La députée raciste Naïma Salhi passible de prison pour menace de mort

Naïma Salhi
L'Etat réagira-t-il enfin aux paroles inadmissibles de Naïma Salhi ?

Par Karim B. – La députée islamiste Naïma Salhi est passible de prison pour avoir proféré une menace de mort contre sa propre fille. «J’ai dit à ma fille que si jamais elle parlait en kabyle, je la tuerai !» avait-elle lancé sur un ton hystérique, dans un enregistrement vidéo auquel assistait une autre personne – le père de la fille menacée ? Un militant fidèle  ? – qui semblait acquiescer aux propos délirants de l’«élue du peuple».

Le code pénal stipule dans sa section II, relative aux menaces, article 284, que «quiconque menace d’assassinat est, dans le cas où la menace est faite avec ordre de remplir [une] condition, puni d’un emprisonnement de deux ans à dix ans (…). Le coupable peut, en outre, être frappé pour un an au moins et cinq ans au plus de l’interdiction d’un ou plusieurs droits». L’article 286 énonce : «Si la menace faite avec ordre a été verbale, le coupable est puni d’un emprisonnement de six mois à deux ans, et d’une amende (…).»

Or, dans le cas de cette députée, la menace a effectivement été faite avec ordre et, plus grave, la victime est une mineure ; sa propre fille dont on pourrait soupçonner qu’elle soit en danger, sa mère semblant présenter des troubles psychiatriques qui peuvent attenter à sa sécurité.

Le comportement ignoble de cette députée ne peut demeurer impuni. La justice a le devoir de sauvegarder l’intégrité physique et morale de cette fille menacée de mort, conformément aux lois algériennes mais aussi de la Convention internationale des droits de l’enfant adoptée à l’unanimité à l’ONU, en 1989. Cette dernière enjoint aux Etats parties de prendre «toutes les mesures appropriées pour que l’enfant soit protégé», de reconnaître que «tout enfant a un droit inhérent à la vie» et d’assurer «toute mesure possible pour la survie et le développement de l’enfant».

Par ailleurs, Naïma Salhi se rend coupable d’atteinte à la liberté d’expression en interdisant à sa fille de parler dans la langue de son choix. La Convention internationale des droits de l’enfant est claire à ce sujet : «L’enfant a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté de rechercher, de recevoir et de répandre des informations et des idées de toute espèce, sans considération de frontières, sous une forme orale, écrite, imprimée ou artistique, ou par tout autre moyen du choix de l’enfant. L’exercice de ce droit ne peut faire l’objet que des seules restrictions qui sont prescrites par la loi et qui sont nécessaires».

Les textes sont clairs. Pourquoi l’Etat ne les applique-t-il pas ?

K. B.

 

Comment (83)

    Norebi
    12 février 2018 - 4 h 29 min

    C’est grave, un acte raciste doit être puni , et la dite dame doit être traduite devant la commission de l’ APN et radier de l’assemblé elle représente un danger.

      brenda
      13 février 2018 - 20 h 31 min

      elle est deputé. elle devait donner l,exemple car nous sommes dans un pays de droit et de regles.

    Zombretto
    11 février 2018 - 17 h 43 min

    A ceux qui disent que cette femme ne fait qu’utiliser une expression, « wellah ghir neqqetlek » qu’on entend tous les jours partout en Algérie : Ce n’est qu’une expression quand ça vient de la bouche de toute autre personne, mais de la part d’un islamiste, il faut la prendre à la lettre. Pour un islamiste, « tuer » veut dire égorger, fusiller, poignarder, c’est à dire tuer pour de bon, pour de vrai, pas juste des paroles. Si un islamiste vous dit qu’il fera n’importe quoi, il ne faut pas le croire, mais quand il vous dit qu’il tuera, même s’il a l’air de plaisanter ou d’exagérer, il faut le croire !! C’est la seule promesse qu’il tiendra s’il n’en est pas empêché.

      Mia
      12 février 2018 - 11 h 59 min

      Ce qui me désole, ce n’est pas le fait qu’elle ait dit à sa fille « je vais te tuer », une expression que tout le monde utilise lorsqu’on est en colère…ce n’est pas un délit..ce ne sont que des mots….ce qui me chiffonne .c’est le fait de se montrer ouvertement hostile au berbérisme… elle vient d’où? c’est toute l’Algérie qui est berbère, elle n’a pas la tronche d’une suédoise ou allemande…!! elle doit être punie pour que la haine et le régionalisme ne se développent pas en Algérie, nous sommes tous des Algériens face à un ennemi commun….

