Quelles raisons ont conduit le chef de l’Etat à dégommer le Premier ministre ?

Tebboune Benabderrahmane Larbaoui
Le président Tebboune et l'ex-Premier ministre, Aymène Benabderrahmane. D. R.

Par Abdelkader S. – L’information est tombée comme un couperet, ce samedi. Alors que rien ne présageait une décision aussi subite, le Premier ministre a été dégommé et son limogeage annoncé par le truchement d’un communiqué aussi concis que sibyllin de la présidence de la République, nous apprenant que le directeur de cabinet, Nadir Larbaoui, présiderait aux destinées du gouvernement et que le conseiller juridique du président Tebboune prendrait la direction intérimaire du cabinet présidentiel.

Pourquoi ces changements et permutations inattendus ? Et pourquoi maintenant ? Aymène Benabderrahmane a-t-il failli dans l’exercice de ses fonctions ? Cette hypothèse est à balayer d’un revers de main, estiment des observateurs de la scène politique nationale, en ce que l’ancien gouverneur de la Banque d’Algérie, dont la nomination à la tête de l’Exécutif fut aussi surprenante que son éviction soudaine, semblait exécuter à la lettre sa feuille de route, sans aucun risque qu’il commît un faux pas, puisqu’il a montré sa propension à s’astreindre à une discipline sévère.

Cette discipline sévère a-t-elle, justement, eu raison de son respect strict des règles de conduite qui lui étaient imposées, au point de retarder la mise en application des décisions et des directives du président de la République ? Autrement dit, Aymène Benabderrahmane a-t-il manqué d’initiative et de perspicacité ? Que peut-on reprocher au Premier ministre dont Tebboune a décidé de se séparer, sinon une lenteur dans l’exécution du programme présidentiel, mission pour laquelle il a été désigné en juin 2021, en remplacement d’Abdelaziz Djerad ?

Sur le plan moral, on ne peut pas accuser le déjà ex-chef du gouvernement de vénalité ou de concupiscence. Issu d’une famille pieuse et patriotique, Aymène Benabderrahmane ne peut pas avoir été remercié pour quelque soupçon de corruption ou de prévarication. Son seul tort aura sans doute été d’avoir eu du mal à éliminer les entraves dont le chef de l’Etat lui-même n’a eu de cesse de se plaindre, ces vieux réflexes ataviques que sont les lenteurs bureaucratiques, la petite corruption et l’inertie.

La nomination de Nadir Larbaoui à la rue du Docteur-Saâdane, à une année de l’élection présidentielle, dont l’échéance avance à grands pas, est un signe que le président Tebboune veut mettre les bouchées doubles pour rattraper le retard dans la réalisation de ses engagements pris lors de sa campagne électorale. Le chef de l’Etat, à qui le maintien du régime social tient à cœur, poursuivant les programmes de logements subventionnés par l’Etat, augmentant les salaires et les pensions, exemptant les citoyens de nouveaux impôts et taxes, instituant des allocations pour les chômeurs et les femmes au foyer, a jeté son dévolu sur un diplomate de carrière qui a eu à démontrer ses qualités à l’occasion du Sommet arabe qui s’est tenu à Alger les 1er et 2 novembre 2022.

Alors représentant de l’Algérie aux Nations unies, à New York, la mission, qui devait être confiée à l’ambassadeur d’Algérie auprès de la Ligue arabe, avait été déléguée à celui auquel le président de la République confiera, plus tard, la direction de son cabinet et qui verra ses attributions élargies pour devenir un quasi-Premier ministre bis.

Quel rôle le successeur d’Aymène Benabderrahmane va-t-il jouer durant l’année qui nous sépare de la prochaine présidentielle, alors que le prédisent en exercice n’a toujours pas fait part de sa décision de rempiler ou non, préférant, pour le moment, se concentrer sur les innombrables dossiers chauds qu’il doit gérer, tant sur le plan interne qu’externe ? Contrairement à son prédécesseur, le bagage diplomatique de Nadir Larbaoui lui permet d’appréhender les enjeux internationaux complexes qui s’imposent à l’Algérie, notamment depuis la reprise des hostilités au Proche-Orient et les massacres qu’Israël commet à Gaza. La dernière décision du président Tebboune de bouder le Sommet arabo-islamique conjoint, dont les travaux viennent de s’achever en Arabie Saoudite, prélude un changement profond dans la politique étrangère du pays, qui refuse que soit opposé aux crimes de l’Etat hébreu des communiqués creux et vains, comme celui qui a couronné le rendez-vous de Ryad, ce samedi.

