse
    16 février 2019 - 18 h 09 min

    La sauvegarde de la vie humaine en Algérie n’est pas une priorité de la politique de l’etat algérien , ni dans la philosophie des algériens eux même , la croissance démographique et la surpopulation ainsi que la mauvaise distribution des habitants fait que el ghachi n’a aucune valeur, le jour où nous serons en voie de disparition tel que les allemands suisses canadiens à ce moment là on accordera un intérêt à la prolongation de la vie et de la santé, pour l’instant le fatalisme et el mektoub font l’affaire des politiques , des charlatans , des importateurs des médicaments et des médecins médiocres qui agissent tous dans l’impunité, sans rendre compte des erreurs , des malfaçons et des approximations, ellah ikoune maa chaab messkine

    mohammed
    16 février 2019 - 17 h 12 min

    le problème est bien plus étendu qu’une simple clinique! touts les cliniques privées font ce qu’elles veulent, le système est pourri gangréné par la corruption (comme partout ailleurs en Algérie) et apès ils s’étonnent que les gens détestent ce pouvoir qu’ils appellent el 3issaba (ijramiya)

    Tonino
    16 février 2019 - 14 h 50 min

    Il faudrait penser a fermé la clinique benseray d’Oran !! Mon père est décédé chez eux , on nous a même pas avertis qu’il allait l’opéré ce jour la , ils ont pris la décision par eux même , est ce que vous trouvez ça normal ?
    On es arrivé a la clinique a 10 heure du matin , pendant ce temps mon père allah yarahmou était au bloc , alors imaginé que depuis 10 heure du matin on nous a laisser sans nouvelles jusqu’à 18 h pour nous donner la mauvaise nouvelle . voilà les cliniques en Algérie.
    C’est une bande de mafia qui ne sais que soutiré de l’argent .

      Anonyme
      16 février 2019 - 16 h 24 min

      Allah yarham ton père. Oran est réputée par la clinique appartenant à un très sciences ministre de la santé qui, e se permit de nationaliser les rares médecins algérien qui prirent la relève après le depart massif des Français en 1962. Il les remplaça par des missions médicales égyptiennes et bulgares.
      Actuellement ce soit ses enfants qui gérer la clinique où se pratique par des médecins libanais la chirurgie esthétique sous toutes ses formes: liposuccion, implants mammaires et fessiers, et autres reodelages de nez sans parler de la (ré)couture de l’hymen.

      SAXO
      17 février 2019 - 0 h 24 min

      Oui il y a aussi la clinique n…. d’Oran où a été liquidé mon père. Pour une amputation du pied jusqu’au genou en une seule opération , ils ont préféré faire délibérément 3 amputations progressives et laisser la maladie faire son oeuvre jusqu’au décès.

    MELLO
    16 février 2019 - 14 h 29 min

    Mr le Ministre, savez-vous que cette décision de fermeture reste valable pour l’ensembles des hôpitaux et cliniques du pays. La santé est malade , mais aucune structure, ne peut venir en aide. Le jeune chanteur Houari Manar -Allah irrahmou-, comme tant d’autres citoyens ,à payé chèrement la négligence généralisée du secteur.

    Anonyme
    16 février 2019 - 12 h 39 min

    c’est une femme ou un homme?
    Nous sommes tombés si bas
    Si nos ancetres le savaient
    Pauvre pays

      Marcus
      16 février 2019 - 14 h 00 min

      Sans blague ??!! pourquoi les ancêtres étaient des bisounours ??!! étaient des dieux vivants??? arrêtez avec ces clichés enfantins du culte du passé!! parmi tes ancêtres il y a avaient du bon , du mauvais , des intelligents et des abrutis, des homosexuels, des pervers, des efféminés, des intégrés, des voleurs , des tueurs , il faut du tout pour faire un monde comme il y avait du tout pour faire un monde

      Amel
      19 février 2019 - 16 h 20 min

      Lorsque nous sommes là à débattre et à dénoncer un système de santé publique et privé défaillant voir assassin, vous et vos semblables, vous occupez de critiquer le mode de vie d’une des victimes de ce système et de vous attardez sur ses orientations sexuelles ou son apparence! Même la mort dans des circonstances tragiques ne vous empêche pas de jeter votre fiel!

      Ce sont les gens comme vous qui empêchent ce pays d’avancer ou le retardent. Au lieu de vous insurger contre un pouvoir défaillant, le chômage, la misère…etc vous vous attaquez aux femmes et à tous ceux qui ne sont pas comme vous!
      Honte à vous !

    anonyme
    16 février 2019 - 11 h 34 min

    oui c’est vrai C’EST UNE VERITABLE CALAMNITE que ces cliniques privées et meme une honte aux yeux du monde que de leur attribuer le qualificatif de »clinique » …..

    bozscags
    16 février 2019 - 11 h 14 min

    c’est toutes les cliniques privees qu’il faut fermer en algerie ce sont uniquement des pompes a fric avec des incompetents a la manoeuvre .

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