    Anonyme
    11 février 2018 - 17 h 33 min

    Quoi de plus révoltant que d’offrir 35 millions, des primes d’installation et de départ, d’autres indemnités à des personnes incultes, quasi-analphabètes, sous-développés et vindicatives ?
    Avec un tel panel de députés du système (pas du peuple, car ne les ayant pas mandatés) un pays développé comme l’Angleterre (avec sa Science, sa Technologie, son Economie, sa Démocratie, etc…) se retrouverait du jour au lendemain sur la liste des pays les plus arriérés de la planète.

    Zimo07
    11 février 2018 - 17 h 33 min

    Je trouve juste honteux les propos d’une soit disant députée débarquée de je ne sait ou ??? de plus je me sens blessé par les propos d’une ignorante de la sorte pour la simple et bonne raison que je suis d’origine kabyle et algérien avant tout , chacun est libre ou pas d’apprendre le tamazight en option comme cela ce fais dans les autres pays (langue vivante 3 facultative) après de la à vouloir séparer 1 mère de sa fille je trouve que sa loin et ce n’est pas humain . Ceci étant dit c’est propos son inacceptable car cette ignorante touche à toute personne parlant le tamazight ( chaoui kabyle mzabi et j’en passe..) elle n’est pas du tout tolérante et encore moins ouverte au différente culture des régions des quatre coins du pays . Qu’elle reste vivre dans son bled perdu au lieu de faire l’hypocrite à côtoyer des députés des 48 wilayas différents d’elle.

    Anonyme
    11 février 2018 - 17 h 23 min

    De l’APN de Ferhat Abbas, Mostefa Lacheraf, M’Hamed Lyazid, Med Seddik Benyahia, et des autres illustres personnes de l’Algérie combattante, victorieuse, révolutionnaire, progressiste, universaliste, à l’APN du drabki, Tliba et Naima. Grandeur et décadence. Nos pires ennemis ne pouvaient rêver pareille régression pour nous !
    J’ai une seule question : cette régression est -elle féconde ou mortelle ? Y a-t-il une âme charitable capable d’éclairer notre lanterne à ce sujet ?

      Chibl
      11 février 2018 - 17 h 36 min

      Bravo,monsieur ou madame bien dit.

        LOUCIF
        11 février 2018 - 20 h 20 min

        Cher @Chibl, pardon mon frère mais au lieu de te donner un bon point positif , j’ai tapé trop précipitamment sur un point négatif. Donc sur le nombre de point négatif que tu peux décompter, supprime un point car c’est un point positif que je voulais t’attribuer !

    Amazigh DZ
    11 février 2018 - 17 h 09 min

    cette pseudo et honteuse femme absente de la scéne politique, provoque et veut faire parler d’elle en faisant dans le sensationnel. imaginons un instant cette « dépitée » … raciste, prend le sommet du pouvoir ou présidente de la république, elle pourchasseras les kabyles, elle s’y prendras comme erdogan qui harcèle et chasse les kurdes !!
    et dire que certains députés sont censés représentés le peuple,
    certains commentaires disent que cette extrémiste de salhi est protégé par l’immunité parlementaire, je leur répondrais par une motion elle peu étre déchu de son immunité (mais bon ca se passe dans les pays civilisés et démocratique).
    quant a moi je n’ai jamais voté et je n’ai jamais porter dans mon cœur toutes celles et ceux qui gravitent dans le pouvoir, l’assemblé, les APC et autres institutions…..autrement j’aurais été désabusé et déprimé.

    Anonyme
    11 février 2018 - 16 h 55 min

    salam tlm, il ne faut pas trop philosopher, cette mercenaire erdoganienne qui est dans son rôle de semer la haine ethnique et raciale afin de détruire notre pays. Ce que je retiens de cette histoire, c’est à quel point nos politiciens sont soumis à la corruption étrangère afin de se taire, car cette femme terroriste oeuvre pour nous faire du mal et nos politiques restent muets… frères et soeurs Algériens et Algériennes faitents de la politique ne laissez pas des vendus vous représenter. C’est comme si on laisse nos postes de contrôles dans les mains des terroristes!!! Vive l’Algérie wa allah yarham echouhada.

    BOB
    11 février 2018 - 16 h 52 min

    N’accordons pas d’importance à cette écervelée en service commandé ..
    S’elle a parlé c’est qu’on lui a demandé de le faire à un plus haut niveau.
    Insulter les amazighs, c’est insulter nos aïeux Massinissa, Jugurtha, Micipsa,… et
    nos valeureux martyrs Amirouche, Abane Ramdane, Krim Belkacem et j’en passe.

    A chaque jour suffit sa peine.

