Bouteflika neutralise Gaïd-Salah et offre aux Algériens un cadeau empoisonné

gaid Bouteflika
Le général de corps d'amrée Ahmed Gaïd-Salah. PPAgency

Par Karim B. – Si les Algériens ne s’attendaient pas à ce que Bouteflika désigne un nouveau «gouvernement» alors qu’il lui est expressément demandé de partir et de leur permettre de tourner la page de vingt ans de règne sans partage, la présence du chef d’état-major sur la liste du nouvel exécutif a désarçonné plus d’un.

Après avoir appelé à l’application de l’article 102 qui stipule la destitution pure et simple du chef de l’Etat, Ahmed Gaïd-Salah surprend les manifestants qui ont soutenu son appel par sa «collusion» avec le cercle présidentiel qu’ils accusent de chercher à pousser au pourrissement en refusant de quitter le pouvoir.

Beaucoup s’interrogent sur les dessous de ce maintien du chef d’état-major au sein d’un gouvernement non reconnu et décrié dès l’annonce de sa composition aussi hétéroclite qu’insolite. «Comment l’omnipotent Ahmed Gaïd-Salah pourrait-il siéger aux côtés de ce tout-venant de ministres stagiaires appelés à la rescousse après que les véritables personnalités ayant l’expérience politique et un poids suffisamment important auprès de l’opinion publique ont refusé de cautionner la démarche de Bouteflika ?» s’interrogent, dubitatives, des sources contactées par Algeriepatriotique.

«Comment le chef d’état-major va-t-il convaincre de la sincérité de son appel à destituer Bouteflika au moment même où il lui offre une légitimité sur un plateau d’argent», se demandent encore nos sources qui n’excluent pas que Gaïd-Salah «annonce sa démission du nouveau gouvernement fantôme» ou «alerte l’opinion publique sur une machination dont il aurait fait l’objet en affirmant que son nom aurait été joint à la liste sans en avoir été avisé».

«La formation du nouvel Exécutif ne fera qu’exacerber la crise», affirment nos sources, qui pensent que Bouteflika «cache son jeu» et nourrit des intentions non révélées à travers ce «nouvel affront». Il pourrait s’agir d’une annonce imminente de sa démission, mais en laissant derrière lui un gouvernement qui ne pourrait pas être démis ou remanié tant qu’une nouvelle élection présidentielle n’aura pas lieu. Autrement dit, le président en fin de règne laisse aux Algériens un cadeau empoisonné.

K. B.

 

Comment (84)

    Felfel Har
    1 avril 2019 - 17 h 18 min

    Depuis qu’il a donné son accord pour faire partie d’un gouvernement fantoche, GS ne communique plus: il est rentré dans les rangs et les promesses qu’il a faites au peuple ne sont que des paroles en l’air. Quelqu’un peut-il m’expliquer comment justifier une telle volte-face: hier, il réclamait la tête du président et aujourd’hui, il accepte de faire partie de son équipe de croquignols?
    C’est la bouteille à encre et bien malin sera celui qui imaginera ce qui se trame contre le pays et son peuple. Ce qui importe, c’est de maintenir la pression par des démonstrations de force, des marches pacifiques.
    El pueblo, unido, jamas sera vencido!

    Algerien
    1 avril 2019 - 16 h 46 min

    Les Marcheurs Algériens vont patienter. Il faudra aboutir à l’application de  » l’article sans 2 ainsi que l’article sans eux. »
    Pour y arriver le Peuple, notamment, sa Jeunesse merveilleuse, doit miser sur l’article 7 gagnant.

    DYHIA-DZ
    1 avril 2019 - 16 h 42 min

    Pourquoi on insiste tant sur le maintien de Bedoui.
    Bedoui serait devenu une carte gagnante une garantie, mais pour qui ??

    Anonyme
    1 avril 2019 - 16 h 05 min

    Est-ce que quelqu’un a vu Abdelaziz Bouteflika signer quoi que ce soit concernant la nomination de ce nouveau gouvernement ?
    Parce que comme le monde entier le sait aujourd’hui, c’est encore Saïd Bouteflika qui a signé, avec la griffe de son frère Abdelaziz, le décret de ce nouveau gouvernement. Il s’agit donc d’un gouvernement illégitime et inconstitutionnel, comme d’ailleurs tous les autres depuis 2013.
    J’aurai par ailleurs une petite et dernière remarque à faire : Le vice-ministre de la Défense Nationale est, de ce fait, aussi illégitime que l’ensemble des membres de ce dit gouvernement. C’est bien étrange pour quelqu’un qui prônait, hier encore, la nécessité d’agir dans «le strict respect de la Constitution» et d’accepter aujourd’hui d’être membre d’un gouvernement inconstitutionnel !
    Bref, comme je l’avais mentionné dans mon commentaire ci-dessous, si on nous annonce la démission de A. Bouteflika au cours des prochaines heures, c’est que son clan a pu obtenir toutes les garanties qu’il voulait avoir pour se décider à quitter le pouvoir sans y laisser de plumes. Mais il nous laisse aussi une situation compliquée puisque c’est encore ce même gouvernement (officiellement constitutionnel, mais en réalité inconstitutionnel) qui va illégalement se charger de nous concocter une belle transition à l’image des Bouteflika et non à celle que réclame le peuple algérien.
    En effet, ce sera bien un certain Bédoui, un haut cadre qui a développé une compétence indéniable et inégalable dans l’organisation d’élections sur mesure et sur commande, qui sera encore une fois aux manettes pour l’élection d’un nouveau président.

