Ahmed Bensaada à Algeriepatriotique : «Kamel Daoud est un écrivain néocolonisé qui s’évertue à diaboliser sa communauté»

L'écrivain Ahmed Bensaada. D. R.

L’écrivain Ahmed Bensaada voit dans l’attitude du chroniqueur controversé Kamel Daoud un «amour du colonisateur» et une «haine de soi», ce dernier épousant «automatiquement les idées les plus réactionnaires de l’ex-colonisateur» et «se métamorphosant à l’image du colonisateur dans le but ultime d’être finalement accepté par son modèle». Interview.

Algeriepatriotique : Votre livre Kamel Daoud : Cologne, contre-enquête, paru cette semaine aux éditions Frantz-Fanon est une analyse exhaustive des écrits de Daoud. Qu’est-ce qui vous a décidé à l’écrire ?

Ahmed Bensaada : Cela fait plusieurs années que je lis les chroniques de Kamel Daoud, d’autant plus que j’ai longtemps écrit dans le même journal que lui, c’est-à-dire le Quotidien d’Oran. J’ai remarqué qu’avec le temps, ses propos ont inexorablement glissé de la critique à l’injure de sa communauté et son impertinence intellectuelle s’est métamorphosée en un chapelet d’offenses aussi dégradantes les unes que les autres. Tout cela s’est accompagné d’un processus de «mimétisation» de l’ancien colonisateur que j’ai amplement expliqué dans mon essai, processus qui l’a mené tout droit au statut d’écrivain «néocolonisé». Le paroxysme de ce processus de «mimétisation» a été atteint par le chroniqueur oranais dans son analyse simpliste et erronée de l’affaire des viols de Cologne qui s’est déroulée dans la nuit de la Saint-Sylvestre 2015. En usant de stéréotypes éculés et abusant de clichés offensants sans attendre la fin de l’enquête, il a démontré qu’il utilisait le même vocabulaire que les commentateurs les plus réactionnaires et les plus xénophobes de l’Hexagone. Outré par cette attitude méprisante, j’ai décidé d’analyser avec soin les prises de position de Kamel Daoud depuis un certain nombre d’années pour montrer la constance de son attitude envers sa communauté.

Vous qualifiez les intellectuels maghrébins «qui jouent un rôle de supplétifs» d’écrivains «néocolonisés ». Vous citez Kamel Daoud, Boualem Sansal et Djemila Benhabib. Qu’est-ce qu’un écrivain «néocolonisé», au juste ?

Ce concept d’écrivain «néocolonisé» est amplement discuté dans mon essai. Pour cela, j’ai utilisé une grille d’analyse empruntée à Albert Memmi et tirée de son livre «Portrait du colonisé» (Payot – Paris, 1973). En résumé, un écrivain «néocolonisé» est celui qui se fond dans la littérature de l’ex-colonisateur, en épouse automatiquement les idées les plus réactionnaires, use et abuse des stéréotypes et s’évertue à diaboliser sa communauté d’origine. Intronisé dans le temple de la science infuse, complètement phagocyté par la bien-pensance occidentale, il s’extirpe du terroir qui l’a enfanté et tend un énorme doigt accusateur par-delà la Méditerranée en toisant ses compatriotes d’antan. C’est ce que Memmi a appelé «l’amour du colonisateur et la haine de soi».

Kamel Daoud a consacré deux articles dans Le Monde et The New York Times sur l’affaire de Cologne, où il est tombé dans l’invective et l’insulte contre les réfugiés maghrébins, sans attendre les résultats de l’enquête. Sont-ce des articles commandés, selon vous ?

Je ne sais pas s’il s’agit d’articles commandés. Il faudrait pour cela s’enquérir auprès de l’auteur. Cependant, commandés ou non, ces articles sont dans le prolongement de ce qu’il écrit depuis quelques années. Sa cible préférée est une espèce humaine ( ?) qu’il a baptisée «Arabo-musulman» et à qui il fait porter tous les maux et toutes les tares de la Terre. Dans sa pseudo-analyse de l’affaire de Cologne, il porte son dénigrement de cette «espèce» à des niveaux jamais atteints.

Quel sens donnez-vous à sa manière de décrire toujours l’Arabe, le musulman ou le réfugié par «l’autre» et leur stigmatisation par la «marque du pluriel». Est-ce une forme de négation de soi ?

Memmi nous explique que le colonisé (et par extension, le «néocolonisé») est toujours tenté de «changer de peau» par mimétisme. Il se métamorphose à l’image du colonisateur dans le but ultime d’être finalement accepté par son modèle. Ce colonisateur vénéré qui «ne souffre d’aucune carence» et qui «bénéficie de tous les prestiges». Cet «amour du colonisateur est sous-tendu d’un complexe de sentiments qui vont de la honte à la haine de soi». D’autre part, contrairement à l’Occidental qui a le droit à un traitement différencié, l’«Arabo-musulman» ne peut prétendre «qu’à la noyade dans le collectif anonyme». Cette «marque du pluriel», signe explicite de dépersonnalisation, a pour conséquence d’attribuer les crimes d’une personne ou d’un groupe de personnes à toute une communauté, voire une nation, une religion. Ce traitement collectif n’est évidemment pas utilisé lorsqu’il s’agit d’agissements répréhensibles perpétrés par des Occidentaux. Les actes d’un Occidental n’engagent que sa seule personne.

Vous avez abordé dans votre livre la relation ambiguë de Kamel Daoud avec la langue arabe et l’islam. Pouvez-vous nous expliquer ce rapport équivoque ?

Kamel Daoud considère la langue arabe comme une langue de colonisation. Certes, cette affirmation peut être discutée dans des cercles savants, mais le chroniqueur ne dit jamais que la langue française est aussi une langue de colonisation. Au contraire, il prétend qu’elle est un «bien vacant», abandonnée en Algérie par les colons français lorsqu’ils quittèrent leur ancienne colonie. Et cette comparaison des langues arabe et française ne s’arrête pas là. Pour lui, la langue arabe est une langue morte «piégée par le sacré, par les idéologies dominantes» alors que le français est une langue de liberté, de dissidence et d’imaginaire. Là aussi, Memmi nous apporte une explication : «Dans le conflit linguistique qui habite le colonisé, sa langue maternelle est l’humiliée, l’écrasée. Et ce mépris, objectivement fondé, il finit par le faire sien. De lui-même, il se met à écarter cette langue infirme, à la cacher aux yeux des étrangers, à ne paraître à l’aise que dans la langue du colonisateur.» En ce qui concerne l’islam, Kamel Daoud est passé d’un extrême à l’autre et, comme dit si bien le dicton, les extrêmes se rejoignent. Jeune, il reconnaît avoir été islamiste, imam de son lycée, entre 1983 et 1990. Huit ans durant, il a fréquenté les cellules clandestines des Frères musulmans, prélude à cette sanglante décennie noire qui a endeuillé notre pays. Dans ses écrits actuels, il est passé de l’autre bord. Il ne se gêne pas de dresser du musulman un portrait très répugnant : sale, édenté cannibale et j’en passe… Il s’est même demandé : «En quoi les musulmans sont-ils utiles à l’humanité ?» Dans un de ses articles, Kamel Daoud a déclaré : «Je suis algérien et pas arabe. Je suis humain et j’ai le choix d’être musulman ou pas.» Une façon d’affirmer son rejet de l’arabité et de l’islamité.