    Prononcer le mot tuer et à son propre enfant de surcroit qui ose parler une langue du pays autochtone est passible de tribunaux

    الهوارية
    11 février 2018 - 15 h 30 min

    J’ai remarqué que nos députées algériennes sont mystérieuses et quand il arrive que l’une d’elles s’exprime devant les médias, c’est pour dire n’importe quoi…
    En fait Naima Salhi c’est la Nadine Morano de l’Algérie….

      Anonyme
      11 février 2018 - 23 h 32 min

      Les députés hommes ne sont pas mieux.

    le numide
    11 février 2018 - 15 h 24 min

    MALAISE DANS LE WAHABISME : tandis que l’Arabie saoudite mère patrie de l’Islamisme et matrice de l’arabo-wahabisme en déclin fait tout pour sauver sa peau de ce cauchemar idéologique qui l’a mise dans une impasse , devant la conscience universelle et au banc des accusés pour terrorisme , totalitarisme et crimes de guerre et crimes contre l’humanité entière .. nos wahabistes locaux surtout les plus hystériques et les plus arriérés comme cette Naima Salhi menace de tuer sa fille ( comme au temps de la Djahilia arabe quand certaines tribus enterraient leurs petites filles vivantes de peur de la Honte ).. la dipouti Salhi ,en islamiste qui vit des rentes de la république et des impôts des Berbères veut tuer sa fille pour une broutille , juste pour quelle n’apprenne pas la langue berbère .. elle aurait pu interdire à sa pauvre fille d’appendre cette langue en lui épargnant toute cette Horreur Assassine exagérée , personne ne l’a obligée à cette outrance .. A propos d’Outrances arabo-wahabistes , on ne sait quel écrivain allemand Goethe ou Thomas Mann qui avait prédit :  » rien ne trahit le caractère des gens et leur nature que leurs OUTRANCES « 

    Felfel Har
    11 février 2018 - 15 h 15 min

    Pourquoi nous donnons-nous tant de peine à vouloir « tuer » cette pauvre écervelée, empoisonnée par sa haine de tout ce qui n’a pas été halalisé par ses mentors, ignares et soumis aux prétendus prédicateurs, auto-proclamés connaisseurs de l’histoire et de la religion? Laissons son venin lui consummer les organes vitaux, en commençant par le cerveau et le coeur! Abandonnons-la à sa vie de minable, torturée et tourmentée …

    Ami
    11 février 2018 - 14 h 10 min

    Tous les algériens utilisent cette EXPRESSION, il faut être débile ou manipulateur pour lancer un tel débat. (…) Si on croit pouvoir se développer avec des personnes ou des idéologies malpropres, on se met le doigt dans l’œil.

      Wouroud
      11 février 2018 - 14 h 47 min

      Tout a fait d’accord avec vous. Maintenant, je ne suis pas d’accord du fait que l’etat nous oblige d’apprendre une langue que nous voulons pas apprendre. Ceux qui la veulent tant mieux pour eux, et ceux qui ne la veulent pas ne les obligez pas ; et ils sont nombreux ceux qui sont de mon avis.

        Amazigh DZ
        11 février 2018 - 17 h 19 min

        personne ne t’a forcé de parler ou écrire en tamazigh, juste que le tamazigh est une identité Algérienne que tu le veuilles ou non.
        vous étes 5 ( salhi, arribi, djaballah, mokri et toi) qui sont contre.
        rejoignez votre maitre erdogan ou les bédouins d’ibn yahoud, personne ne vous retiennent.
        l’Algérie est musulmane amazigh.

      Anti Khafafich ⴰⵎⴳⵉⵍⵍ ⵜⵉⵢⵉⵍⵍⵉ
      11 février 2018 - 17 h 23 min

      oui tu as raison tout le monde le dit et c’est pourquoi nous avions eu plus de 300 000 morts. il est temps que cette parole wahhabite cesse d’être répétée sans pêne en Algérie. Cette terroriste déguisée en dé-puté doit servir d’exemple puisqu’elle s’est permis de parler d’assassinat au nom des Algériens à partir de son château en carton

      Winath
      11 février 2018 - 22 h 23 min

      Tout a fait d’accord. L’expression est tres repandue chez nous. Mais quand ca sort d’une deputee et ca a une connotation raciste , ca porte atteinte a l’unite du pays. Cette dame ne merite pas ce poste, comme la majorite des deputes. Tamazight vivra . On a qu’a voir le reveil sur toute l’etendue de Tamazgha. Dieu soit loue, la verite jaillit tout le temps.

    Abdelrahmane
    11 février 2018 - 13 h 56 min

     » La députée raciste Naïma Salhi passible de prison pour menace de mort ». HAHAHA !!! elle n’est pas raciste, elle n’a menacé personne et rien ne pourra être retenu contre elle. elle est députée et jouit de l’immunité parlementaire.