A. S.

Comment (45)

    Seb3 Erryah
    14 novembre 2023 - 12 h 49 min

    La question n’est pas de savoir pourquoi Untel a été remplacé par un autre, la question est combien de mois ou de semaines durera le nouveau remplaçant lui-même avant d’être remplacé par un nouvellement-nouveau remplaçant. Il semble que le pouvoir s’adonne au jeu de rey-rey depuis…depuis…depuis quand déjà?… Ah oui, depuis toujours, je crois bien. Ce n’est pas en jouant au bonneteau politique qu’on finira par trouver les bonnes solutions. Mais ce pouvoir cherche-t-il vraiment les bonnes solutions? J’en doute. Il n’ya qu’à voir les décisions dévastatrices prises sans aucune consultation ni aucune considération pour quoi que ce soit, telles que celles mentionnées par Abou Stroff. Remplacer le français par l’anglais comme ça, brusquement, sans aucune préparation, rien ? C’est du sabotage pur et simple. Et pourtant je maîtrise l’anglais mieux que le français moi-même.

    DAZEZOURE
    13 novembre 2023 - 20 h 52 min

    Quoi qu’on dise et quoi qu’on pense mais aussi sans oublier le quoi qu’on fasse, notre pays traverse depuis déjà quelques années, des périodes difficiles et le remplacement de certains responsables n’est pas bienvenu car nous avons besoin de sérénité et de serrer les rangs. Ceux qui disent que tels ou tels doivent remettre leur tablier du jour au lendemain ne porte pas notre patrie dans leur cœur mais dans leur portefeuille.
    A bon entendeur salam!!!

    Anonym3
    13 novembre 2023 - 13 h 51 min

    Le système du président El Wahed n’as jamais fonctionner et ne fonctionnera jamais.la meme politique, les memes discours ,le meme tbaaliite,que du populisme et du bricolage. Heureusement que nous avons une institution qu’on appel ANP qui tiens la balance au milieu. Nous avons besoins des politiciens intellectuels avec des idees nouvelles qui correspondes a la mentalite du peuple, une nouvelle philosophie,des representants du peuple et du senat élus et proches du peuples, des walis issus de la région et non parachutes qui connaissent rien de la région,même pas ou se trouve le souk de la ville et font le boss sur les pauvres maires qui sont élus. Pas uniquement les walis ,même les PATRONS de la daira eux aussi parachutes s’ingerent dans les affaires des APC.nous avons besoin d’un profond changement pour assurer l’avenir des enfants qui dans quelques annees ils deviennent adolescents et non le tbaalite du chabab ce mots qu’on entend depuis le temps de L’unja,ouled el moudjahidines ,wled echouhadas, el kachafa el islamia,l’ugta ,les kasmas de djebhat etherir dirigées par les opportunistes et les faineants et les autres bla bla des campagnes electoral.le chaab el adim c’est quand il se leve le bon matin et se prepare pour aller travailler et chacun fait son job convenablement allant du commercant au chauffeur du bus que malheureusement aujourd’hui on vois des bus deguellasses qu’on appel le rapide. Le président Tebboune s’est tromper, il aurait u
    du dire nous allons retourner a el djazair el kadima des années 70 ou L’Algerie été belle,vierge et respectée, Aujourd’hui elle est devenue vielle,moche,sale et surpeuplee.les incompetants bricoleurs ont detruits même la nature ils ont construit leurs logements aadl et social non seuleument a 4 metres de la route national, ils ont massacrer même les arbres et les montagnes sans réfléchir au coupure de l’electricite, de l’eau ,de la circulation des voitures et les autres consequences . la seule wilaya qui est epargnee c’est club des pins et sa daira morretti.je me rappel etant enfant ou je passais des bon moments dans ce merveilleux endroits que tout le peuple avait sacrifier pour que L’Algerie se releve et sera respectée.

    Abou Stroff
    13 novembre 2023 - 6 h 50 min

    espérons que dans le « nouveau » gouvernement du « nouveau » premier ministre, il n’y aura ni ministère des (anciens?) moudjahidines, ni ministère de la religion, entre autres ministères qui ne font que grever le budget de l’état au profit d’une partie des rentiers du système.

    en effet,
    – primo, les lois de la biologie, étant ce qu’elles sont, le nombre de moudjahidines devrait avoisiner le zéro et, me semble t il, la suppression du ministère des moudjahidines permettra d’orienter le budget qui lui est consacré à des investissements productifs pour lutter, entre autres, contre le stress hydrique qui constitue une menace certaine pour notre avenir.
    – secundo, le ministère de la religion ayant pour objectif ultime d’enfumer, au même titre que la vermine islamiste, les algériens lambda, il me semble que sa suppression représentera un signal fort pour entamer le confinement de la religion dans la sphère privée pour que chaque individu lambda puisse adorer son Dieu comme bon lui semble ou ne rien adorer, s’il n’en ressent pas le besoin.

    wa el fahem yefhem

      Anonyme
      13 novembre 2023 - 23 h 11 min

      C’est grâce aux chouhadas et aux anciens Moudjahidines que vous êtes arrivés à écrire ce commentaire. Sans eux vous seriez un berger gardant 2 ou mieux 3 chèvres.