L’écrivain «néocolonisé» est-il, forcément, nostalgique de l’époque coloniale ?

En effet, une des caractéristiques de l’écrivain «néocolonisé» consiste à glorifier directement ou indirectement cette période misérable de notre histoire. Kamel Daoud nous a expliqué par exemple que «la terre appartient à ceux qui la respectent. Si nous, les Algériens, en sommes incapables, alors autant la rendre aux colons». Cette déclaration suit le même cheminement idéologique déjà emprunté par Boualem Sansal qui avait avoué son admiration pour l’ancien colonisateur : «En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux. Seul l’amour pouvait oser pareil défi… Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants.» Mais cette caractéristique n’est pas la seule. On remarque aussi que l’écrivain «néocolonisé» glorifie l’Etat hébreu aux dépens de la cause fondamentalement juste de la Palestine. Boualem Sansal a admis être revenu «riche et heureux» après s’être rendu en Israël en 2012. Durant l’été 2014, Kamel Daoud s’est dit non solidaire de la Palestine alors que les bombes pleuvaient sur Gaza, tout en faisant l’éloge de la «démocratie» israélienne. Une «démocratie» qui a massacré, cet été-là, 2 000 personnes, dont 500 enfants. Mais en réalité, ces deux caractéristiques ne sont que les deux faces de la même médaille : la France est un colonisateur d’antan ; Israël est un colonisateur d’aujourd’hui.

Comment se traduit le rapport entre ce genre d’écrivains et l’ancien colonisateur ?

Le rapport entre l’ancien colonisateur et l’écrivain «néocolonisé» est de nature mutualiste, c’est-à-dire constituant une relation d’intérêt. En récompense pour son rôle d’«alibi ethnique», ce genre d’écrivain est allégrement exhibé dans les plateaux médiatiques de renom, exposé dans de prestigieuses tribunes littéraires, affublé de superlatifs pompeux, comparé aux plus grands auteurs métropolitains et «anobli» par de prestigieux trophées. D’autre part, l’écrivain «néocolonisé» possède un réseau de défenseurs ou de «protecteurs» occidentaux qui montent au créneau lorsque leur protégé est malmené à cause de ses écrits ou éclaboussé par l’écume de l’actualité. Dans le cas de Kamel Daoud, ce réseau est imposant. Il compte, entre autres, d’anciens ministres français, d’influents intellectuels cathodiques et le lobby sioniste français au complet. La cerise sur le gâteau ? Le Premier ministre français en fonction, Manuel Valls en personne. En effet, le locataire de Matignon a pris ouvertement, et à deux reprises, la défense du «soldat Kamel Daoud». La première fois sur sa page Facebook personnelle (rien de moins) et la seconde lors du fameux dîner du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif). Rappelons que le Crif est un puissant lobby juif pro-israélien autour duquel gravite toute l’élite politique française. Certains observateurs considèrent cet organisme comme le porte-parole d’Israël en France. Manuel Valls, qui a certainement lu les contributions de Kamel Daoud sur la Palestine, sait qu’au Crif, il a une oreille attentive.

Dans le chapitre «Kamel Daoud et les fatwas», vous parlez d’un point en commun qui existerait entre Daoud et le salafiste Hamadache, c’est-à-dire entre la «victime» et le «bourreau». Quel est-il ?

Tout en condamnant vigoureusement la fatwa «religieuse» de Hamadache, plusieurs similarités peuvent être établies entre le prédicateur salafiste et Kamel Daoud. A ce sujet, mon ami Mohamed Yefsah a écrit : «Hamadache et Daoud ont un point en commun : des haines et des frustrations, la matrice idéologique de la droite fascisante, mais chacun a sa sémantique. Ils sont des professionnels de la lapidation avec des mots.» De son côté, le journaliste Djamel Zerrouk a rapporté les propos d’un internaute qui compare les deux protagonistes : «L’un voudrait être auréolé du titre d’un Salman Rushdie algérien et l’autre de chef d’une antenne algérienne de Daech.» Lorsque Kamel Daoud fut critiqué par un groupe d’universitaires à la suite de ses articles sur l’affaire de Cologne, ses défenseurs ont inventé une autre sorte de fatwa : la fatwa «laïque». Ainsi, en plus de la fatwa «religieuse» qui porterait atteinte à sa vie, la fatwa «laïque» porterait atteinte à sa liberté d’expression. La victimisation de Kamel Daoud passe donc par non pas une seule, mais deux fatwas. Cette désislamisation de la notion de fatwa nous mène à nous questionner sur la nature de l’expertise de Kamel Daoud. N’est-il pas un virtuose de la fatwa «journalistique» qu’il distille, à doses homéopathiques, jour après jour, à longueur de chroniques ? Des fatwas qui discréditent la religion de ses concitoyens, trucident leur langue et étripent leur culture. En définitive, si Hamadache est un amateur de la fatwa «religieuse», Kamel Daoud est un professionnel de la fatwa «journalistique». Et si le premier finira devant un juge pour entendre sa sentence, le second finira devant un jury pour recevoir ses prix.

Vous parlez également du soutien de médias et d’hommes politiques inféodés au lobby sioniste français. Que représente Kamel Daoud pour ces médias et ces hommes politiques ? Que cache cet intérêt suspect que portent ces milieux à cet écrivain dont les chroniques sont parfois risibles ?

Selon la terminologie utilisée par Alain Gresh, Kamel Daoud ne serait qu’un «informateur indigène», un «musulman qu’on aime bien en Occident». D’après lui, «un « bon musulman », celui qui dit ce que nous avons envie d’entendre, et qui peut même aller plus loin encore dans la critique, car il ne saurait être soupçonné, lui qui est musulman, d’islamophobie». Les écrivains «néocolonisés» participent à ce phénomène de diabolisation de l’islam de plus en plus présent en Occident. Ils servent aussi à défendre les valeurs occidentales contre la «barbarie» orientale en mettant en garde du danger que représentent ces «étranges créatures» vivant au-delà de la Méditerranée. Voici ce qui dit Alain Finkielkraut sur le rôle de Kamel Daoud : «L’anticolonialisme nous a conduits à négliger, effacer, occulter tous les crimes commis par l’Algérie depuis l’indépendance et Kamel Daoud est aussi celui qui dénonce ce qu’est devenue l’Algérie sans chercher dans le colonialisme une excuse à cet échec épouvantable.» L’«informateur indigène» dans toute sa splendeur !