      Zoro
      11 février 2018 - 17 h 05 min

      @ si Abderrahmane :en 2016 ,sid roho abdelmadid ,big boss de l ugta, devant un parterre de ses supporters
      Lanca haut et fort YEN3AL DINE YEMAT YEMAHOUM
      a l encontre d autre algeriens qu il ne tenait pas en senteur.je ne me suis jamais etonne venant de sa part ,
      Je voyais que son vocabulaire refletait son niveau et sa vision sur l islam ,je savais aussi qu il allait jamais etre inquiete du moment que le pouvoir pargage cette meme vision et cette meme insulte a l encontre du peuple.
      SigneZORO. …Z….

    Anonyme
    11 février 2018 - 13 h 11 min

    A mon avis cette dame à utiliser une métaphore, une éclaboussure tout simplement.

    arezki
    11 février 2018 - 12 h 45 min

    @Fethi,
    Vous Voulez dire mélanger le kabyle et le tamazigh; je suis d’accord avec vous et avec cette dame! Quant aux menaces de mort, tous les algériens tuent verbalement et heureusement!!

    Anonyme
    11 février 2018 - 12 h 42 min

    Ne tombons pas pas dans les travers d une dictature de l amazighite…. beaucoup d algériens dont moi reconnaissons notre identité amazighe, mais avec l’histoire avons perdu l usage de la langue et parlons une langue propre à nous qui est la derja.
    N allons pas trop vite car des personnes qui n’ont pas les éléments nécessaires pour comprendre nos origines risquent de la rejeter.
    (…) restons nous mêmes, unis.

    nectar
    11 février 2018 - 12 h 21 min

    (…) Cela n’enlève rien à nos origines berbères…

    Anonyme!....
    11 février 2018 - 12 h 05 min

    Avant de faire références à des actions juridiques reconnues dans des pays de droits, il faudrait savoir comment elle a été présentée, acceptée et élue comme députée?…

    Anonyme
    11 février 2018 - 11 h 37 min

    la loi ne concerne pas les islamistes, sinon les prisons seraient pleines!! par contre le citoyen lambda oui!!! Au moindre écart, combien d’intectuels ont ete ménacés de mort publiquement a travers les médias et les auteurs pas inquiétés par la justice ?

    lhadi
    11 février 2018 - 11 h 25 min

    Le voile de l’hypocrisie doit être soulevé pour mettre à nu les croassements des corbeaux qui volent vers leur bois favori

    Appelons un chat un chat !. Le paysage politique Algérien est pollué par des ambitieux dont la science politique et scientifique, reviendrait à faire de la chirurgie, armés de truelles et de tronçonneuses, le tout les yeux bandés, et du coup, considèrent la politique non comme une fin en soi mais bien plutôt le moyen d’arriver à ses fins.

    J’invite la jeunesse algérienne : cette force vive qui porte tous les espoirs de l’Algérie, de ne plus accorder de brevet de représentativité à des « Rastignacs algériens » qui veulent infuser l’idée qu’un chauve peut se tirer les cheveux et dont l’unique et véritable conviction est l’absence de conviction associée à une insolence importune et à un art éhonté du mensonge.

    il importe, pour les citoyennes et les citoyennes qui souhaitent le meilleur pour le pays, de faire en sorte que l’irresponsabilité, pierre angulaire de la république des copains et des coquins, prenne la courbe du « U » inversé.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Salamat
      11 février 2018 - 12 h 32 min

      @lhadi, je suis désolé de vous le dire mais je ne comprends toujours pas la forme et la méthode que vous utilisez pour donner votre avis ! Il faut être un grand devin , lire entre les lignes, sous les lignes, derrières les pages pour comprendre vos contributions et le fond de votre pensée ! Vous êtes trop fort pour moi. Je m’y perds, çà me dépasse, je le reconnais !

    Anonyme
    11 février 2018 - 11 h 14 min

    Alors if faudrait bâtir beaucoup plus de prisons. L’Algerien a vécu dans des violences cycliques ces derniers siècles. Son langage le reflète. combien de fois n’avons nous pas entendu nos parents dire:  » si tu fais… ou ne fais pas çà… je te couperais la tête; je te mangerais crue, je t’arracherais les yeux…. etc. Ne mélangeons pas les choses. Le tort de cette dame est d’avoir tenu des propos anti-Tamazigh le débat devrait être la. Quel juge va prendre cette menace au sérieux?

    kaci
    11 février 2018 - 11 h 14 min

    L’unique condamnation est celle de désarabiser l’école et l’Etat, ce qui lui a suggèré cette position c’est bien plus le sommet de l’Etat qui impulse la hierarchie entre langue en supérposant l’arabe , qui est etrangere, à celle du terroir ancestral.
    Ne tombons pas dans la logique bedouine qui consiste à se limiter au superflu.