    Anonyme
    1 avril 2019 - 15 h 55 min

    TOUFIK soutient le clan Bouteflika
    Toufik se met-il contre la volonté du peuple.

      Anonyme
      2 avril 2019 - 0 h 55 min

      Et quand est-ce qu’il a déjà été pour la volonté du peuple ?!

    Anonyme
    1 avril 2019 - 15 h 53 min

    Un avis

    Supposons que c’est le président Bouteflika qui a nommé ce gouvernement ( ou a donné donné son feu vert).
    Gaid Salah en appelant à appliquer l’article 102, il affiche clairement sa position par rapport au président qui est son chef direct.
    On connait bien que le président Bouteflika n’aurait jamais laissé quelqu’un qui risque de l’éjecter de son Kourssi. La question qui s’impose : Pourquoi le président fantôme a t-il reconduit Gaid Salah sachant ce ce dernier demande le départ du président pour répondre aux exigence du peuple…Ce qui n’est pas logique, car Gaid Salah est le vice ministre de la défense. Où est le ministre de la défense = totalement absent ??

    1- Soit le Président Bouteflika est avec l’Armée et non pas avec le clan de ses Frères.
    2. Soit que le président n’existe plus, et ceux qui l’ont utilisé ont squatté la présidence et ne veulent pas sortir voulant pousser l’armée à un coup d’État pour la discréditer à l’international.
    3. Soit que la présidence est gérée par des forces extérieures
    4. En dernier, j’espère que je me trompe: tout cela n’est que du théâtre pour nous hiberner.

      Anonyme
      1 avril 2019 - 16 h 39 min

      Tout tend à dire que c’est du cinéma gratuit.

    Ali
    1 avril 2019 - 15 h 32 min

    Le peuple ne lâchera pas cette fois, il faut arrêter et juger tous ces criminels en priorité Gaid Salah,Saïd Bouteflika,Ahmed Ouyayah et tous les oligarques, je demande solennellement à l’armée de capturer ces gens qui travaillent pour la France.Vive L’Algérie Vive l’Anp

    Vox
    1 avril 2019 - 15 h 31 min

    Le président est inapte à gouverner,en plus son mandat s’achève le 18 Avril ,ce qui rend le 102 caduque, d’autant plus qu’il fallait activer cette article en 2013,et cela n’a pas été fait
    Par ailleurs le conseil constitutionnel a violé par 2 fois la constitution. premièrement en validant la candidature de A.B, et deuxièmement en annulant les élections prévues pour le 18 Avril.
    Tertio la nomination de Belaïz à la présidence du conseil constitutionnel représente en soi une autre violation de la constitution, considérant que la loi stipule que le président de cette institution doit être élu pour un mandat unique de 8 ans. Or Belàïz avait déjà été appelé à remplir cette cette même fonction en Mars 2012!
    Moralité : le pouvoir viole la constitution à sa guise,tout en requérant au peuple de respecter la constitution!
    Soit. Dans ce cas, le peuple doit réagir intelligemment en évitant ces ruses empoisonnées. Le recours au conseil constitutionnel peut être contourné,tout en respectant la constitution,puisque les articles 7 et 8 de la constitution impliquent de facto une période de transition, sans passer par le sénat et le conseil constitutionnel. Cette transition doit obligatoirement passer par des négociations et le dialogue avec la société civile qui doit choisir ses représentants. Cette étape est cruciale, et le peuple doit rester concentré sur cet objectif. Un fine,le pouvoir ne fait que jeter des peaux de bananes sur le parcours d’une révolution pacifique et joyeuse, dans l’ultime espoir de la faire avorter et provoquer le chaos. Il n’est pas question d’aller vers l’État d’urgence, et faire sortir les militaires dans les rues. C’est surtout ce piège infernal qui nous est tendus. Le rôle de l’armée doit se résumer à sécuriser cette période de transition, et à soutenir le peuple, sans amalgames, ni ambiguïté.
    Ultime recommandation: négociations et dialogue dans la transparence et la sérénité. Pas de violence, ni verbale, ni dans les actes.

    CITOYEN
    1 avril 2019 - 15 h 29 min

    L’évidence est maintenant établie que l’article 102 et les vœux de constitutionnalités ne son invoqués que pour étouffer la voix du peuple et pérennisé un système décrié depuis 1962 . Affirmer le contraire et dans le cas de sincérité de la part de l’armée ne peut être interprété que comme un manque de courage et aussi de confiance dans le peuple pourtant uni ce qui fera perdre une occasion inouïe d’aller vers une véritable légitimation du pouvoir .Condition sine qua non pour espérer une vraie édification nationale .. Ou est l’alliance peuple -armée ?Il n’y a que la vérité qui prime . Jetez la révolution à la rue et le peuple l’adoptera pour reprendre Larbi Benmehidi .

    Zenaty
    1 avril 2019 - 15 h 06 min

    Aux noms de tous nos Martyrs. M. Bouteflika… Prenez votre Retraite dans la Paix… Et dites à vos Conseillés que le Peuple n’est pas Dupe Nous Sommes les Enfants de la République et de l indépendance. Mais nous vous avons fait Confiance Alors à vous Maintenant de Nous faire Confiance. Nous Voulons la Paix. Et la Liberté. Sans Tutelles de qui que ce soit…. Une République Égalitaires pour la Mémoires de nos Martyrs.. Et de Nos Enfants… Nous Sommes un Peuple Adultes depuis la Nuits des Temps.. Des Femmes et des Hommes LIBRES.