Vous avez confié à Algeriepatriotique que vous espériez que la sortie de votre livre permettrait la tenue d’un réel et profond débat sur la culture et la littérature algériennes. Comment décririez-vous la situation de la culture et de la littérature algériennes actuelle ?

La situation de la culture en Algérie est désastreuse, c’est le moins qu’on puisse dire. Les librairies sont rares, les cinémas inexistants, les théâtres vides, les musées désertés, etc. En ce qui concerne la littérature, ce débat sur les écrivains «néocolonisés» doit servir de base pour une réflexion sérieuse sur le rôle de l’écrivain dans la société algérienne. Pourquoi des pays occidentaux ou moyen-orientaux doivent-ils décider pour nous de la valeur littéraire de nos auteurs ? N’est-on pas en mesure de mettre les bases pour une littérature algéro-algérienne ? Une littérature qui se nourrit de son terroir et qui sert son peuple. Car ce n’est qu’en servant son peuple qu’elle peut prétendre servir le monde.

Interview réalisée par Mohamed El-Ghazi

Kamel Daoud : Cologne, contre-enquête, éditions Frantz Fanon (Alger, 2016)

 

Comment (214)

    Citizen
    30 juin 2016 - 21 h 42 min

    Visiblement, les « néo
    Visiblement, les « néo-colonisés » se comptent à la pelle ! Alors, pour leur faire plaisir, chantons en chœur: Douce France, cher pays de mon enfance…

      El mesmar
      30 juin 2016 - 23 h 43 min

      …..Bercée de tendre
      …..Bercée de tendre insouciance. ….

      Visiblement, tu es un peu comme le chameau qui n’a pas vu sa bosse …..n’est ce pas Citizen .

      Tu refoules les joies de ton enfance. ….?

      Vas y , délivre toi de ce démon qui est en toi. …laisse toi aller. ….explique nous pourquoi ton français n’est pas aussi approximatif….est-il un butin de guerre ? Le souvenir d’un soldat dont l’allure t’avais ému au point d’en rêver la nuit venue ? ….

      Raconte nous ta relation avec Charles Trenet…..revient-il a ta mémoire ? As-tu des souvenirs familiers sur le chemin de l’école ? ….

      Humm …….livre toi Citizen, nous sommes là pour t’écouter chanter les beaux souvenirs de ton enfance, ceux là même que tu sembles refouler au point de traiter ce qui ne sont pas de l’avis de tes nouveaux semblables de « néo colonisés « …..

      Exprime toi….chante nous ton enfance. …tes soldats. ..chante nous tes nuits. …..que l’on puisse comprendre
      la bosse que tu portes sur ton dos et que tu ne sembles pas trop voir…..

        Abou Stroff
        1 juillet 2016 - 9 h 28 min

        petit rappel! charles trenet
        petit rappel! charles trenet a vécu toute sa vie avec sa mère, et a fait son « coming out » (c’est à dire qu’il a avoué qu’il était homo) à la fin de sa vie. conclusion, je persiste et signe les islamistes ont un problème avec le sexe bien que 99% de leurs discours ont un rapport direct ou indirect avec le sexe. un psychanalyste, s’il lui était permis de travailler ferait fortune dans n’importe quel pays dit musulman.

    Bekaddour Mohammed
    30 juin 2016 - 21 h 08 min

    En restant dans les limites
    En restant dans les limites strictes de la dualité entre « amour du colonisateur », et « haine de soi » que ce Monsieur colle à Daoud, il est permis de traduire : Quel est le soi du colonisateur, quel est le soi du colonisé Daoud, puisque, semble t-il il y a encore colonisation, cette fois dans l’esprit, (L’historien Mohammed Cherif Sahli a écrit sur le danger de l’esprit qui reste colonisé, il y a déjà très longtemps, rien donc de nouveau sous le soleil, sauf que c’est bien grave en 2016 qu’on en soit encore à ça, il n’y a donc aucun progrès accompli ? )… Est-ce que le colonisateur a, et avait une personnalité bien définie, le colonisé sait-il qui il est, qui est qui… Bon, on sait au moins qui est quoi : Des écrivains… C’est de la littérature, dit le colonisateur, c’est-à-dire du vent, c’est pas avec du vent qu’on rompt le jeune, n’est-ce pas ! Apparemment, Monsieur Bensaada est de ceux qui ont cinq fruits à table chaque jour, comme le recommandent les nutritionnistes du… Colonisateur, mais reste à savoir s’il fait aussi ses cinq prières…

    mouloud madoun
    30 juin 2016 - 20 h 58 min

    bonjour,

    bonjour,

    je me suis vraiment demandé ce que je peux apporter après lecture de commentaires très intéressants. je dirais simplement que voila comment quelqu`un sans envergure aucune peut devenir populaire, très populaire: en dénigrant un GRAND écrivain. courageux qui plus est… triste spectacle de kali yuga, l`age sombre. Kateb yacine était aussi traîné dans la boue, et daoud victime de fetwa d`un illuminé. Confusion des moeurs et des valeurs. tant qu`on n`ose pas se mettre en question, tant qu`on n`arrête pas de chercher le bouc émissaire et l`origine de notre mal ailleurs qu`en nous, aucun changement ne verra le jour. Comment est ce possible qu`un président, invisible peut il présider et être adule par 40 millions de moutons..potentiel bétail de daish..

    Wahid Mokhtar
    30 juin 2016 - 20 h 44 min

    Bonjour,

    Bonjour,

    Je suis de celles et de ceux qui ont œuvré en Algérie pendant 35 ans avant de prendre ma retraite dans les années 2000 pour m’installer au Canada plutôt que de le faire en France. J’étais alors convaincu que les islamistes, mis à part quelques-uns de leurs chefs, récupérés par les pays de l’OCDE ayant misés sur une prise de pouvoir par le parti de dieu, se sont sentis piégés et ont décidé de distribuer des prix et des breloques à des individus sans foi ni loi qui avaient un œil sur le chemin du retour dans le cadre de la RAHMA bouteflikienne… Bensaada Ahmed en fait partie… Aujourd’hui pour se faire valoir auprès du régime en place se fait  »le critique » littéraire assigné pour faire maudire les Sansal, Daoud, Benhabib, et bien d’autres consacrés par la critique universelle.