    Anonyme
    11 février 2018 - 10 h 55 min

    C’est sa fille elle fait ce quelle veut de sa fille, de quoi je me mele?
    le gouvernement a mis une bombe entre la population algerienne… ex yougoslavie, ça vous dit rien??

    Lghoul
    11 février 2018 - 10 h 40 min

    Certaines maladies de l’esprit sont incurables car elles sont irreversibles.

    abdenour
    11 février 2018 - 10 h 39 min

    c’est vraiment tire par les cheveux c’est une expression banale dans la bouche de tous algeriens et qui ne veut rien dire. La violence verbale est dans ls genes. Cette dame nous donne la preuve du niveau de nos deputes s’il en etait besoin.

    hrire
    11 février 2018 - 10 h 26 min

    Elle ne risque rien et elle le sait elle qui est tres proche du serail,donc intouchable comme une partie infime du peuple qui a beneficie de protection d’exoneration .Et cette justice aux ordres ne va se lever que contre les indigenes sans protection

    الهوارية
    11 février 2018 - 10 h 18 min

    Elle a juste perdue la tête, il faut la licencier un temps pour la laisser réfléchir.Je pense que cette femme joue son show de la femme musulmane voilée et fière et c’est tout!
    Je ne la connais pas nana, mais je ne pense pas qu’elle a vraiment menacé sa fille pour la tuer. Toutes les mamans disent la même chose quand les enfants défient leurs mamans ou leurs papas ou leurs grands frères et sœurs

    Anonyme
    11 février 2018 - 10 h 16 min

    finalement savez vous qui est le plus grand philosophe d’Algérie?
    hé bien, c’est le premier receveur de bus qui a hurlé:
    « avanci larriere »
    il avait raison………

    Boumedien
    11 février 2018 - 10 h 09 min

    Je salue Mme A.Salhi pour son courage et sa determination a defendre la cause de la majorite silencieuse. Mme A.S a reussi a exposer les racistes, regionalistes, separatistes du sinistre MAK qui veulent imposer leur langue dans notre pays. Elle a devoile ceux qui fraternisent avec les nostalgiques de l’Algerie francaise, ceux qui s’associent avec les sionistes et chantent avec eux tel E.Macias un des gnassias, les criminels de Constantine pendant la Revolution. Ils saisissent la moindre opportunite pour deverser leur haine contre notre communite. Ils exploitent un gouvernement faible ou absent pour se faire grands .Je vous assure Mme. A.Salhi de notre reconnaissance et nous sommes prets a vous defendre par tous les moyens.

      Anonyme
      11 février 2018 - 16 h 37 min

      @Boumedienne…Monsieur le MAK n’a pas de langue spéciale à lui, mais il y a la langue Tamazight une et une seule dans toute l’Afrique du nord. Pour t’éclairer, il m’est arrivé de comparer le parlé kabyle avec le parlé des Berbères Marocains, Tunisiens et Libyens, je trouvais la similitude presque parfaite des mots utilisés et leurs significations dans les trois dialectes cités. D’ailleurs je constatais que 80 à 90/100 du vocabulaire est le même. Je te parle en tant que quelqu’un qui parle Tamazight, qui ne cherche pas à exagérer dans mes propos, contrairement à toi qui porte un jugement haineux sur une langue que tu ne connais pas. Donc dire que le MAK, cherche à imposer la langue aux Algériens, je qualifie tes propos de mensonges entachés de violence et de racisme, autant ou pire que ceux entretenus par les « makistes »que tu dénonces .Les Kabyles que tu ne portes pas dans ton cœur n’ont aucun intérêt à inventer une langue qui existe déjà depuis des milliers d’années pour l’imposer de force aux Algériens. Mets le dans ta tête que les revendications du MAK n’ont rien à voir avec Tamazight. Et qu’il (le MAK) n’a pas une langue tamazight propre à lui pour pouvoir l’imposer aux Algériens. Je crois qu’en prenant la défense de Naima Salhi qui a tenu des propos graves contre Tamazight, reconnue comme langue officielle, je dois déduire vite que tu es contre ton peuple et surtout contre les lois de ton pays, donc tu es un hors la loi. Tu mérites alors d’être censuré par ce journal.