        Anonyme
        14 novembre 2023 - 4 h 50 min

        Mais qu’est ce que tu racontes. Réfléchis un peu. Il a tout simplement dit qu’il ne devrait pas rester assez dr moudjahidines el abrar dû à l’âge pour justifier toit un ministère. Ne penses tu pas qu’il a raison.

          tartempion
          14 novembre 2023 - 22 h 13 min

          a quoi sert le fln maintenant les chouadas ne sont plus de ce monde ces messieurs n ont meme pas fait la guerre ils grattent l argent pour eux et leur famille c est tout ils ont meme mis un marocain d origine secretaire du fln l algerie marche sur la tete c est incroyable bientot plus un algerien aux commandes

        Aderre
        14 novembre 2023 - 11 h 28 min

        Monsieur, madame!
        Ce n’est pas minimiser de leur valeur , ou de la reconnaissance que leur doivent les générations de l’indépendance, que nous sommes tous. Mais toute les compétences et attributions du Ministère de Moudjahidines, peuvent être prise en charge, ou transférées vers le ministère des affaires sociale. l’État va économiser tout un budget de fonctionnement. Comprendre avant de dire l’import quoi! We Hadrrane I wi fahmane En kabyle.

    Je me lance dans une hypothèse
    12 novembre 2023 - 21 h 23 min

    L’ ex Premier ministre n’a pas été mauvais. Homme intégré & honnête, austère, competent et introvertis! On a senti quand même sa patte dans le changement timide et des réformes en cours du secteur financier et bancaire. Cependant face aux lourdeurs bureaucratiques corrélés à la corruption, il a manqué de leadership à gérer le changement et à s’imposer face à la baronnie. Son.avenir est encore devant lui! Mais le binôme Tebboube et A.B ne sont pas complementaire concernant les enjeux internationaux geo strategiques, le soft power, le networking et la comphrension des changements mondiaux qui de plus l’Algérie siège à l’ONU comme membre non.permanent pour 2 ans. Tebboune a de vrais lacunes concernant la diplomatie et ses subtilités. On a pu constater les différentes bourdes sur les BRICS, la maladresse sur Poutine, « Ami de l’humanite », les fuites et les maladresses sur son entretien de 4 heures avec des journalistes, les actes inamicaux avec l’Espagne, UAE, KSA, France,… Il ne maîtrise pas les codes diplomatiques et il n’a pad intégré les mutations mondiales. Ce nouveau Premier Ministre expert apprecie, competent et reconnu va lui apporter ce complément de la gestion et des relations internationales sans lui fairecde l’ombre pa son age et palier à ses lacunes! Tebboune pourra alors se consacrer à son 2nd mandat et à la mise en.place des changements économiques internes pour booster l’économie. Je pense que c’est le deal des décideurs et la condition pour qu il puisse se représenter! Son équipe de conseillers et la définition de leurs R&R seront des outils pour la continuation, mise en place et l’exécution de son programme économique.

      Anonyme
      13 novembre 2023 - 23 h 21 min

      L’ancien PM Aymen Benabdarrahmane n’a pas failli dans sa fonction. Mais au bout de 2 ans et 4 mois avec un travail d’au moins 16h par jour, c’est comme s’il avait exercé pendant 4 ans et 8 mois. Il est « usé par le travail ». C’est tout à fait normal de le remplacer par du sang neuf pour le bien de l’Algérie.
      Bon courage Monsieur Nadir Larbaoui.

        c'est ce que je dis
        14 novembre 2023 - 16 h 25 min

        Il a fait bouger certaines choses essentiellement touchant ses domaines de compétences. C’est un talent , avec cette expérience de 1er Ministre, qui peut lui permettre de jouer d’autres rôles importants voir le 1er dans un avenir à moyen terme vu son âge. Il n’a pas démérité loin de là @

    Nacer
    12 novembre 2023 - 19 h 39 min

    DEGOMMER??? Pourquoi ? (…) La conjoncture actuelle nécessite des ajustement, c’est tout. M Abderrahmane est un économiste compétent et de bonne famille qui a été désigné pour la relance économique et je crois qu’il a réussi dans sa difficile tache. Maintenant, le contexte géopolitique nécessite une diplomatie forte et il n’y a pas mieux que M Larbaoui, M Boukadoum, M laamamra

      @nacer
      12 novembre 2023 - 23 h 49 min

      « …….de bonne famille…. », il va se marier ou quoi !?

      Algerien Pur Et Dur
      13 novembre 2023 - 17 h 43 min

      Dans l’arène politique, l’évaluation du succès d’un Premier Ministre ne se limite pas aux intentions louables mais s’enracine dans des réalisations concrètes. Ainsi, la question cruciale émerge : Aymène Benabderrahmane a-t-il réellement atteint ses objectifs? J’ai personnellement plongé au cœur de son mandat, espérant dénicher trois ou quatre jalons significatifs qui ont façonné son passage à la tête du gouvernement. Malheureusement, en vain.

      Parmi les lacunes criantes, mettons en exergue en premier lieu l’absence de progrès significatifs dans le secteur éducatif. Les réformes audacieuses, susceptibles d’ouvrir des perspectives prometteuses pour la jeunesse, ont-elles vu le jour sous son leadership? Sur le front économique, a-t-il présidé à une période de croissance robuste, libérant l’économie algérienne de la dépendance aux cours du gaz et du pétrole, tout en alimentant l’emploi et consolidant la stabilité financière? Ou bien sommes-nous face à un manque de résultats tangibles, révélant un déficit de leadership visionnaire et une difficulté à naviguer dans des eaux politiques souvent tumultueuses?