    Bensaada Ahmed, n’est ce pas ce petit physicien (!?) qui a quitté le pays dans les années  »90 » sous prétexte que son frère (Paix à son âme même si elle fait partie des converties) a été victime de ses frères musulmans ?

    Bensaada Ahmed n’est il pas ce monsieur qui à Montréal critique sans retenue une autre Oranaise et bien d’autres femmes qui ont écrit des livres de succès ?

    Bensaada Ahmed n’est il pas ce monsieur qui a rédigé sous dictée un soi-disant essai expliquant que les printemps arabes sont l’oeuvre des officines comme la CIA’ le MOSSAD, le MI VI, le SDEC etc.? Oubliant que des hommes et des femmes libres, des syndicats, des associations de démocrates, des organisations d’étudiants de ces pays œuvrent depuis des décennies pour se défaire de ces monstres de régimes totalitaires à la solde de l’Occident…

    Bensaada Ahmed n’est il pas ce monsieur qui à Montréal est du côté des islamistes non seulement algériens mais aussi du Maroc et de d’ailleurs qui pleurent le matin d’être victimes des Canadiens et le soir dînent avec les émissaires du Qatar d’Arabie Saoudite et d’ailleurs ?

    Bensaada Ahmed n’est il pas ce pseudo intellectuel qui se fait passer pour un démocrate alors qu’il est abonné au journal El Oumma aussi bien lecteur mais aussi comme auteur ?

    Comme par hasard cet individu n’hésite pas à souiller l’image de ceux qui le devancent au lieu de se tenir debout à leurs côtés pour exprimer l’avis du peuple.

    À la lecture des posts mentionnés ci-dessus contre cet individu le sens commun triomphe au bénéfice de celles et de ceux qui osent penser différemment

    Toutefois, je ne comprends pas son agression contre Daoud et bien d’autres lorsqu’il transpose en Algérie ce concept de néo colonisés sachant pertinemment qu’il relève de la boite à outils des Islamistes contre celles et ceux qui en Occident les dénoncent et les cibles pour leurs forfaitures.

    Ne trouvez vous pas bizarre que ce concept soit mis de l’avant pour faire taire des francophones algériens nés après l’indépendance en même temps que celui d’Islamophobe ??

    Attention ! Le bâillon qui sera mis sur la langue de Molière en Algérie sera difficile à ôter lorsque les résidus infiltrés des batistes convertis à l’Islamisme se dévoileront

      Anonymous
      1 juillet 2016 - 6 h 51 min

      « Bonjour, Je suis de celles
      « Bonjour, Je suis de celles et de ceux qui ont œuvré en Algérie pendant 35 ans avant de prendre ma retraite dans les années 2000 pour m’installer au Canada plutôt que de le faire en France »

      Il faut préciser les choses ! Dites nous comment vous auriez pu vous installer en France ? Sauf si vous avez un ascendant qui avait pris la nationalité française sous la colonisation, c’est à dire  » trouza » chose absolument condamnée à l’époque par par exemple les « Oulémas ». Si non, expliquez nous comment auriez vous pu vous installer en France ! ? Votre installation au Qebec nous n’avons pas besoin à ce que vous nous la racontiez, nous précisons juste qu’elle n’a rien à voir avec une éventuelle installation en France ne nous racontez pas non plus la « loterie américaine pour ceux qui partent au USA.

      Le chacal et les raisins !!!

        hmimed
        1 juillet 2016 - 13 h 40 min

        Ah bon, parce que vous avez
        Ah bon, parce que vous avez des « Oulemas », alors dites nous svp quel est leur apport pour l’humanité?

          Anonymous
          1 juillet 2016 - 17 h 01 min

          détrompes toi bonhomme, je ne
          détrompes toi bonhomme, je ne suis pas de ceux qui croient au père noël, si j’ai dit « Oulémas » je précise par là le nom de l’association religieuse qui avait lancé une fetwa pour que les algériens de souche ne se soumettent pas au droit commun, une Fetwa lancé en 1939 par Badis lui même et Réaffirmé par les derniers de ses successeurs Ibrahimi. et Tbessi, pendant la guerre le FLN l’avait validé et mis à mort d’ailleurs tous ceux qui ont fait cette naturalisation et ce dès les premières semaines de l’automne 54. Je te ramène à tes repères moi ! Tu veux te faire passer pour un hyper nationaliste en retard de 60 ans en tentant de faire croire que tu n’aimes pas la France c’est pour cette raison que tu aurais « choisi le Québec » raconte ces histoires aux naïfs. je suis à peu près certain que même installé au Québec, si on te permettait de s’installer en France avec tous les droits tu laisserais tout tomber et aller chez FAFA !! Ce gens de patriotes zélés, ne peuvent plus tromper personne tout le monde sait que dès quelqu’un fait sa danse d’hyper nationaliste qui s’exprime par la pseudo haine de la France, on sait que cet individu est capable de passer sur le cadavre de sa mère si on lui donnait l’occasion d’aller s’installer en France.

          Non je n’étais pas entrain de te vendre l’islamisme au moment ou je te parle je sirote une bière dans un pays de liberté, la France précisément ( Ramadhan) mais je respecte aussi les gens qui veulent pratiquer cette religion.

          hmimed
          1 juillet 2016 - 20 h 54 min

          Ah oui, l’association des
          Ah oui, l’association des oulémas aurait déclarée que les algériens ne devraient pas se soumettre au droit commun, alors que dites vous de la déclaration suivante de ce même Ibnou Badis : «Croyez-vous que la nation algérienne qui a une histoire algérienne passe un siècle entier dans le giron de la France civilisée sans renaître aux côtés de la France, sous sa bienveillante protection, la main dans la main, telle une fille charmante et pleine de vitalité, possédant tout ce que peut avoir une fille de race élevée par une mère pareille.» (Al Bassaïr du 27/12/1935). Il ajoute plus loin «Ceci afin que le Musulman algérien soit aux côtés de ses autres frères, les fils de la France, sur le même et vrai pied d’égalité. Celle-ci aura pour conséquence la véritable union que nous recherchons.» Toutes ses déclarations de fidélité à la France vont se matérialiser par une Charte revendicative du Congrès musulman, coalition regroupant la Fédération des Elus de Constantine, l’Association des Oulémas, le Parti communiste algérien (PCA) et d’autres associations de la société civile, une Charte qui va revendiquer le «rattachement pur et simple à la France» (article 2) et qui sera présentée le 24/07/1936 au gouvernement français. Vous ne pourrait pas travestir l’histoire éternellement pour servir vos intérêts. Les « oulémas » sont les derniers à avoir rallier nos vaillants révolutionnaires après 1954, comme d’habitude ils prennent le train en marche et s’attribuent des méritent qui reviennent aux autres. Des opportunistes comme de nos jours. MSP GHOUL AHDet tout le reste. M K Daoud ne fait que traduire une réalité, mais qui est très dure à accepter pour une partie de notre population formatée aux mensonges et aux dénigrements.