      La Viriti
      1 avril 2019 - 15 h 49 min

      Parles pour toi, nous sommes beaucoup à n’avoir jamais fait confiance à cet imposteur et ce fossoyeur qui avait juré en 1979 de se venger de l’Algerie et des algériens.
      Sans compter son passé peu glorieux et plus que trouble durant la guerre d’indépendance.
      Une guerre qui a laissé des veuves et des orphelins que Bouteflika a méprisé durant ses 20 ans de règne monarchique et népotique abject.
      Ce petit homme n’a rien fait, il a tout détruit.
      Tu n’arriveras pas à nous convaincre de quoi que ce soit de positif le concernant. C’est dans la poubelle de l’histoire qu’il finit…Hamdoulilah !

    co5
    1 avril 2019 - 15 h 05 min

    « il pourrait s’agir d’une annonce imminente de sa démission », il va le faire , mais ya si Karim le vice ministre ne peut siéger au conseil des »ministres ». ne prenez pas les algériens pour des ignares et il est là avec l’institution de l’armée, pour préserver l’État et les biens du peuple algérien.

    saad odhar
    1 avril 2019 - 14 h 51 min

    il s’agissait d’un cinema , ou d’une piece de theatre.
    sacrifiant leurs serviteurs et soufifres qui n’avaient aucun pouvoir de decision ni influence quelconque ,tels que les Ouyahia , haddad……que puisse t on repprocher à ces gens , qu’ont ils fait pour le peuple? ouyahia quand il decide quelque chose , s’oubliant parfois croyant etre un vrai 1er ministre , il est rappelé , brutalement à l’ordre lui rappelant ce qu’il est .
    ils lui ont tripoté les elections des senateurs sans qu’il ait m^me pas le pouvoir de protester. il est le souffre douleur des bedoui,louh and co , denigre sans pouvoir reagir.
    quand au haddad ,il est la en intermediaire , utilisé pour le blanchiment d’argent.sous couvert de projets. c’est a dire de vrais executants de sales besognes qu’on a voué aux gemonies. et sacrifiés donc pour les besoins de la cause .quant aux vrais entrepreneurs decideurs oligarques reels , des qu’une voie les evoque ou evoque leur omnipotence et leur manigances elle est vite etouffée. personne ne peut les inquietés.

    Citoyen Dz
    1 avril 2019 - 14 h 33 min

    La priorité des priorité est la démission du parain et j’espere qu’elle se fera ce soir comme annoncé par des chaines tv . Si on est arrivé a cette situation , c’est qu’on a une opposition la plus bete du monde et il faut faire avec.

    Anonyme
    1 avril 2019 - 13 h 41 min

    les petits avions privés ne décollent plus à la suite de la publication sur youtoub de l`atterrissage de l`avion privé loué par Sellal en France. On voit Sellal descendre juste avec son épouse de l`avion ensuite les gardes du corps décharger l`avion de plusieurs caisses de cartons et les charger dans des 4×4 et tous partir en trombe sans contrôle.

    Anonyme
    1 avril 2019 - 13 h 23 min

    Le peuple algérien solidaire, et uni pour les changements, et les réformes démocratiques, et de Justice
    L’Algérie est la cible d’un vaste plan de déstabilisation de ses institutions, et de son économie
    De l’état français, et de certaines institutions algériennes, qui veulent s’imposer , et se repositionner
    A nouveau, pour récupérer la révolution du peuple

    bozscags
    1 avril 2019 - 13 h 09 min

    il faut arreter ce bouteflika le juger lui et toute sa clique.

    Benabou
    1 avril 2019 - 12 h 32 min

    C’est de la pure perversité que de jouer avec le destin de tout un pays à ce qui croit que cette décision est politique !

    Ya Gaid Salah, ...attention , attention !
    1 avril 2019 - 12 h 31 min

    Bonjour chers compatriotes citoyens ! Quelques internautes amis m’ont conseillé d’être pas long mais concis et court ! Je les écoute et j’applique dès à présent :

    Bouteflika , Gaid Salah et son clan viennent de nommer un nouveau gouvernement et faisant fi des demandes de la rue : Il faut qu’ils sachent définitivement qu’il joue avec le feu. Notre chaab sait certes offrir des fleurs, chanter, jouer de la trompette et du saxo, mais il sait aussi être virulent, violent, corrosif et malveillant quand on se fout trop de sa gueule ! Attention de ne pas trop chatouiller sa dignité ! Attention de ne pas faire déborder le vase.

    Anonyme
    1 avril 2019 - 12 h 19 min

    L article 102 est en marche malgré il ne coïncide pas avec le moment actuel, le but de la manœuvre avec l’article 102 et de faire tomber le président (clan) , pour que Gaid Salah passe à la deuxième étape les article 7et 8

    Anonyme
    1 avril 2019 - 12 h 02 min

    pour comprendre tout ce jeu malsain il faut simplement se dire que ce n’est pas abdelaziz mais said bouteflika qui est à la manœuvre. Tout ce qu’il fait est destiné à le servir et à le couvrir…. Que son frère soit couvert de l’opprobre de tout un peuple et que son nom soit à jamais souillé ne l’émeut pas. Seule compte sa propre survie….Une fois hors d’atteinte il placera son ferre dans une institution étrangère pour vieux dictateurs en fin de vie pour s’en débarrasser…..C’est vraiment le degré zéro du complotisme….