      Cependant, au-delà de ces constats, persiste une interrogation cruciale: qu’auraient pu accomplir, que ce soit lui, ses prédécesseurs, ou son successeur, confrontés qu’ils sont à l’ombre à la fois omniprésente et menaçante du pouvoir occulte, cette main obscure agissant depuis l’intérieur et qui semble priver l’Algérie de ses rendez-vous historiques cruciaux? La réponse à cette question complexe réside dans la nécessité impérative de neutraliser l’influence néfaste de ces entités sans visage, défiant ainsi tout dirigeant, quelle que soit son approche.

      Pour être certain, ces défis persisteront également pour celui qui le remplacera, et la véritable épreuve demeure la capacité de tout leader à rompre l’étreinte de l’ombre, cette main de l’intérieur bien plus dangereuse que celle de l’extérieur, qui, tel un fil invisible, guide le destin de la nation vers des avenirs qui continueront malheureusement à être loin d’être stables et prospères.

      Anonyme
      14 novembre 2023 - 9 h 58 min

      Oui, vous avez raison en écrivant : « La conjoncture actuelle nécessite des ajustement…. ».
      Il n’y a qu’en Algérie où quand on remplace un PM ou un Ministre tout le monde crie au « dégommage et à la sanction de ces personnes.
      Dans tous les pays développés, ces changements passent comme une lettre à la poste.

      Oui
      14 novembre 2023 - 16 h 34 min

      Le problème est que le Président Tebboune a plusieurs trou dans sa raquette. C’est à dire 1/ ses grosses lacunes en économie 2/ des grosses lacunes en politique extérieur et ces enjeux 3/ des grosses lacunes en communication 4/ un dynamisme diminué par ke covid et son grand âge 5/ un logiciel politique des année 70.

      Cela fait beaucoup MAIS les décideurs n’ont plus trop le choix que de laisser postuler au 2eme mandat par un défaut de candidat motivé et/ou visible mais aussi pour une raison externe de visibilité et de stabilité. Alors on brodé autour de lui pour combler à ses failles jusqu’à 2029 qui permettra d’avoir un talent qui remplit toutes mes cases ou beaucoup d’entre elles.

    Brahms
    12 novembre 2023 - 18 h 58 min

    Le calcul est simple,

    8 millions d’algériens en Europe placent 800 € par an dans leur pays = 6 400 000 000 € (6.4 milliards d’€)

    Vous faites cela pendant 10 ans, le pays se développera et il y aura nettement moins de précarité dans le pays bien mieux que de donner votre argent à l’Arabie Saoudite.

    A l’inverse, avez vous déjà vu un saoudien, vous ramenez 10 milliards d’euros par an sur ALGER, jamais de la vie donc pourquoi le faire ?

    Il faut donc revenir au serment des chouhadas qui se sont sacrifiés pour l’indépendance, l’ARABIE SAOUDITE c’est donc un mauvais chemin et les mosquées servent juste les intérêts des saoudiens.

    Un politicien sans moyen financier ne pourra jamais rien faire dans le pays car pas suffisamment de budget pour entreprendre des choses donc chacun a une part de responsabilité.

      Aucune Chance
      12 novembre 2023 - 21 h 04 min

      Ça n’arrivera JAMAIS
      Sauf si on Autorise les Fonds Privés ALGERIENS d’INVESTISSEMENT à PARIS ou à LONDRES.
      .
      Ils ont beau faire des Discours
      Aucun ALGERIEN , n’a confiance dans Le Système Bancaire et Financier ALGERIEN et encore moins en la JUSTICE!
      C’est triste mais c’est comme ça

      Scoobydoo
      12 novembre 2023 - 22 h 00 min

      L’ex PM a été degomme pour avoir dit quelque jours plus tot à l’APN que « L’Algérien n’est pas un tube digestif »; un blasphème pour le régime en place où toute la politique s’y base!

      Anonyme
      15 novembre 2023 - 14 h 05 min

      Vous savez bien que la diaspora Algérienne est la seule qui envoie le moins de devise en Algérie comparée au reste pays du tiers monde.

    Anonyme
    12 novembre 2023 - 18 h 32 min

    Le PM Aymen Benabderrahmane a occupé ce poste 2 ans et 4 mois (28 mois). A son poste, il a travaillé au moins 16h par jour. C’est comme si il a occupé le poste pendant 4 ans et 8 mois. Au bout de ce temps de travail sans arrêt il devient moins efficace uniquement par fatigue.
    C’est tout a fait normal de mettre fin à ses fonctions afin de le remplacer par du sang neuf.
    Il n’est pas nécessaire de chercher d’autres raisons.