      Anonymous
      1 juillet 2016 - 17 h 21 min

      Excellent commentaire ! merci
      Excellent commentaire ! merci

    Lilichange
    30 juin 2016 - 20 h 02 min

    Pourquoi chez-nous pour que
    Pourquoi chez-nous pour que quelqu’un existe il a toujours besoin de dénigrer l’autre. A qd le respect de la réflexion et le respect de la différence? Cette différence qui est sensée enrichir l esprit non l’appauvrir. À qd les débat d’idées loin des débats de personnes?

    Bekaddour Mohammed
    30 juin 2016 - 19 h 57 min

    Le choix de la grille d
    Le choix de la grille d’analyse… Ce Monsieur aurait été novateur, donc intéressant pour les Algériens, s’il nous avait gratifié d’une invention, de la proposition d’une grille de lecture endogène, inédite, qui aurait attesté d’un effort (Ijtihad), non il se sert d’un prêt à porter, de fabrication juive… Dans l’esprit du Juif Memmi, le colon est le chrétien, le colonisé, le musulman, j’ai lu ce livre là il y a bien longtemps, j’ai compris avec le temps que c’était de la masturbation (Pardonnez moi ce langage cru, mais il faut oser dire les choses), donc du vide, pas d’accouplement, pas d’enfant possible, et ce Monsieur a pris « Le flambeau », pour que l’histoire du colonisateur et du colonisé reste improductive, stérile… En somme, stériliser les Algériens, et Les Français, seul Israël décide !

    Nemouche
    30 juin 2016 - 19 h 33 min

    les arabo-islamiques
    les arabo-islamiques « algéreins » reprochent à l’écrivain berbère algérien Kamel Daoud d’avoir des amis intellectuels juifs français MAIS ils ne disent rien sur les relations et les alliances de leur « Khadem el Haramine  » et El Haramia , leur champion arabo-islamique le roi saoudien ou leur descendant du prophète les Hachemites le roi jordanien Abdallah ou le roi du Maroc M6 avec l’état sioniste Israel … ils se taisent !!! Eh bien nous les berbères nous leur disons : nous ne voulons chez nous d’aucune idéologie et presence Sémitique ni judaïque ni arabo-islamique qui sont dans le fond la même chose …Dehors !!! Qu’ils retournent chez leur calife Ommeyade en Arabie et ils peuvent prendre avec eux leur cousin Shlomo et leurs Mawlas Hmida et Hamadache

      kamel
      1 juillet 2016 - 11 h 19 min

      Les européens et les blancs
      Les européens et les blancs en general doivent quitter l’Amérique laisser les indiens vivre seul sur leur terre selon la logique de nemouche .J’ai honte d’avoir un compatriote aussi raciste que toi,meme un nazi n’aurait pas eu une position aussi xénophobe que la tienne.En quoi sommes nous meilleurs que les arabes…Tu n’as qu’à faire un tour à Dubai ou à Doha pour voir ce qu’ont fait ces « bedouins arabes » de leur pays.

        A/KAder
        1 juillet 2016 - 12 h 28 min

        Tu oublies un détail
        Tu oublies un détail fondamental : Les européens et les blancs en général, comme tu les appellent, ont apporté à l’Amérique la civilisation, les tiens, c’est-à-dire les arabes, ont apporté la barbarie et lé dévastation en Afrique du nord qui était déjà civilisée. La différence est de taille, non ?

    Hacen
    30 juin 2016 - 19 h 19 min

    Avant que n’éclatent toutes
    Avant que n’éclatent toutes ces polémiques sur les articles du journal le monde et l’affaire de Cologne, j’ai écrit à Kamel Daoud pour lui faire certaines remarques sur sa manière d’écrire. Kamel Daoud est un très grand écrivain, mais malheureusement son langage n’a pas la puissance nécessaire pour aspirer tout le fond de sa pensée et la restituer au lecteur sans déformation, aucune.

    coeur d'artichaux
    30 juin 2016 - 18 h 20 min

    il existe un proverve kabyle
    il existe un proverve kabyle qui dit  » yella la3mar yetswavdhar ,assen irouh yedhrag thala » ce qui veut dire a peut pres cela « il etait un illustre inconnu et pour faire parler de lui il alla faire ses besoins dans la fontaine du village » cet adage s’applique parfaitement a monsieur Bensaada.il a essayé de ratisser large, faire plaisir aux gardiens du temple,caresser dans le sens du poil les islamistes .et tenter de se faire un nom .

      elmauro
      1 juillet 2016 - 11 h 45 min

      je crois ce proverbe kbile
      je crois ce proverbe kbile va a merveille a Kamel Daoud dont toute l’oeuvre se résume a un seul livre et a un bouquet d’invective contre ses patriote.

    momo
    30 juin 2016 - 18 h 14 min

    nul n es prophete en son pays
    nul n es prophete en son pays.. deja kamel daoud n insulte ni n injure qui que se soit .mais je pense qu il faut accepter la critique pour avancer dans toute les civilisations ..

    bouaza mohamed6bmcbq
    30 juin 2016 - 18 h 08 min

    un proverbe en arabe et
    un proverbe en arabe et juste pour toi Mr connait tout, {si les paroles sont en argent le silence est en OR} alors Mr Bensaada, apprend de rouler et tourner ta langue sept fois avant de dire des mechancetes gratuites et puis franchement pour quoi ce complexe?

    Fayçal
    30 juin 2016 - 18 h 05 min

    Ahmed Bensaada ? Mais enfin
    Ahmed Bensaada ? Mais enfin qui êtes-vous ? Un écrivain ? Qui a écrit quoi au juste ? Un prétendu écrivain qui juge publiquement un écrivain (un vrai celui-là) ? C’est indigne. Comme vous ne représentez rien, vous vous faites une voix sur le dos de celui qui en a une. Un commerce facile. Un commerce qui a le vent en poupe dans ce pays où l’usurpation et le déni sont des vertus cardinales. Je n’apprécie pas l’œuvre de K. Daoud, mais je souhaite ardemment qu’il écrive. Juste pour le lire. Il écrit bien. Il écrit tout court. Vous, vous n’êtes rien. Vous n’existez pas. Commencez d’abord par exister, nous vous lirons alors avec (ou sans) plaisir. Mais de grâce, arrêtez de tuer dans l’œuf toute chose qui vit. Je sais que ce que je viens d’écrire ne servira à rien. Mais je l’écris quand même.