        Boumedien
        11 février 2018 - 21 h 22 min

        Naima ne veut pas que ses enfants apprennent une langue qui ne leur servira a rien. Nos enfants comme tout le reste du pays sont tout a fait satisfaits de la DERDJA. Le gouvernement a change la Constitution pour pouvoir officialiser tamazigh. Un changement de la Constitution doit se faire par une consultation de tout le peuple algerien, c’est a dire a travers un REFERENDUM NATIONAL. Ce qui n’a pas ete fait, donc cette LOI ne peut pas s’appliquer. Le peuple algerien n’a pas dit son dernier mot dans tout cette affaire et le temps me donnera raison. Je rappelle que la DERDJA est la meme langue parlee dans tout le Maghreb

          Anonyme
          12 février 2018 - 9 h 42 min

          Tu penses que c’est intelligent de mettre la langue du peuple ou d’une partie d’un peuple au référendum?Peux tu pensé aux conséquences très graves du refus de cette langue par voie référendaire?De tout ce que je connais sur l’histoire des nations, je n’ai jamais connu un seul pays au monde qui soumet au référendum la langue de son peuple.Il n’y a que toi et les gens comme toi qui pensent que les référendum est faisable sur ces questions sensibles( telle l’identité de son peuple ).Par contre on fait recourt à des référendums pour avoir un oky du peuple sur des questions d’ordre politique ou économique ou autres qui soit en dehors de ce qui concerne le peuple c’est à dire, sa langue et sa culture.
          Heureusement qu’il y a des hommes plus intelligents, patriotes qui pensent à l’unité de notre peuple et à son avenir lointain, sinon le pays aurait été exposé à de vraies menaces.Mais le dans tête mon ami que le peuple Algérien est Amazigh et que Tamazight n’est pas l’invention de personne mais c’est la langue de nos ancêtres.Il est temps de remuer votre subconscient pour détruire les préjugés négatifs dont vous êtes victime pour mieux juger.Il n’y a ni la France, ni Enrico,ni Israel, ni l’Amérique qui peuvent nous apprendre quoi que ce soit sur nos origines, sur notre attachement à notre langue, à notre histoire, à notre patrie et à l’unité de notre peuple.Pour terminer je vous invite de vous changer rapidement car selon vos écrits votre subconscient est saturé de préjugés trop erronés, d’ou votre haine excessive et injustifiée contre Tamazight .Vous méritez alors une thérapie psychanalytique approfondie.

    Mohamedz
    11 février 2018 - 9 h 42 min

    Et moi qui croyais que l’intolérance était l’exclusivité des extrémistes salafisto-wahabite !!!
    Sinon pourquoi cet acharnement contre une expression populaire sortie de la bouche de cette écervelée ?

    Massinissa
    11 février 2018 - 9 h 35 min

    Je suis curieux de savoir qui est son gourou à l’interne

    Anonyme
    11 février 2018 - 9 h 34 min

    En Algérie L’HABIT FAIT LE MOINE » et la médiocrité appuie les plus médiocres à s’installer dans les assemblées nationales telle cette salhi, déjà rien qu’à l’entendre parler sur vidéos youtube, on repère l’incompétence, l’ignorance, le manque de savoir communiquer, et surtout l’ambition du profitage …

    Hamid
    11 février 2018 - 9 h 30 min

    Si on suit la logique du contenu de cet article, je peux vous dire que tous les Algériens sont « passibles de prison pour menace de mort » pour avoir exprimé au moins une fois cette expression!!!
    NB/ loin de moi l’idée de me faire l’avocat de cette arriviste Naima Machin.

    Anonyme
    11 février 2018 - 9 h 28 min

    C’est le moment de récapituler :

    TLIBA
    Ould-Abbes
    Haddad
    Naima Salhi
    Chakib
    DREBKI
    Et les autres qui se reconnaissent.
    Ils animent le carnaval fi Dachra.

    Anonyme
    11 février 2018 - 9 h 18 min

    j ai vaguement entendu parler de cette bonne femme ,et ça se passe ou ??

    Anonyme
    11 février 2018 - 8 h 54 min

    @babor vous reconnaissez que cette expression est répandue et qu’elle depasse de loin l’intention réelle ,cela ne vous dispense pas de déverser votre haine sur vos compatriotes qui usent de ce langage pour exprimer parfois leur affection vis à vis d’une personne qu’ils cherissent.Vous préférez prendre le rôle du donneur de leçons extremiste ,alors qu’il en soit ainsi,la portée de votre tir sera trés limitée.

      Sabrina-DZ
      11 février 2018 - 9 h 24 min

      Il ne s’agit pas de commérages dans un salon de coiffure.
      Elle est député. Elle a des responsabilités et des devoirs. Il faut qu’elle ait un comportement compatible avec son siège dans la salle d’Attente de l’APN.
      Elle doit mesurer ses paroles.

