Le peuple insulté
Par M. Aït Amara – Accuser les Algériens de s’être abstenus d’occuper la rue parce qu’ils auraient eu peur est une double insulte au peuple lui-même et aux services de sécurité. L’insinuation est sournoise.
Par M. Aït Amara – Accuser les Algériens de s’être abstenus d’occuper la rue parce qu’ils auraient eu peur est une double insulte au peuple lui-même et aux services de sécurité. L’insinuation est sournoise.
Par Sadek Sahraoui – Ainsi qu’il fallait s’y attendre, la situation au Cachemire a fini par s’envenimer. Malgré les nombreux appels au calme, le Pakistan et l’Inde ont en effet fini par en venir aux armes.
Par Mrizek Sahraoui – Il suffit d’émettre la moindre critique à l’encontre de la presse française pour que certains compatriotes soient aussitôt vent debout pour dénoncer un sacrilège.
Par R. Mahmoudi – Longtemps prise à partie par les Gilets jaunes qui l’accusent de défendre le Président Macron, la presse parisienne trouve dans les événements en Algérie son sujet de substitution.
Par R. Mahmoudi – Avec la détermination du pouvoir à passer en force, il y a un risque que les contestations populaires se radicalisent davantage et que les choses basculent dans la violence.
Par Sadek Sahraoui − L’attitude des autorités vis-à-vis de la contestation populaire contre le cinquième mandat montre une volonté de jouer la carte de l’essoufflement.
Par Sadek Sahraoui – La mobilisation contre le 5e mandat ne semble pas s’essouffler. Les échos parvenant des différentes régions du pays laissent penser que la contestation va s’amplifier.
Par R. Mahmoudi – Jusqu’où les hautes autorités politiques continueront à pouvoir jouer la carte de la transparence sur l’état de santé du premier magistrat du pays, candidat à sa propre succession ?
Par R. Mahmoudi – Après le séisme qui a frappé le pays, au lieu de désamorcer la crise, pouvoir et opposition campent sur leurs positions et semblent tentés par le pire, à savoir l’affrontement.
Par Sadek Sahraoui − Les Algériens ont manifesté hier, en grand nombre et pacifiquement, pour dire «non» à un cinquième mandat du président sortant, Abdelaziz Bouteflika.