    Anonyme
    12 novembre 2023 - 18 h 06 min

    « Contrairement à son prédécesseur, le bagage diplomatique de Nadir Larbaoui lui permet d’appréhender les enjeux internationaux complexes qui s’imposent à l’Algérie, notamment depuis la reprise des hostilités au Proche-Orient et les massacres qu’Israël commet à Gaza » . ce que l’on demande au premier ministre c’est d’améliorer la situation des algériennes et de algériens et non pas des gazaouis avec tout le respect que j’ai pour eux. Il me semble que l’on à un MAE pour cela non? M Larbaoui est un diplomate et il faut à l’Algérie un économiste pur jus. Toue cela me semble mal parti!

    [email protected]
    12 novembre 2023 - 17 h 26 min

    Le president a donner des directife qui sont pas appliquer ou tres mal pas la faute du premier ministre m est cette facon de gouverner dans echelle de direction que notre president ne veut plus qui fonctionne pas il sont têtue il leur a dit de moins de bureaucratique plus action il faut encors un peut de temp m est ca va venir.

    Anonym3
    12 novembre 2023 - 17 h 21 min

    Hmida a choisis Moussa el hadj pour remplacé el hadj Moussa.comme si tout va bien a l’intérieur pour vendre la bonne image a l’exterieur. Si on ne reconnais nos erreurs et accepter les critiques constructive
    on evoluera jamais.ce n’est pas les hadjs Mousa qui manquent on les vois partout, même dans les clubs de foot et les federations.

      Anonyme
      14 novembre 2023 - 14 h 47 min

      Un est economiste et l’autre diplomate. Donc Moussa el hadj ne remplace pas el hadj moussa. Le mal de l’algerie est bien plus profond et il vient de l’interieur. Même si sayadna Aissa decide de faire de l’Algerie le point de depart de son retour, rien n’y fera.

    Anonyme
    12 novembre 2023 - 16 h 32 min

    mettre tous les grands dossiers à plat, consulter le peuple sur le grandes décisions et les choix stratégiques, refonder les accords internationaux, inscrire l’exception algérienne au patrimoine de la morale universelle authentique, édifier une muraille à l’ouest comme frontière, amorcer l’expulsion de tous les marocains présents sur le sol algérien qq soit leurs statuts , organiser un brain storming national sur les fondements et l’avenir de la République et surtout inscrire en lettres de sang l »ANP comme monument au sens moral intellectuel historique spirituel inattaquable et vivant pour l’éternité. une idée pour partager la pensée et VIVE l’ALGERIE glorieuse heureuse forte digne et fougueuse

    Kahina-DZ
    12 novembre 2023 - 16 h 10 min

    Le changement du premier ministre est probablement lié à la situation géopolitique actuelle. Une expérience en géopolitique est de mise…

    D’autre part, pour réussir un programme socio-économique, il faut que les maires- les walis ainsi que tous les autres responsables (à tous les niveaux) soient conscients de leur responsabilité professionnelle… ils doivent être sur la même longueur d’onde que ceux d’en haut.
    Tout ce qu’on remarque: Le déphasage total entre la base et le haut…Il n’y a pas de suivi…Absence de coordination concrète sur le terrain.

    ABDL
    12 novembre 2023 - 15 h 51 min

    Tous mes encouragements et vœux de réussite au nouveau Premier Ministre Algérien Nadir Larbaoui.

    A la fin de sa préface à son ouvrage majeur « Vocation de l’Islam », écrite en Avril 1970, Malek Bennabi nous prévenait déjà en ces termes :
    « Le monde musulman a déjà subi les secousses de 1948 et de juin 1967.
    La troisième l’engloutira certainement si les musulmans n’anticipent pas les évènements tragiques de ce temps et se contentent seulement de les suivre à petits pas.
    Les temps ne sont plus où les sociétés pouvaient vivre en attendant de rencontrer un jour, au hasard de la route, leur vocation historique. Aujourd’hui, dès les premiers pas, on doit savoir vers quel but lointain on est parti. »

    Depuis tant de temps perdu !!!!!!!!!!!!
    (Il faut mettre Malek Bennabi au programme en Algérie.)

    Je demande également au Premier Ministre un plan de refondation complète de l’Administration Algérienne, de l’Université Algérienne et du monde scientifique Algérien, qui doit passer par un appel aux meilleurs compétences Algériennes et aux meilleurs scientifiques du monde entier prêts à travailler pour le monde libre et donc pour l’avancement des sciences et des arts en Algérie, notamment ceux qui Français d’origine algérienne ne peuvent pas trouver d’emploi en France à cause d’une politique délibérée de la part de l’Administration Française (entièrement contrôlé par la vermine sioniste génocidaire) de haine rageuse, d’islamophobie débridée et de discrimination raciale/religieuse assumée.
    Egalement mettre tous les drogués algériens en prison et les sevrer et sévir sans ambages contre tous les délinquants crapuleux qui pullulent en Algérie.

    L’Avenir de l’Algérie se décidera dans les 5 prochaines années, ses dirigeants n’ont plus le droit à l’erreur.
    Il faut rechercher et exploiter les pépites que contient l’Algérie et le monde libre.

