Arrogants Saoudiens
Par R. Mahmoudi – Tous les Algériens se sont senti offensés, voire humiliés par ce qui s’apparente à des injonctions venant de Riyad sur cette histoire de banderole déployée au stade de Aïn M’lila.
Par R. Mahmoudi – Tous les Algériens se sont senti offensés, voire humiliés par ce qui s’apparente à des injonctions venant de Riyad sur cette histoire de banderole déployée au stade de Aïn M’lila.
Par M. Aït-Amara – Pourquoi les autorités algériennes se sont-elles senties obligées de présenter leurs plus plates excuses aux Al-Saoud ? Qu’y avait-il de diffamant dans la banderole déployée à Aïn M’lila ?
Par Kamel Moulfi – La provocation a-t-elle échoué en Kabylie ? Le calme l’emporte face à l’agitation. La protestation contre la marginalisation de tamazight n’aurait-elle plus de raison d’être ?
Par Kamel Moulfi – L’ambassadeur d’Arabie Saoudite à Alger a menacé de «riposter» au déploiement d’une caricature qui stigmatise la collusion entre les régimes saoudien et américain.
Par Kamel Moulfi – La dimension politique qui a dominé 2017, avec en perspective l’échéance présidentielle de 2019, a fini par céder la place aux préoccupations économiques.
Par R. Mahmoudi – Tous les partis politiques sont comme assommés depuis les élections du 23 novembre dernier. Ils ne trouvent plus de ressources pour revenir à un rythme d’activité normal.
Par Kamel Moulfi – Le MAK a monté en épingle des heurts qui ont accompagné les manifestations pour protester contre le rejet par l’APN de l’amendement relatif à la promotion de tamazight.
Par Kamel Moulfi – L’information relative aux faux magistères obtenus par deux ministres et un magistrat a de quoi choquer. Cela montre qu’on est loin de l’exemplarité que doivent s’imposer les responsables.
Par R. Mahmoudi – Comme dans un partage de rôles bien étudié, le parrain machiavélique des Frères musulmans, Recep Tayyip Erdogan, appelle à un «sommet islamique» à Istanbul.
Par Kamel Moulfi – Alors que le Conseil de la nation votait à l’unanimité une loi de finances déjà adoptée avec une majorité écrasante par l’APN, la rue, partout en Algérie, avait la tête ailleurs.