Sans les Arabes
Par Amar Djerrad – Il devient impossible pour les Arabes qu’ils prennent en charge le problème de la colonisation de la Palestine, du moins dans leur configuration politique actuelle basée sur la félonie.
Zemmour s’est suicidé
Par Karim B. – Eric Zemmour aigri manque lamentablement de qualités qui feraient de lui un président de la République. Son rôle est terminé avant même d’avoir commencé et sa mort politique par suicide a été établie.
Se réveiller sur ordre
Par Bachir Medjahed – Les faibles et les forts n’ont pas la même perception de la souveraineté nationale et n’ont pas la même perception des moyens à utiliser pour préserver chacun la sienne.
Qui paye qui ?
Par Abderrahmane Mebtoul – Le système de protection sociale, les modalités de transferts sont si complexes que plus personne ne sait qui paye et qui reçoit. Le système de redistribution doit être maîtrisé.
S’en prendre à soi
Par Bachir Medjahed – L’avenir du terrorisme mondial se joue uniquement dans la région sahélo-saharienne ? Si on observe les lieux mis sous surveillance, on devra d’abord nous en prendre à nous-mêmes.
Du système califal
Par Amar Djerrad – L’examen des textes fondateurs légitimant le mode de gouvernance califal montre bien leur nature totalitaire, même si ce projet est emprunté par dissimulation des préceptes de l’islam.
A court d’alliés
Par Bachir Medjahed – La France et son président Emmanuel Macron risquent d’être à court d’alliés et ne doivent sûrement pas oublier que l’Algérie peut représenter la dimension sud de leur politique de défense.
La rente mémorielle
Par Youcef Benzatat – Monsieur Macron, faire de la mémoire coloniale une rente, c’est se renier soi-même. Comme celle qui consiste à renier les crimes contre le peuple algérien commis par votre armée immorale.
Sécurité collective
Par Abderrahmane Mebtoul – Aux antipodes de la sécurité par l’équilibre des puissances du système international au XIXe siècle, la sécurité collective repose sur le déséquilibre des forces.
Qui paye qui ?
Par Abderrahmane Mebtoul – Le système algérien tant salarial que celui de la protection sociale est diffus et, dans la situation actuelle, plus personne ne sait qui paye et qui reçoit.