    Souk-Ahras
    1 avril 2019 - 12 h 00 min

    « Bouteflika neutralise Gaïd Salah et offre aux Algériens un cadeau empoisonné » titre le présent article.
    Je ne partage pas votre réflexion Mr Karim B. La nouvelle sortie de Bouteflika n’est qu’un « jeu d’écriture » qui cache mal le désarroi de son clan, en quête depuis le début du Hirak, d’une « assurance tout risques »comportant les garanties nécessaires, après son départ, à l’impunité du clan et à la préservation de son immense fortune accumulée pendant 20 ans de règne et placée à l’étranger.
    C’est chose faite. Gaïd Salah s’en porte garant, d’où son maintien à son poste.

    Ce qu’il faut considérer avec soin et discernement, c’est que le « pouvoir » actuel repose sur deux béquilles essentielles à son maintien et pérennité : Bouteflika et Gaïd Salah. Or, il est aujourd’hui prouvé que l’une d’elles, en l’occurrence l’armée, s’est manifestement désolidarisée de l’autre. La réunion d’urgence du chef d’état-major avec les commandements des forces en est la preuve irréfutable et l’hypothèse de la « contrainte physique » a été mise sur la table.
    Au su de l’entêtement du clan bouteflikien à s’accrocher au pouvoir d’un côté, et du « coup de gueule » du chef de l’armée, de l’autre, on peut légitimement penser que le « deal » s’est opéré suivant le principe de réciprocité qui édicterait à chacune des parties en lice l’ultimatum suivant : puisque tu veux que je coule, je vais faire en sorte que tu coules en même temps que moi !

    Pourquoi un « jeu d’écriture » ? Je fais appel à des règles simples de logique combinatoire sachant que le clan de Bouteflika veut lui éviter une destitution déshonorante.
    Liste d’oligarques interdis de sortie du territoire, ni atterrissage ni décollage d’avions privés et autres mesures prises dans ce sens montrent clairement que le clan très proche de Bouteflika ne se préoccupe que de sa seule « protection ». Oubliés donc les thuriféraires et adorateurs d’avant le 22 février écoulé qui sont appelés à se débrouiller par eux-mêmes.
    La « bleusaille » ministérielle désignée occupera les lieux pour l’apparence selon un délai prédéterminé par le mois qui court.
    Le deal réalisé laisse au clan bouteflikien le temps de bien préparer sa retraite.
    Il est légitime de penser que ce deal prévoit une clause selon laquelle Bensalah, Belaïz et Bédoui présenteront leur démission une fois leur clan à l’abri.
    Il est tout autant légitime de penser qu’un gouvernement de salut public est déjà formé et attend d’être mis en place dans le calme. Là, je me réfère à la présence de Me Bouchachi à Laghouat, la semaine écoulée pour « participation » aux marches locales.
    Gaïd Salah partira sous «les  honneurs » une fois un président intérimaire de consensus désigné et approuvé par le peuple.

    Cela n’engage que moi ainsi que ma perception des événements courants.

      mohand
      1 avril 2019 - 13 h 31 min

      MEN FEMAK EL RABI !

    Mir
    1 avril 2019 - 11 h 57 min

    Je crains que le clan de Gaid Salah n’utilise le Hirak populaire pour régler ses comptes au clan des Bouteflika. Sur notre dos.
    Notre Revolution pacifique ne doit être confisquée par aucun Clan !
    Il faut le dire clairement à Gaid Salah, sinon on aura aidé un Clan à prendre la place d’un autre Clan.
    Retour à la case départ.

    MELLO
    1 avril 2019 - 11 h 38 min

    Mr Bouali , le verre est il à moitié vide ou à moitié plein ? Si votre analyse répond à la première hypothèse, la mienne prend l’axe de la deuxième. Si Gaid Salah, comme vous le dites ,est écarté de ce gouvernement, comment pourrai t il intervenir et mettre en place sa feuille de route ? Le tenir loin du centre de décision c’est retirer l’application de l’article 102 suivi des articles 7 et 8. Dans votre analyse, Vous n’avez pas développé votre vision de la suite des événements.
    Mais si Gaid Salah est resté, il l’a fait de son plein gré, j’en suis convaincu . Sa position de Chef d’État Major , actuelllement prime sur son poste de vice ministre, il garde toutes les cartes décisionnelles qui lui permettent d’activer la solution préconisée : application partielle de l’article 102, avec la démission de Bouteflika suivi de l’application des articles 7 et 8 avec nomination d’une présidence par intérim issue de la volonté populaire.
    En conclusion , Le Chef d’État Major n’est nullement neutralisé puisqu’il est gardé dans le cercle de décision.

      Anonyme
      1 avril 2019 - 14 h 02 min

      MOUSSA EL HADJ, EL HADJ MOUSSA, ILS ONT UTILISES LEURS FIDELES SUBORDONNES POUR CONTINUER ET FINIR LE PILLAGE DE L ‘ALGERIE ET PERMETTRE A BOUTEFLIKA DE MOURIR COMME UN ROI VOIR MEME QU’ILS LUI PREPARENT DES OBSEQUES NATIONALES. APRES TOUTES CES SOUFFRANCES, CES ENERGIES QUI SONT SORTIS DANS LA RUE, C ‘EST BEDOUI QUI SERA NOTRE PREMIER MINISTRE????? HOUDA FERAOUN MAINTENUE???????
      LE GOUVERNEUR DE LA BANQUE CENTRALE A PARTICIPE A LA SAIGNEE DES BANQUES PAR LE BIAIS DES CREDITS ILLEGAUX CONSENTIS A CES BANDITS AVEC A PEINE 20% DE GARANTIES RETENUES SUR CES MONTANTS PHARAMINEUX ET AUJOURD’HUI IL EST PROPULSE MINISTRE DES FINANCES. S’IL ETAIT CAPABLE DE GERER LES FINANCES DE L ALGERIE C’EST SUREMENT DE LA BANQUE CENTRALE QU’IL POVAIT LE FAIRE QUE DU MINISTRERE. C’EST UNE MASCARADE ET PLUS GRAVE ENCORE ILS PRENNENT LES ALGERIENS ET ALGERIENNNES POUR DES ATTARDES MENTAUX, DES VAUT RIEN C’EST TRES GRAVE CE QUI SE PASSE . LE TRAIN EST EN MARCHE ET SI ON LE RATE CETTE FOIS CI ON VA PERDRE , NOTRE CREDIBILITE, NOTRE COURAGE , NOTRE HONNEUR ET ON IRA RAMASSER DES ORANGES CHEZ NOS VOISINS CIVILISES. JE SUIS ANEANTI PAR LE DEDAIN DE CE POUVOIR A SON PEUPLE