      Babor
      11 février 2018 - 16 h 58 min

      De quel tir parlez vous ? Je n’ai pas d’arme !!! La violence vous imprègne. Entre votre « tir » et les « menaces de mort » de cette ecervelée, je suis conforté dans mon analyse
      . Une psychanalyse serait de rigueur pour determinerr l’origine de votre indifférence à l’égard de la violence et de l’agressivité et comprendre la caution que vous semblez donner au comportement de cette « nayiba ».(préservons le terme député pour ceux qui le meritent).
      Par ailleurs, je reste pantois quand je lis votre phrase :
      « compatriotes qui usent de ce langage pour exprimer parfois leur affection vis à vis d’une personne qu’ils cherissent ». Menacer de mort son enfant pour lui exprimer son affection !!!?? Bravo. …. C’est cela votre nouvelle société algerienne ! Soyez-en fier . L’avenir nous dira où votre mentalité « wahabo Zarabo musulmane vous emmènera ». Continuez à creuser….ndama jamais téssbak !

    Kahina-Dz
    11 février 2018 - 8 h 51 min

    Tu as raison dans le sens que les juifs aiment leur pays. Les Kabyles aussi. Les Kabyles adorent L’Algérie.
    Mais les barbus et les barbichettes travaillent pour leur OUMMA WAHHABITE. C’est ça la différence.

    ferial
    11 février 2018 - 8 h 49 min

    Niveau affligeant des élus du peuple à l’image de ce que le peuple est devenu depuis les années 80 .
    jusqu’où ira-t-on ?

    Tinhinane-DZ
    11 février 2018 - 8 h 38 min

    Je conseille à cette responsable immature d’ausculter chez un psychiatre.
    Hadou Houma vos dipiti. Nous avons une APN de dégénérés.
    Qu’attendre d’une dipiti qui ne sait même pas parler à son enfant. Hadi c’est une responsable à la chambre des amputés. Pauvre Algérie

    Numidia-DZ
    11 février 2018 - 8 h 28 min

    Naima lutte pour bâtir son grand maghreb Arabe avec le mekhzen ( ses propos lors d’une interview au Maroc). Ce …au féminin considère les Algériens comme ses ennemis qu’il faut combattre. J’ai toujours dit que nos partis politiques sont aux services de leurs maitres.
    Une pseudo-Algérienne qui préfère sa Oumma de m…. aux Algériens.
    Tous ces harkis siègent à L’APN. Quel gâchis. Quel bazar.

    Rascasse
    11 février 2018 - 8 h 19 min

    Pourquoi les lois ne sont-elles pas appliquées ? Parceque celui qui est sensé les appliquer pensent la même chose qu’elle, en effet pour être celui qui doit appliquer les lois il faut avoir ce critère de vulgarité de violence et d’ignorance, la médiocrité au pouvoir recrute ce genre d’énergumènes pour durer, rappeler vous dine yemakoum de sidhoum Said, des femmes en excès à donner aux chinois de haddad , de naalbou li mayhabnache de Amara etc etc , les spécialistes devraient se pencher un peu sur le nouveau vocabulaire « des intellectuels « algériens plein de violence

    Vangelis
    11 février 2018 - 8 h 16 min

    Le pouvoir algérien est de mèche avec les islamistes depuis la prétendue réconciliation nationale imposée aux algériens par fakhamtouhoum.

    Les pontes du régime gardant la mainmise sur l’économie, laissant le champ libre aux islamistes qui peuvent dire ce qu’ils veulent, imposer des avis contre les us et coutumes des algériens, construire comme ils l’entendent et où ils le veulent, conserver contre vents et marrées le commerce informel et faire du change parallèle une activité pour les barons de l’import qui sont de leur rang, le tout sans être inquiétés.

    Comment voulez-vous, dans ces conditions que le dernier des dernier de cas énergumènes respecte la loi ou encore la vie que l’on sait ne pas être importante à leurs yeux, carnages et vols à l’appui au cours des années 90 pendant lesquels ils voulaient obtenir tout par la force, ce qu’ils ont obtenu par la suite avec la complicité du pouvoir.

    Le droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté de rechercher, de recevoir et de répandre des informations et des idées de toute espèce, sans considération de frontières, sous une forme orale, écrite, imprimée ou artistique, ou par tout autre moyen.