    FLN Canal Historique
    30 juin 2016 - 18 h 02 min

    Une enquête approfondie sur
    Une enquête approfondie sur les états civils surprendra le peuple Algérien. Beaucoup de familles juives d’Algérie avaient reçu des instructions d’Israèl après 1948 et surtout lors des négociations des accords d’Evian, d’usurper les identité des familles musulmanes de s’infiltrer dans le milieu du pouvpoir après l’indépendance, de s’impser dans le business Ils avaient reçu des milliards pour devenir des hommes d’affaires….
    Je ne sais pas si Kamel Daoud fait partie de ces fausses familles musulmane ou non.!!!!!!!!?

      El mesmar
      30 juin 2016 - 18 h 56 min

      Non lui il fait partie des
      Non lui il fait partie des autochtones, c’est à dire les vrais Algériens. C’est un Numide, un pure sucre. Il ne vient pas d’Arabie.

      Un adage grec dit: « qui béné amat béné castigat « . Qui veut dire « qui aime bien, châtie bien. » Et il n’y a pas meilleur amour que de remettre en cause l’ignorance, la bêtise, l’obscurantisme et là perfidie des origines de ceux qui nous entourent et avec l’on partage la patrie.

      Ce n’est pas la famille de Kamel Daoud à ce que je sache qui t’à maintenu dans ta situation de sous développé .

      Fait travailler ton cervelet et tu finiras par comprendre et admettre les réalités que toi et tes semblables niez.

      L’atrophie des neurones est un syndrome dangereux pour les peuples. Elle peut les anéantir ou les maintenir dans l’état dans lequel ta nation se trouve

      A/Kader
      1 juillet 2016 - 12 h 42 min

      « FLN Canal Historique » ..
      « FLN Canal Historique » …certainement le même FLN des embusqués aux frontières !

    Todeschini.
    30 juin 2016 - 17 h 59 min

    « Hommage aux harkis » prévu
    « Hommage aux harkis » prévu pour le 4 juillet au Camp de Saint-Maurice-l’Ardoise à Saint-Laurent-des-Arbres (Gard, sud du pays).

    Kamel daoud, abou stroff, new kid et consorts, sont cordialement invités à partager le petit rouge de l’amitié.

      New kid
      1 juillet 2016 - 7 h 47 min

      @Todeshini

      @Todeshini
      L’association du clan réunie en tant que coalition RND/FLN, t’invite à passer une semaine dans ce château suisse pour te remercier de ta défense et loyauté envers le clan d’Oujda.
      Reste à la maison, un agent te ramènera visa, devises et billet d’avion. Une voiture en Suisse sera mise à ta disposition. Bravo continue de mentir pour le clan et tu auras une rente à vie !

    Mohamed el maadi
    30 juin 2016 - 16 h 37 min

    Qui défend Daoud ou Sansal ?
    Qui défend Daoud ou Sansal ? Des algériens renié, complexé et identitaires sionistes. En un mot la racaille que nous avons laisser grandir après la libération .

    Mohamed el maadi
    30 juin 2016 - 16 h 18 min

    Kamel Daoud insultes les
    Kamel Daoud insultes les algériens en les qualifiants de sales ,de dégénérés et de barbares et les couillons applaudissent son discours.
    Daoud un pauvre type complexé et ordurier .Une saloperie immonde qui souille notre pays

      bouaza9
      30 juin 2016 - 18 h 25 min

      des gens comme vous Mr Maadi
      des gens comme vous Mr Maadi qui nous insulte,avec des termes aussi bat et vulgaire que vous utilisez, honte a vous.autre chose c est qui vous?
      ? pour que tu parles au non des algeriens et de l algerie.

    Mohamed el maadi
    30 juin 2016 - 16 h 12 min

    Ahmed bensada est un homme
    Ahmed bensada est un homme intègre et fier d’être algérien. Tout ces algériens né au pays et qui une fois en France crache a la gueule du peuple algérien sont les pires que la terre a engendré. Vous avez un problème au pays et je vous le dit libérez vous de ces chaines mentales devant l’homme blanc.
    Ensuite ceux la crache sur la gueules des franco algériens qui eux sont bien plus patriotes et n’ayant jamais vu la terre d’Algérie.

    De toute façon c’est la faute de son Père qui l’a mal éduqué ..

      Tresorier d'etat
      1 juillet 2016 - 10 h 21 min

      Par décret présidentiel,
      Par décret présidentiel, Mohamed al maadi (dit shlommo 6) a droit à un séjour en Suisse dans la Villa de notre Fakhamatou !
      Voilà comment le clan d’Oujda récompense ses sbires !

    brobro
    30 juin 2016 - 15 h 56 min

    qui se sent morveux, se
    qui se sent morveux, se mouche. ce bensaada et ses acolytes se retrouvent certainement dans les portraits que leurs tire Kamel daoud. au lieu de t’en prendre à Kamel Daoud, essaie plutôt de te debarasser des tares que dénonce notre grand écrivain.

    New kid
    30 juin 2016 - 15 h 45 min

    Comme il est étrange que
    Comme il est étrange que notre érudit de Bennsaada a fait sont étude dans un bouquin d’un juif colonisateur pour s’attaquer à meilleur que lui.
    Il oublie un fait important que les arabes sont descendant du père de tous les juif du monde ! Qui n’est autre qu’Abraham qui a expédié Ismail dans le désert et sa mère la servante, il y a plus de 7000 ans.
    C’est caractéristique d’un arabe de poignarder son ancien collègue dans le dos.
    La psychologie de ce scribouillard qu’est Bennsaada devenu
    elève assidu d’un certain notoire Albert Memmi, n’est en fait que la reconnaissance de la défaite du Goliath contre le petit Daoud.
    Cette interview d’un tartufe exogène au Québec libre va nous réécrire Molière dans sa totalité en commençant par le malade imaginaire !
    Monsieur Bennsaada est psychiquement instable en voulant décrire les arabes il puise ses réponses dans la littérature de son demi-frère Isaac dont tous deux sont véritablement sortis !
    Oui la langue arabe est une langue de colonisateur tout comme le français. C’est une vérité incontournable.
    J’aimerais que ce monsieur lise l’article de la semaine dernière sur Oran, ou ce qu’il reste de ce bijou !
    Le seul point commun possible entre Hammadache le vampire et le précieux Kamal serait une grenade dans le Kamis du premier.
    Cette histoire de lobby sioniste servira aux écrivaillions a vouloir vendre leur bouquin de « pieds nickelés » au pays des yehoudiens.