    tharleb
    1 avril 2019 - 11 h 34 min

    faut pas se leurer gaid salah gere comme un pro ce n’est pas un maffia il a toujours voulue virer ce clan mais de puissance oculte lié au clan l’a muselé mais desormais grace au allah et au peuple maintenant qu’il en a l’occasion il gere ca de facon tres efficace , voyez les principaux argentiers du systeme ils sont en prison en tentant de fuir , et aucun avion personnel n’est autorisé a quitter le tarmac des aeroports , et vous pensez que gaid a été mis en sac ? ce gouvernement provisoir n’est là que pour gerer la vacance prochaine du pouvoir pour que les institutions fonctionnent et que la transition respecte la loi pour une fois , donc on s’achemine vers une presidence provisoire et le retour a notre veritable independance confisquée depuis 62 inchallah

      Sam
      1 avril 2019 - 18 h 28 min

      Un pro? Tu plaisantes j’espère. Il est aussi corrompu que les autres si ce n’est plus!!! Et s’il s’est retrouvé propulsé au poste qu’il occupe actuellement alors qu’il devait être mis à la retraite c grâce au président Bouteflika. Depuis,Gaid Salah est devenu le c…fidèle du président. Le peuple n’est pas amnésique et l’armée n’est pas la propriété privée de Gaid Salah. Le peuple se doit de rester vigilant, très vigilant

    La Viriti
    1 avril 2019 - 11 h 32 min

    Gaid salah a gardé la main, j’en suis persuadé.
    Les marocains au pouvoir se comportent en marocains : vils, sans scrupules, ni morale. Gaid Salah compose avec eux pour un cours temps, pour mieux porter l’estocade à cet agrégat de racailles, de naturalisés, d’harkis et de voleurs.
    J’attend avec impatience de voir la fratrie Bouteflika derrière les barreaux. Ce sera le plus beau cadeau fait aux algériens depuis leur mobilisation.

    Abou tamtam
    1 avril 2019 - 10 h 57 min

    Qu’il s’agisse de Bouteflika, ce dont je doute fort, ou de la coalition qui sévit au nveau de la présidence, il faut reconnaitre que ces gens-là donneraient des cours à Machiavel tellement ils sont diaboliques.

      Zaatar
      1 avril 2019 - 12 h 19 min

      Là je vous rejoins sans coup férir…

    Vangelis
    1 avril 2019 - 10 h 49 min

    Quels vicieux ces bouteflika, mais quels vicieux ! Et ce chef d’état major de même.

    Je ne peux pas imaginer Gaïd Salah n’ayant pas donné son accord pour faire partie de ce semblant de gouvernement et conserver ses fonctions.

    Les boutef l’ont certainement mis devant un choix : choisir de rester avec ses fonctions intactes en dépit de sa  » révolte  » contre son chef ou refuser et se voir limogé de toutes ses fonctions et attributions.

    Comme tous ces pontes qui aiment le pouvoir, il s’est incliné en acceptant de faire partie du clan qu’il faisait semblant de combattre afin de flouer les algériens.

    Il ne faut pas oublier que c’est lui qui, il n’y a pas si longtemps, n’arrêtait pas de faire des mamours à fakhamatouhoum et c’est encore lui qui avait appelé à l’application de l’article 102 mettant de fait un verrou aux manifestations qui ne pouvaient rien faire pour dégommer son chef et ami de 15 ans.

    Il a donc floué le peuple algérien et se retrouve assis autour de la table comme si de rien n’était, et surement, à rire à gorge déployée d’avoir joué ce tour de tordu.

    L'armée a embauché...
    1 avril 2019 - 10 h 38 min

    …Bouteflika qui, a son tour, a embauché Toufik pour contrer l’autre partie de l’armée pour avoir les coudées franches. La manoeuvre a échoué est Toufik s’est retrouvé sur le carreau. Donc, aujourd’hui, on sait ou se trouve le vrai pouvoir. La propagande de « l’Etat profond » ne prend plus.
    En conclusion :
    « Mieux vaut s’adresser au Bon dieu qu’à ses saints ». Le nouveau mot d’ordre du peuple pour arrêter de gaspiller du temps, c’est de demander à l’armée de rentrer dans ses casernes pour s’occuper de son job et laisser le peuple s’organiser pour faire le sien : « La Politique ». Tous les intermédiaires ne sont que des VRP de malheur ». Aller à l’essentiel.