    DYHIA-DZ
    11 février 2018 - 8 h 05 min

    Encore un mollusque au féminin qui sort de Annaba pour élargir la liste des invertébrés au cerveau gelé qui rongent le pays. Ces parasites politiques qui nous font la danse du carnaval boulitique qui menace l’existence même de notre Algérie.
    Naima qui joue à la sainte vierge de Annaba appartient-elle au clan de … TLIBA ??
    En tout cas, chaque jour qui passe nous fait découvrir les vrais microbes qui sont en train de ronger notre pays.
    La réalité est que notre pays est entre les mains des femmes et des hommes qui appartiennent à la classes des prédateurs.
    Jusqu’à quand sommes nous obligés d’endurer le cirque des charlatans/clown politiques

      Anonyme
      11 février 2018 - 9 h 52 min

      Il est CERTES vrai que Naïma Salhi est une adolescente politique, immorale et ses propos sont immatures.

      Mais ATTENTION !

      Votre discours est sectaire, régionaliste, raciste qui relève d’une communauté régnante. Cher(e), l’Algérie n’est la propriété de personne, n’est le domaine privé qui appartient à X-Y, ni au business plan voire la communauté qui seraient moins influents que ne le seraient le «clan de Annaba». Et puis, vous désinformez les lecteurs, en disant que Salhi «sort de Annaba pour élargir la la liste…». Est-elle de Annaba ? Nullement ! Je pense que la personne en question est une vraie berbère de la tribu des Kutama. Merci d’accepter ma «mise au point».

        DYHIA-DZ
        11 février 2018 - 16 h 56 min

        Envoyez votre commentaire à Naima. Je crois que c’est elle qui veut effacer les Kabyles Algériens.
        Ma référence à Annaba est une suite logique de la décadence de l’autre tube digestif député de Annaba, … TLIBA. Une coïncidence ou un calcul Boulitique ?
        Allez poster vos menaces ailleurs. Vous avez le même langage que celle que vous défendez.
        Vous prenez le peuple pour des idiots

    Soyons sérieux!
    11 février 2018 - 8 h 00 min

    .. Elle n’a dit qu’une expression poulaine bien répandue chez nous qui n’est aucunement une menace sérieuse et ça tout le monde le sait. Concernant son opinion sur la langue Tamazight, elle a le droit, en tant que citoyenne et en tant que députée, d’être opposée à ceux qui veulent l’imposer à la majorité des gens qui ne la comprennent pas, qui n’en veulent pas mais qui la respectent pour ce qu’elle est sans arrière pensée.

    fatigué
    11 février 2018 - 7 h 48 min

    donc pour vous elle aurait le droit de tuer sa fille et d’agir contre la loi de la république – enseignement obligatoire du tamazight-
    et ce serait elle la terroriste islamiste qui serait victime des  » terroristes » de A.P.

    anonyme
    11 février 2018 - 7 h 48 min

    Cette salhi pseudo politique, étant donné sa nullité avec un niveau d’expression indécent non conforme au fauteuil qu’elle occupe inutilement, cette dame doit se barrer des assemblées populaires, cette femme est bien la terrible image de la médiocrité, il est temps d’améliorer les choses en Algérie et de mettre en avant des têtes qui nous honoreraient par leur savoir faire et leurs compétences.

    Anonyme
    11 février 2018 - 7 h 47 min

    Ai je raté un épisode. Les menaces de mort sont-elles devenues Hallal en Algérie

    faigué
    11 février 2018 - 7 h 43 min

    elle aurait donc le droit de tuer sa fille.
    elle aurait le droit de ne pas respecter la loi sur l’enseignement du tamazight.
    elle aurait le droit de déblatérer à la tv.

    Kahian-DZ
    11 février 2018 - 7 h 33 min

    Le foulard lui a fait perdre la raison.
    C’est ça l’islam de nos wahhabo-Terroristes qui veulent nous imposer la loi du sang. …
    Le Foulard et la barbe pour cacher les psychopathes, les frustrés et les déséquilibrés.
    Réservez lui une cellule dans une maison de redressement et d’éducation.
    La Génération du sanguinaire Ali Belhadj et Abassi le suceur du sang. Sans oublier Belkhadem &CO

    Babor
    11 février 2018 - 7 h 15 min

    Menacer de mort un enfant mineur ne rentre pas dans les critères de la « liberté d’expression » quant bien même il s’agirait de la fille de cette ecervelée et quant bien même il s’agirait d’une expression « répandue  » chez les arabes les arabes, du style : loukén néssam3ak tkoli
    nokétlék ». Cela ne me choque pas que vous ne soyez pas vous même choqué par « ces menaces de mort »; l’agressivité verbale et physique et la médiocrité mentale étant devenus de rigueur en Algérie au point où des gens comme vous, considèrent les menaces de mort proférées par cette ecervelée comme relevant de la « liberté d’expression  » garantie, qui plus est, par la « constitution « .
    Pauvre Algérie ! Par quoi es-tu devenue habitée ?

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