    Abou Stroff
    12 novembre 2023 - 15 h 17 min

    « Quelles raisons ont conduit le chef de l’Etat à dégommer le Premier ministre ? » s’interroge A. S..

    n’étant pas dans le secret des Dieux, je ne puis répondre à la question posée.
    et n’étant pas dans le secret des Dieux, je me permets de poser les questions, à un doro chacune, suivantes:
    1- quelles raisons ont conduit feu gaïd salah à « élire » tebboune au poste de président de la république, après avoir déboulonné le fakhamatouhou qu’il a servi, avec beaucoup de zèle, pendant de nombreuses années?
    2- quelles raisons ont conduit tebboune à augmenter les salaires et les pensions, à exempter les citoyens de nouveaux impôts et taxes, à instituer des allocations pour les chômeurs et les femmes au foyer, et …………………………….à jeter son dévolu sur un diplomate de carrière qui ne connaît quasiment rien à la dynamique de la société algérienne du moment?
    3- quelles raisons ont poussé tebboune à décider de remplacer le français par l’anglais alors que le système éducatif (de l’école primaire à l’université) est en plein déliquescence et que 99% des enseignants sont incapables d’aligner un sujet, un verbe et un complément en anglais?
    4- etc..

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part le constat incontournable que le pouvoir en Algérie n’a jamais cessé d’infantiliser les algériens lambda en ne les associant à aucune décision, y compris celles qui mettent en jeu la destinée de l’Algérie, en tant qu’Etat et Nation.

    wa el fahem yefhem.

    (…)

      Abou Stroff
      13 novembre 2023 - 6 h 33 min

      je pense que la dernière partie de mon commentaire qui a été supprimée par le modérateur, mérite d’être publiée car elle est la synthèse incontournable de la tragédie que nous, les algériens vivons.

      « PS: ces décisions « volontaristes » qui ne sont point expliquées aux algériens lambda ont pour conséquence la démission palpable et quantifiable de ces derniers de la gestion de la « cité » (voir les taux de participation aux diverses « élections ») et favorisent, dans la même mouvement, le monopolisation de la dite gestion par une caste qui gère à son profit la rente pétrolière et finit par se convaincre que l’Algérie et les algériens sont sa propriété privée.

    RAS et au prochain
    12 novembre 2023 - 14 h 26 min

    le changement ne viendra pas de la part de ces recyclés. lui même désigné pour 2 ans au maximum et ainsi de suite. J’imagine que leur « passassion de consignes » se limite à s’échanger les clés de bureau et rien d’autres !

    Anonyme
    12 novembre 2023 - 14 h 23 min

    الرجل المناسب للمكان و الزمان و الظرف المناسب

    Algérien et patriote
    12 novembre 2023 - 14 h 13 min

    Je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas de communication pour expliquer se limogeage, laisser les ALGÉRIENS dans le flou chaque fois qu’on remplace quelqu’un donne de l’eau au moulin de nos ennemis… dommage vraiment dommage…

    Brahms
    12 novembre 2023 - 14 h 12 min

    NOEM en Arabie Saoudite prend forme, une mégalopole construite par les européens, et américains donc forcément, la PALESTINE, leur dernier souci.

    Il faut donc arrêter de nourrir ces bédouins avec ou sans Premier Ministre car chaque citoyen est un ambassadeur de son propre pays donc arrêtez de financer ces bédouins avec leur tour de manège à
    9000 € qui vous font les poches pour s’enrichir sur votre dos.

    C’est pourquoi, au lieu d’attendre tout de l’Etat, faîtes déjà le ménage chez vous et faites fructifier votre argent dans votre pays pour que l’économie nationale puisse financer les projets structurant dans votre pays et non dans ceux des autres.

    L’avenir se décide maintenant et non dans 10 ou 20 ans

    che
    12 novembre 2023 - 13 h 21 min

    le blocage ne vient toujours pas des ministres mais plutot des petites mains dans l administrations la petite corruption journaliere chacun fait ce quil lui convient mr tebboune donne les directives mais derriere il n y pas de suivis il faut revoir le fonctionnariat et la bureaucratie changer de ministre ne changeras rien c est le systeme quil faut changer ou reformer le laissez faire vas detruire ce pays il faut des lanceurs d alerte dans chaques admistrations

    lhadi
    12 novembre 2023 - 12 h 55 min

    L’Algérie d’aujourd’hui a besoin d’un diagnostique solide et de courage politique.

    Quand on regarde l’histoire de l’Algérie post-indépendance, on constate que le système de notre pays, dominé par des personnages souvent enivrés de pouvoir, n’a jamais été capable de mener de grandes réformes qui vont dans le sens des intérêts les plus élevés du pays et du bonheur intérieur brut du citoyen, c’est-à-dire vivre mieux.

    Il ne faut pas se cacher derrière le mur du silence. Le président de la république est le seul responsable des errements et multiples échecs de sa politique qui fonctionne à hue et à dia. je m’en ouvre en lui suggérant :  Ce n’est plus possible. Il faut s’y prendre autrement. Comment ? en mettant l’intelligence au service de l’action.