    Clovis
    1 avril 2019 - 10 h 36 min

    Mr Karim B votre analyse n’est peut etre pas juste. Une autre lecture de ce remaniement serait que Gaid Salah a impose son maintien afin de garder son emprise sur ce nouveau gouvernement dont il reste le ministre le plus important. Bouteflika ( ou ses sbires) n’ont rien neutralise. Gaid salah a par contre verouille le gouvernement. Il faut maintenant qu’il impose sa feuille de route (102, 7 et 8) et si bouteflika ne demissionne pas, imposer par decision du peuple souverain (7 et 8) au conseil constitutionnel de preference avec un autre president, de deliberer et confirmer la decision d’empechement. Ensuite organisation des elections sous la surveillance et la transparence necessaire. Quand a ce gouvernement son role est et sera limite a la gestion des affaires courantes en attendant la releve dont le systeme serz exclu.

    ABDEL
    1 avril 2019 - 10 h 33 min

    ça confirme les dires de certains observateurs,le président ne pardonne pas au peuple sa traversée du désert avant son élection et encore moins le rejet du 5 e mandat!!!…par vengeance, la fratrie boutef,qui voulait régner sur l’ algerie,ne s’attendait pas a un soulevement géneralisé du peuple comme au temps du colonialisme !!ceci dit,bouteflika reste une énigme pour beaucoup de personnes,le peuple ne connait pas le personnage dans sa profondeur, et lui meme certainement ne connait pas le peuple algerien !!

    Anonyme
    1 avril 2019 - 10 h 31 min

    On a fait 1 pas en avant vers une Algérie libre et démocratique mais les clans mafieux sont entrain de nous faire faire 2 pas en arrière comme en 1962.Peuple réveilles-toi ils sont entrain de te voler ta victoire comme en 1962.

    Anonyme
    1 avril 2019 - 10 h 28 min

    Art. 6 – Le peuple est la source de tout pouvoir.
    La souveraineté nationale appartient exclusivement au peuple.
    Art. 7 – Le pouvoir constituant appartient au peuple.
    Le peuple exerce sa souveraineté par l’intermédiaire des institutions qu’il se donne.
    Le peuple l’exerce par voie de référendum et par l’intermédiaire de ses représentants
    élus.
    Le président de la République peut directement recourir à l’expression de la volonté
    du peuple.
    Art. 8 – Le peuple se donne des institutions ayant pour finalité:
    – la sauvegarde et la consolidation de l’indépendance nationale,
    – la sauvegarde et la consolidation de l’identité et de l’unité nationales,
    – la protection des libertés fondamentales du citoyen et l’épanouissement social et
    culturel de la Nation,
    – la suppression de l’exploitation de l’homme par l’homme,
    – la protection de l’économie nationale contre toute forme de malversation ou de
    détournement, d’accaparement ou de confiscation illégitime.
    Art. 9 – Les institutions s’interdisent:
    – les pratiques féodales, régionalistes et népotiques,
    – l’établissement de rapports d’exploitation et de liens de dépendance,
    Art. 10 – Le peuple choisit librement ses représentants. La représentation du peuple n’a d’autres limites que celles fixées par la Constitution et la loi électorale.
    Art. 32 – Les libertés fondamentales et les droits de l’homme et du citoyen sont garantis. Ils constituent le patrimoine commun de tous les algériens et algériennes, qu’ils ont le devoir de transmettre de génération en génération pour le conserver dans son intégrité et son inviolabilité.
    Art. 36 – La liberté de conscience et la liberté d’opinion sont inviolables.
    Art. 41 – Les libertés d’expression, d’association et de réunion sont garanties au citoyen.
    Art. 54 – Tous les citoyens ont droit à la protection de leur santé. L’Etat assure la prévention et la lutte contre les maladies épidémiques et endémiques.
    Art. 55 – Tous les citoyens ont droit au travail. Le droit à la protection, à la sécurité et à l’hygiène dans le travail, est garanti par la loi. Le droit au repos est garanti; la loi en détermine les modalités d’exercice.
    Art. 56 – Le droit syndical est reconnu à tous les citoyens.
    Art. 57 – Le droit de grève est reconnu. Il s’exerce dans le cadre de la loi. Celle-ci peut en interdire ou en limiter l’exercice dans les domaines de défense nationale et de sécurité, ou pour tous services ou activités publics d’intérêt vital pour la communauté.
    Art. 70 – Le Président de la République, Chef de l’Etat, incarne l’unité de la Nation. Il est garant de la Constitution. Il incarne l’État dans le pays et à l’étranger. Il s’adresse directement à la Nation.

    Nizam el moulk
    1 avril 2019 - 10 h 23 min

    Gaid Saleh est encombrant pour l’armée et sa crédibilité, et ça ne date pas d’hier.

    Quelqu'un
    1 avril 2019 - 10 h 17 min

    Superviser la suite du jeux est important après les annonces de l’application des articles 102. 07 et 08.
    le pays doit être suivi par des responsables sinon cela va être l’anarchie ! Le maintient de l’ordre est important pour le maintient de la stabilité interne et externe, et stopper l’intervention étrangère en tant que ingérence des puissances mondiales.
    l’ANP serait le seul garant de ces enjeux stratégiques et « SÉCURITAIRES », n’oublions pas que nous avons prés de 7000 km de frontières à surveiller par tout type d’intrusions. J’avais parler de virus injecter en interne, et là c’est le début de la vaccination, avec laquelle l’état garantie la transition sans poignarder nos frères aux frontières.

    Monsieur X
    1 avril 2019 - 10 h 02 min

    J’ai plutôt l’impression qu’ils sont de connivence et la tactique consiste à faire le dos rond, tout en plaçant leurs oligarques à des postes qui les aideront au moment le plus opportun!
    Jusqu’où peuvent-ils aller sans engendrer des réactions de plus en plus hostiles ?