      Cequisepasseiciresteici
      30 juin 2016 - 17 h 35 min

      Croyez vous que ce que dit ce
      Croyez vous que ce que dit ce « scribouillard » sur Kamel Daoud soit acceptable alors que lui même a laissé tomber son pays: L’Algérie lui a tout donné, payé ses études totalement gratuit, lui a donné un logement, lui a permis de faire un doctorat en physique et qu’est-ce qu’il a donné en retour? Un exil doré au Canada en plaçant ses enfants a l’abri en contemplant la décennie noire depuis Montréal; et maintenant 35 ans après, il réapparaît pour nous donner la bonne parole et critiquer les enfants de ce pays qui ont vécu trimé et subi le terrorisme chaque jour.
      Il fallait être la pour aider son pays pour aller enseigner nos étudiants (et en français), pour faire la queue pour acheter son pain, pour affronter le regard des « Alayha nahia alayha nmout » et les menaces qui pesaient sur nos tètes.
      Le mieux pour lui est de demander pardon d’avoir obtenu tout ce que l’état lui a donné sans rien lui rendre en retour et ce n’est pas maintenant qu’on vient frimer et dénigrer des vrais algériens qui sont restés ici.

    Lemdigouti
    30 juin 2016 - 15 h 18 min

    Mr Daoud a trouvé la solution
    Mr Daoud a trouvé la solution à ses problèmes, à ses questionnements.
    Pour lui ……le Goncourt passe par le reniement de soi.
    Il faut qu’il obtienne la résonance voulue à ses lubies. Il faut que l’autre rive soit satisfaite et bien satisfaite ,RIVE GAUCHE comme RIVE DROITE.
    Il me fait rappeler certains dont le triste sire SIFAOUI. Au nom de principes bafoués (reste à savoir si principes existent) ces « ya bon banania du 21eme siècle » n’hésitent à aucun moment pour être bien vus par ceux qui ricanent sous cape en les « assimilant » à leur supposée valeur et tutti quanti.
    MAIS PLUS DURE SERA LA CHUTE ET LA DECHEANCE aprés les lambris de Fafa.
    Au fait où en est La Deutch Républik dans son histoire de viols collectifs la veille du jour de l’an.
    C’est une affaire qui a PSCHIIIIIIITTTTTTTTTT ccomme l’a dit l’autre.
    Heureusement qu’existent des personnalités du cru dignes et fières ; de Monsieur Bensaada à Boudjedra en passant par le regretté OUETTAR ET AUTRES ARTISTES de la plume.

    Abrid
    30 juin 2016 - 15 h 10 min

    Finalement ce qui fait bondir
    Finalement ce qui fait bondir aussi violemment Bensaada c´est le fait que Daoud ose denoncer un fait consideré comme tabou ; la sexualité !…toutes ses attaques veulent masquer ce fait évident que dans tous les pays musulmans et arabes la repression sexuelle est des plus evidentes tares de la societé…on est tous et sans exeption des frustés , des refoulés qui n´ont plus que le virtuel – et encore!- pour compenser…Ajoutez à cela le manque de loisirs et vous obtenez une societé sous haute pression; malade et frustre …de lá on comprend les comportements suicidaires de notre jeunesse qui, à défaut de sublimerses aspirations pour un audelá meilleur, où vierges et alcool coulent à flot , n´hesite pas de tenter de traverser les mers à la nage, quitte á se donner en pature aux sardines, plutôt que de vivre la sinistrose omnipresente qui les enterre vivants au moment où les jeunes du monde croquent dans la vie à pleines « mains » ….c´est ce quónt essayé de faire, les jeunes de Cologne, mais ne maitrisant pas le procédé car venant d´un monde tout autre, ils se sont tout simplement plantés…voilá l´histoire toute simple et sans passion!.. justement c´est ce que dénonce le courageux Kamel Daoud .dont les propos étouffent M.Bensaada qui ecrit , j´imagine, tout epocritement, atablé autour d´une biere tout en se rincant l´oeil sur le va et vient des trottoirs, pour mieux s´inspirer, en croyant avoir débusquer un  » traitre » ….Ya bourab!

      Abou Stroff
      30 juin 2016 - 15 h 42 min

      tout à fait d’accord avec vos
      tout à fait d’accord avec vos propos sur le sexualité! en effet, je ne cesse de le clamer: les musulmans ont un problème avec le sexe. tant que cette activité vitale et incontournable n’est pas pensé selon les normes d’une société moderne, tant que les musulmans continueront à se voiler la face à travers leurs tartufferies maladives et à leur hypocrisie avérée, ils, vivant en marge de l’histoire qui se fait sans eux, ne peuvent que développer toutes les frustrations possibles et imaginables. d’ailleurs, si nous analysons le discours islamiste, en particulier, qu’y a t il d’original, en dehors de l’obsession maladive que les islamistes affichent vis à vis du sexe en général et de la femme en particulier et qui dégouline de leurs propos?

    Justice
    30 juin 2016 - 15 h 09 min

    N’en déplaise à certains
    N’en déplaise à certains nains comme ce personnage, Daoud et Sansal sont des géants.

    Antar
    30 juin 2016 - 15 h 07 min

    Et Ahmed Bensaada un
    Et Ahmed Bensaada un NéoIslamisé,…..

    elkhayam
    30 juin 2016 - 14 h 54 min

    Kamel Daoud est un écrivain
    Kamel Daoud est un écrivain talentueux ses écrits corrosifs et d’une pertinence éblouissante sur les islamo-baathistes le rendent la bête noire des Hammadache et compagnie . Les islamo-baathiste qui veulent que le temps s’arrête en l’an 620 ne peuvent tolérer la créativité et la liberté de penser , ni la réussite d’ individus qui échappent à leur moule totalitaire et obscurantiste. Chapeau bas ! monsieur Kamel Daoud , vous qui donnez des crises hémorroïdaire à vos détracteurs en mettant à nu leur médiocrité et leur monde paranoiaque .

    Anonymous
    30 juin 2016 - 14 h 43 min

    kamel daoud, mis sous le
    kamel daoud, mis sous le microscope et disséqué comme un hybride et vulgaire insecte.

    Vivement que j’achète le livre pour en apprendre plus sur cette autopsie intellectuelle du « phénomène ».

    Merci à Ahmed bENSAAADA !.