    Quoiqu’il en soit, un pays, faible et affaibli par des échecs successifs, tel que l’Algérie, a besoin d’un Périclès des temps modernes, réformateur pour lequel résoudre les problèmes par l’action soit un impératif. La tache, ô combien nécessaire, est difficile mais possible.

    fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Bonne Chance a Mr LARBAOUI
    12 novembre 2023 - 12 h 43 min

    Bonne Chance a Mr LARBAOUI
    Après ..Djerradi et Benabderrahmane …Larbaoui
    Il a du mérite d’Accepter cette mission COMMANDO de RÉUSSIR a faire en moins de 12 mois ce que 2 Gouvernement ont ÉCHOUÉ.
    C’est Difficile de Trouver un Homme d’Etat capable de :
    TOUT CHANGER sans Rupture avec l’Ancienne ALGERIE
    SANS ÉCOUTER les PARTIS POLITIQUES
    SANS ÉCOUTER les SYNDICATS
    SANS ÉCOUTER les EXPERTS
    SANS CHANGER les PRATIQUES
    ..
    Bref !
    Bonne Chance a Mr LARBAOUI Pour essayer TOUT CHANGER , sans RIEN CHANGER au Fond.

    Amin99
    12 novembre 2023 - 12 h 42 min

    Ce qu’on peut reprocher à l’ex premier ministre et à son gouvernrment, c’est son manque de maitrise du dossier INFLATION.

    Or, l’inflation, c’est comme du lait sur le feu, elle nécessite une surveillance permanente, c’est la préoccupation majeure de tout gouvernement, chose qui a été un peu négligée par manque d’expérience.

    Une succession de mesures prises par l’ex gouvernement ont davantage rajouté de l’huile sur le feu, parmi lesquelles la supression des subventions sur les produits alimentaires de base, la dévaluation continue du dinar, le manque de contrôle des circuits parallèles spéculateurs, tout cela dans un contexte international défavorable où l’inflation sur les matières premières et les produits d’importation se sont fait davantage sentir.

    Ceci a conduit une fuite en avant des prix et une perte du pouvoir d’achat des ménages sans réelles mesures pour contrecarrer et freiner l’inflation. La prise de conscience des pouvoirs publiques a été malheureusement tardive.

    Aujourd’hui, afin de résoudre ce problème et donner du pouvoir d’achat aux citoyens, le gouvernement est astreint à augmenter fortement les salaires.

    Or, il existe d’autres leviers sur lesquels le gouvernement doit aussi se pencher pour contrer l’inflation et donner du pouvoir d’achat, comme la réévaluation de la monnaie, la suspension/supression des taxes sur des produits de base, importation de produits manquants afin d’attenuer la spéculation, la lutte contre les réseaux de spéculation…etc. il s’agit là de mesures structurelles et conjoncturelles.
    A bon entendeur

    Anonyme
    12 novembre 2023 - 12 h 26 min

    Ces deux hommes proche de Tebboune ont une ascension fulgurante en peu de temps , ça c est mon premier constat , on peut aussi penser qu à un an de l échéance présidentielle Tebboune constitue une garde rapprochée et contre qui ? Je pense l ANP d abord car concernant le peuple Tebboune et ces conseillers ou sa garde rapprochée en auront besoin , il veut rester et garder son siège et le pouvoir et qui peut vraiment lui faire obstacle à part l ANP ou le peuple algérien ? Ce PM perso je le trouvais algérien surtout et un homme sérieux mais bon je le vois bien futur candidat et l ANP aime avoir une réserve d hommes de cet acabit ; Abderrahmane l ex PM si il avait été au bout du mandat Tebboune , la constitution ne lui permettrai pas de se présenter en tant que candidat aux présidentielles , la oui puisqu il en sort et avant la limite de temps accordée par la constitution ; l ANP elle en a des remplaçant maintenant mais c est au peuple de le choisir mais ils sont capables de nous mettre 5 candidats à eux dans la compétition finale , ils arriveront à s entendre pour que le candidat fasse l unanimité aussi bien pour eux que pour le peuple ? Je parle comme si l armée avait un rôle politique et s initier dans l interne  » les élections » mais elle le fait et l a toujours fait , faut arrêter de se mentir ? Guerre de clans machi milioum en Algérie ? J invente rien.

      Loco
      12 novembre 2023 - 13 h 38 min

      @ Anonyme,
      Vous exposez magnifiquement bien.le projet de l’Algérie, peut être même à l’insu de votre plein gré !
      Vous dîtes que l’Anp a en stock des candidats, donc e qu’il faut retenir c’est que nous n’avons jamais été une démocratie,et le peuple n’ a jamais élu personne.
      Si ce n’était très grave cela aurait pû être risible. Donc comme dit si bien Abou strophe, moralité de l’histoire il y’en a une seule, c’est que cela va continuer comme avant sans aucun changement possible.