    AP = Tabloïd
    1 avril 2019 - 9 h 47 min

    Il n’a rien neutralisé du tout. L’armée demeure maîtresse du jeu. Son machin le Conseil Constitutionnel et son président servile et larbin a compris le danger de l’article 7 pour le clan makhzeniste. Fais
    La menace à peine voilée de Fais Salah de ‘abandonner l’article 102 et d’instaurer la souveraineté du peuple.
    Pour terminer @ AP.: donnez nous votre avis sur la prestation de serment de Belaiz, la main sur le Coran, jurant fidélité non au peuple mais à Bouteflika
    La Constitution est la loi suprême, la loi fondamentale au dessus de toutes les lois qu’un magistrat, un ancien ministre de la justice garde des sceaux de surcroît, se doit de respecter. Tout juge rend un jugement « Au nom du peuple ».
    Alors qu’au Maroc la justice est rendue « Au nom du roi ».
    C’est triste

    Anonyme
    1 avril 2019 - 9 h 45 min

    C ‘est Gaid Salah qui neutralise Bouteflika. Dés que Gaid à parlé des articles 7et8 les choses s’accélère. La liste des membres du nouveau gouvernement de Bedoui dévoilé Gaid devient le numéro deux après Bedoui

      AmiAhmed
      1 avril 2019 - 10 h 15 min

      Boutéflika ne neutralise rien, il est entrain d’écrire son histoire avec la main gauche , ils ont gagné ni la vie sur terre ni l’au delà , quel triste comportement.

    El Bey
    1 avril 2019 - 9 h 32 min

    Mr Bouteflika raisonne comme un pur Marocain, toujours laisser une bombe à retardement après avoir être viré d’un poste ou d’une responsabilité, mais le peuple Algérien ne tombera pas dans le piège tendu par ce dernier, ni reconnaissance ni fidélité oubliant le châtiment du Plus puissant Dieu

      ADMI
      1 avril 2019 - 10 h 12 min

      Bouteflika,le plus brillant et jeunes des ministres des affaires étrangères,durant plus de 15 ans,Il est Algérien.le président qui a ramené la paix suite à la décennie noires,Il est Algérien,c’est lui qui distribuait la manne pétrolière,tout heureux l’Algériens lambda,Bouteflika est Algérien,il a commandé pendant plus de 20 ans,il est Algérien,Aujourd’hui il est Marocain,hypocrisie quand elle vous tiens,elle avilie.

        Anonyme
        1 avril 2019 - 11 h 24 min

        @ADMI 10h12min
        On ne juge que les faits et non les intentions et le resultat est la…il faut etre vraiment aveugle et de mauvaise foi pour dire le contraire…. Bouteflika en fin de parcour ,malade,paralyse… a instaure la culture de la rapine,de la corruption , de la fraude fiscale et du nepotisme….pendant plus de 20 ans,Il nous faut des annees pour reeduquer ces malfrats opportunistes et profiteurs qui ont gravites autour du pouvoir de Bouteflika et sa mafia….Aujourd hui le peuple a mis la premiere pierre pour l edification de la 2 eme republique en imposant le changement radical de ce systeme politique base sur une gouvernance de bras casses,corrompue jusqu a la moelle…..Notre peuple et notre mere l Algerie seront en fin de compte les grands vainqueurs

    Bouteflika l'ennemi de l'Algerie
    1 avril 2019 - 9 h 21 min

    Honte à ce pouvoir très sale, le monde entier se moque de ce pouvoir mafia.

    Anonyme
    1 avril 2019 - 9 h 16 min

    Les loups ne se mangent pas entre eux

    Hamid
    1 avril 2019 - 9 h 11 min

    C’est sa derniere vengence. Il ne voudrait que du mal au peuple. S’il le pouvrait il l’aurait fait disparaitre. Il hait tout ce qui bouge en Algerie.

    Anonimaoui
    1 avril 2019 - 9 h 08 min

    Le scénario de l’article 102 est exécuté à la perfection. Chacun est dans son rôle. Quelques membres du clan vont disparaitre du sérail algérien, dont Bouteflika et ses proches parents, alors que d’autres vont leurrer le peuple par des actions d’éclat puis poursuivre la prédation pour un certain temps. Sinon pourquoi le clan tient si fort à l’application de l’article102?

    Anonyme
    1 avril 2019 - 9 h 00 min

    Si Gaïd Salah ne réagit pas, il sera considéré complice de la nouvelle manœuvre de Bouteflika contre le peuple; s’il réagit, ce sera considéré comme un coup d’état qui sera condamné comme tel autant à l’intérieur que par les soutiens de Bouteflika à l’extérieur. C’est donc au peuple et à la société civile de faire la différence en ne reconnaissant pas ces nominations faites par quelqu’un que le peuple juge impotent et incapable de prendre une quelconque décision. D’autant plus que les cachet de la présidence est chez son frère et que ces nominations n’ont apparemment qu’un seul but: permettre à ceux qui ont saigné l’Algérie de fuir sans être inquiétés en desserrant l’étau qui se ressert sur eux.

      Sam
      1 avril 2019 - 9 h 29 min

      C est un piège en rendant L Anp un menbre du gouvernement, d autre par est ce que l anp va laisser la place vide pour que boutef and Cie nomment un ministre de la DEFENCE, il faut bien interpréter la manœuvre, ils ne veulent pas partir quitte à ce que l Algérie disparaisse de la carte, ce qui nous amène à dire que le plan de l état du sahel est activé le plan si cher a la France spécialement vu qu elle est entrain de ce faire éjecter de l Afrique

    Argentroi
    1 avril 2019 - 9 h 00 min

    Mais Gaïd Salah n’est que vice-ministre, il ne siège pas donc au gouvernement ! Et si Bouteflika l’avait dégommé et mis un autre à sa place, comme Toufik, ( apprenons à appeler un chat, un chat ), le cours du mouvement populaire naissant en serait changé radicalement; d’ailleurs le clan Bouteflika agit à drapeaux déployés maintenant en essayant d’avoir le soutien de Toufik, Macron aidant quand on recoupe les faits. Eh, oui le mouvement populaire naissant serait étouffé dans l’œuf quand on connait la puissance des réseaux tissés dans tous les secteurs névralgiques par l’ancien DRS tels l’administration, les banques , les affairistes, les industriels, les médias , les magistrats, les députés, partis et associations et j’en passe. Le propre du caporalisme, quoi, régenter tout !
    Gaïd Salah a fait un choix politique judicieux en s’alliant au peuple et en annihilant les manœuvres de l’état DRS ou l’état gardien du temple que l’euphémisme de certains nomme l’état profond. Et la route reste longue !

      Anonyme
      1 avril 2019 - 11 h 22 min

      Ils sont en train de tourner le peuple en bourrique comme ils l ont fait depuis 1962…
      Ils ne lâcheront jamais le pouvoir et l argent avec…
      La révolution du sourire c est bien mais va t elle être suffisante pour dégager ce système qui lui est basé sur les méthodes de la maffia??
      Soit c est lui soit c est nous….il est grand temps de réfléchir à la suite de notre combat et de s organiser en vue de contrer une fois de plus ce vol de la volonté du peuple..

        diabolo
        1 avril 2019 - 19 h 59 min

        ils sont très malins ces gens la ils ont programmé tous ça bien avant!!!même gaid Salah a été ordonné pour déclarer qu’il faut appliquer l’art 102.ce qui nus explique pourquoi lamamra est parti a l’extérieur pour décrocher décrocher le soutien de l’extérieur pour sa.le sidence de 3 mois!!!!

    Anonyme
    1 avril 2019 - 8 h 54 min

    Bouteflika n’est pas algérien, c’est clair, net et précis. C’est un homme dont le profil psychologique a toujours été fantasque et rusé. Ceux qui nous l’ont ramené sont grandement responsables et coupables de la déchéance de notre pays depuis l’arrivée des Bouteflika. Chaque semaine les algériens manifesteront, c’est clair et tous les corps d’état se retourneront contre les Bouteflika. Cette famille est illuminée.

      elgat
      1 avril 2019 - 11 h 45 min

      De grâce et si on arrête de dire des inepties, et donner des points de vues qui rendent service a la Nation.Ne faisons pas croire a nos enfants que l’Algérie a été dirigé par des marocains ou autres nationalités, Bouteflika autant que le clan d’oujda ( Boussouf né a Mila,Boumedienne né a Guelma, cherif belkassem né dans les Aures , Medeghri né a Oran entre autres) sont a 100%algeriens autant que vous et moi et autant qu’étaient les harkis avant leur trahison.

    selma
    1 avril 2019 - 8 h 52 min

    La camora Bouteflika a décidé autrement, une humiliation magistrale du chef d’Etat Major qui aurait du refuser le cadeau empoisonné ou le deal vermoulu par la fratrie des Boutef
    Le peuple ne restera pas les bras croisés face à cet affront de taille fait aussi bien au peuple algérien qu’à son armée. C’est nous et nos métastases ou la politique de la terre brûlée
    Que fera Gaid Salah ?

    La Viriti
    1 avril 2019 - 8 h 35 min

    Les conseillers de Macron sont entrés en piste pour parachever les plans diaboliques des Bouteflika.
    C’est pour cela, d’ailleurs que la France a toujours soutenu cette famille mafieuse et antinational. C’est pour cela aussi que nos richesses sont offertes à la France depuis 1999 : Contrats juteux, pétrole et gaz gratuit.
    Bouteflika et sa tribu ne sont pas des algériens. Nous sommes dirigés par des marocains. C’est officiel.

    Brahms
    1 avril 2019 - 8 h 26 min

    Le système est entrain de s’autodétruire tout seul. Quand, il y a trop d’égo, quand on ne veut pas perdre la face et quand le peuple pousse dans le monde entier forcément le système se fissure et va s’écrouler. N’oubliez pas que le peuple possède toutes les bonnes cartes et peut attaquer devant les tribunaux européens Total, Engie, Repsol, ENI afin d’être payer directement sur les ressources naturelles qui sont volées en Algérie. Les rôles vont s’inverser bientôt. S’agissant des voleurs, on peut prendre facilement sur leurs appartements se situant à Paris (argent de la corruption) pour les saisir directement.

    chettab
    1 avril 2019 - 8 h 18 min

    je pense que la présence de Gaid Salah dans ce gouvernement est une stratégie de ce dernier pour avoir un œil sur ce qui ce passe à ce niveau là mais aussi il peut courir le risque d’être mit à la retraite s’il n’est pas membre de ce gouvernement

    Anonyme
    1 avril 2019 - 8 h 15 min

    boutef, gaid et leurs cliques qui se permettent de violer la constitution à tout bout de champs n’ont aucune légitimité en dehors du peuple. Ce peuple leur dit game over. Leur gouvernement on s’en tape, il est nul et non avenu en gros et dans le détail. Vendredi 40 millions d’Algériens vont descendre dans les rues. Nous apporterons nos maigres provisions et y pick-nickerons jusqu’à la fin des temps s’il le faut.

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