        Anonyme
        12 novembre 2023 - 17 h 37 min

        Oui même Ben Bella c est pas le peuple mais le conseil de la révolution qui la installé et ensuite au nom de ce même conseil révolutionnaire Boumediene le militaire et son acolyte Bouteflika avait fait le coup d état et depuis Boumediene , donnez moi un seul président que le peuple algérien a élu démocratiquement et en toute transparence depuis son indépendance ? Enfin c était pas à l insu de mon plein gré mais c était juste un constat tout simplement qu on peut tous faire ?
        Bonne continuation à vous Loco .

          Loco
          12 novembre 2023 - 19 h 03 min

          @ Anonyme,
          Bien à vous, et c’était juste une boutade.

    Larbi Benmhidi
    12 novembre 2023 - 12 h 23 min

    Dans les années 80, un ministre était resté à son poste un ou 2 ans, quand il a été relevé de sa fonction il téléphona à Messadia son ami pour se plaindre et ce dernier de lui demander : »comment t-as été nommé? » l »ex ministre de lui répondre « sur un coup de fil » et on t’a dégommé sur un coup de fil et alors pourquoi l’étonnement, t’es nommé sur un coup de fil et tu es dégommé pareillement…
    Rentrer dans le mystère des nominations chez nous aux postes supérieurs est beaucoup plus complexe que de rentrer dans le secret de dieu.
    Quand l’auteur du texte spécule en disant : « Son seul tort aura sans doute été d’avoir eu du mal à éliminer les entraves dont le chef de l’Etat lui-même n’a eu de cesse de se plaindre »!!!! Si le président qui a selon la constitution toutes les clefs de décision ne peut dégager la voie; pourquoi le 1er ministre qui n’a aucun pouvoir (tjrs selon la constitution) devrait-il faire mieux que le président pour lever les entraves?
    bizarre comme hypothèse. Dans ce cas de figure, tu prends le coach de l’E.N, le président de la F.A.F sélectionne les joueurs, choisit le schéma tactique et quand l’E.N échoue c’est le coach qui est débarré… Tout le monde vous dira que c’est un non sens.
    Seconde hypothèse, Larbaoui connait les rouages de la diplomatie et politique étrangère…. Pourtant la aussi la constitution contredit cet argument car la politique étrangère elle relève exclusivement du président qui trace les grands axes que le M.A.E suivra donc pas besoin d’un 1er ministre chevronné dans la politique étrangère….Moralité de l »histoire? Quand on connaîtra le comment accéder aux postes supérieurs de l »état on pourra spéculer sur la mise de fin de fonction d’un ministre ou du 1er.. d’entre eux.
    Comment expliquer que des ministres ou walis qui échouent sont parfois recyclés, mutés alors que l’élève qui échoue sans qu’il n’y ai des incidences sur l’état ou la nation est exclu de l’école? On a encore en mémoire le « fabuleux » passage de cet ancien ministre du commerce qui nous sortait des formules tonitruantes « NAGHLAK 3ALAYHOM DOMINO », des promesses jamais tenues de maîtrise des prix, des vœux pieux à approche du moins de Ramadhan sur la disponibilité des produits de consommation, les prix abordables et au bout de quelques années d’échecs répétés il est relevé de ses fonctions et nommé à la présidence… C’est juste un cas, il y’en a beaucoup d’autres.
    Le jour où on nous prendra pour des adultes majeurs et vaccinés, qu’on nous explique pourquoi X ou Y est nommé, tels sont les objectifs qui lui ont été assignés, des échéances bien définies et le jour du débarquement de ce ministre on nous expliquera le comment et le pourquoi. Autrement va falloir ne pas spéculer sur ce types de décisions.

    Luca
    12 novembre 2023 - 12 h 00 min

    Aucune, il a bien travaillé et c’est tout simplement la transparence et la continuité d’une algerie non pas nouvelle mais toujours aussi impressionnante de grandeur et de beauté. De l’autre côté de la méditerranée qui heureusement est là, se déroule la marche de la honte celle de l’inversion, et de la pride gud

    Aymène Benabderrahmane a été premier ministre?
    12 novembre 2023 - 11 h 30 min

    Qui peut penser cela?

    Technocrate avec une formation correcte pour appliquer des programmes établis par d’autres, notamment de bureaucrates FLN-ENA-ANP, il ne pouvait pas être premier ministre, car vous donnez vous-même la raison sous forme de question : « Aymène Benabderrahmane a-t-il manqué d’initiative et de perspicacité ? ».
    Aucun premier ministre ne peut en avoir. Les raisons sont profondes, connues et enchâssées dans le tout.
    Personne ne veut, ne peut, toucher à ces raisons.

    Le diplomate Nadir Larbaoui peut-il lui-même être premier ministre?
    Assurément non, car il ne peut avoir le droit au chapitre prioritaire de l’heure, le développement économique. Il n’a aucune formation pour cela.
    Sera-t-il alors juste le chef ou la doublure de Ahmed Ataf?

    Bref, cela donne l’impression d’un bricolage spontané qui répond aux sollicitations du moment (nos partenaires étrangers), bien loin d’un plan ou programme à longue vue qui ne veut décidément pas se montrer.

    Question de compétence comme tout le monde sait. Un compétant s’entoure de compétents, et l’inverse.

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