    Vague De Fond
    30 juin 2016 - 14 h 29 min

    Après avoir lu une interview
    Après avoir lu une interview pareille, on ne sait plus s’il faut en rire ou en pleurer. Comme a dit Arezki 30 juin 2016 12:18, si le livre de Bensaada risque d’avoir du succès, c’est parce que le titre porte le nom de Kamel Daoud. Mr Bensaada dit : « En ce qui concerne la littérature, ce débat sur les écrivains «néocolonisés» doit servir de base pour une réflexion sérieuse sur le rôle de l’écrivain dans la société algérienne ». c’est terrifiant, 54 ans aprés l’indépendance, nos intellectuels produisent encore des horreurs pareilles. Le sinistre messadia n’aurait pas dit mieux. Mais, ce qu’il y’a de plus dégueulasse, c’est de mettre sur le même pied d’égalité le sinistre hamadache et le journaliste Kamel Daoud. Comment ne pas revisiter l’incommensurable souffrance que les  »frères » de hamadache ont infligé aux Algériens et aux  »frères » de Kamel Daoud. Plus de 100 journalistes assassinés par les islamistes.  »ceux qui nous combattent par la plume, nous les combattrons par la lame » disaient les frères de hamadache, ce hamadache que Bensaada tente de nous présenter comme un inoffensif barbu qui lance des fetwas à ses heures perdues. Faut-il rappeler à Bensaada que hamadache a lancé sa fetwa de condamnation à mort avant cette affaire des violeurs de cologne, lorsque Daoud avait frôlé le Goncourt et du silence de la justice Algérienne face à un appel au crime. Vous pouvez écrire des tonnes de livres sur Kamel Daoud le comparant à cet infâme barbu qui a ouvertement revendiqué une ambassade de daech en Algérie, mais il est une chose qui vaut son pesant d’or et qui fait toute la différence entre un écrivain, un vrai et un intellectuel organique, c’est que Kamel Daoud assume ses écrits en son nom propre et jamais au nom d’une religion ou d’un peuple quelconque. Pas comme vous et tant d’autres qui avaient la prétention de défendre  »l’honneur » des Musulmans en vous taisant face aux hordes sauvages des islamistes et leurs crimes ignobles qui ont révulsé l’humanité entière. Mr Bensaada, c’est bien de se documenter sur le concept de la haine de soi, mais la question, la vraie, c’est de la comprendre. Là est toute la problématique. Les apparences sont souvent trompeuses dit-on.

      Abou Stroff
      30 juin 2016 - 15 h 18 min

      j’espère que bensaada aura,
      j’espère que bensaada aura, entre deux dédicaces de son livre, le temps de voue lire et de se poser quelques questions pertinentes

    Abou Stroff
    30 juin 2016 - 14 h 21 min

    Ahmed Bensaada soutient que :
    Ahmed Bensaada soutient que : «Kamel Daoud est un écrivain néocolonisé qui s’évertue à diaboliser sa communauté». question simple pour ne pas dire simple question: qu’entend Ahmed Bensaada par communauté? serait ce un ensemble de clones amorphes répondant à des injonctions provenant de l’au-delà ou une formation sociale composée de couches sociales aux intérêts contradictoires et où une couche sociale impose son idéologie (c’est à dire ses valeurs) aux autres couches? dans le premier cas, daoud a tort tandis que hamadèche a raison (raison de plus pour ne pas les placer au même niveau). dans le deuxième cas, bensaada a tort en essayant (comme le pouvoir en place) de sortir du « lot » en jouant du démiurge qui ne s’implique pas dans la lutte à mort entre un monde nouveau qui n’arrive pas à naître (celui que défend, peut être, daoud) et un monde ancien qui ne veut pas mourir (celui que défend hamadèche et que défend peut être, sans le proclamer, bensaada). moralité de l’histoire: quand on veut dédicacer un bouquin à alger, on a intérêt à bien brosser dans le sens du poil

    Akaido
    30 juin 2016 - 14 h 10 min

    Les kabyles ils aiment
    Les kabyles ils aiment beaucoup Kamel Daoud pour ses écrits sur l’Algérie, normal car ils considèrent les autorités algériennes comme colonisateur. Moi je trouve cela aberrant, quand on sait que certains d’entre eux disent que leurs terres auraient été confisquée en 1857 par la France et…remis en 1962 à des dictateurs disent-ils.Incroyable, donc cela voudrait tout simplement dire que les autres algériens n’ont pas le droit d’exister et son étranger à la terre d’Algérie? Je ne lis pas Kamel Daoud je préfère les oeuvres de Mohamed Dib.

    allim
    30 juin 2016 - 14 h 06 min

    …la jalousie de Kamel Daoud
    …la jalousie de Kamel Daoud provoque des ravages parmi certains écrivains « canadiens » d’origine arabo…etc… dommage …

    Abou Stroff
    30 juin 2016 - 14 h 00 min

    Ahmed Bensaada, physicien de
    Ahmed Bensaada, physicien de formation et citoyen canadien après avoir été boursier de l’état algérien se métamorphose en critique littéraire! sa thèse est que k daoud est un « néo-colonisé », soit un individu qui aurait perdu son essence originelle (celle sa communauté?) pour adopter l’essence du colonisateur. en fait, le débat auquel nous convie Ahmed Bensaada est tout sauf littéraire. je pense que les propos de l » »auteur » suinte une prise de position politique qui ne dit pas son nom. en effet, en mettant daoud et hamadache (des « extrémistes » qui devraient être combattus avec la même ardeur?) sur le même plan, Ahmed Bensaada adopte le point de vue du pouvoir en place. ce dernier bénéficie du statu quo actuel où le projet de société est INDEFINI et où le dit pouvoir peut jouer à l’arbitre entre les protagonistes de deux projets de société antinomiques. se positionnant comme arbitre, le pouvoir en place peut se permettre tous les dérapages, y compris celui de museler toute voix dissidente ou discordante qu’elle vienne d’ici ou d’ailleurs. moralité de l’histoire: en partant de l’hypothèse que daoud a perdu son âme tandis que lui, Ahmed Bensaada, défend des « constantes nationales » où une « personnalité algérienne » (ne réclame t il pas « Une littérature qui se nourrit de son terroir et qui sert son peuple »?) l’auteur a toutes les cartes en main devant la masse de décérébrés et de déshumanisés que sont devenus beaucoup d’algériens lambda. problème: qui décident de la constance de « nos » constantes nationales et des attributs de la personnalité algérienne? ne sommes nous pas totalement dans le flou artistique?
    PS1: qaunt à l’état de la littérature algérienne., si nous acceptons l’hypothèse que la littérature fait partie de la superstructure idéologique d’une formation sociale, alors une formation sociale qui se reproduit grâce à la distribution de la rente et à la prédation ne peut produire qu’une littérature qui glorifie les rapports sociaux qui supportent cette formation sociale. la preuve? au sein de la société algérienne quasiment, toutes les valeurs sont inversées: le travail est dévalorisé tandis que la prédation est valorisée, l’honnêteté et la droiture sont méprisées tandis que l’hypocrisie et la duplicité sont idolâtré, etc..
    PS2:je critique Ahmed Bensaada, mais je ne défends nullement daoud. cependant, je pense qu’en s’attaquant à daoud, Ahmed Bensaada ne déblaie pas l’arène ( le politique) sur laquelle devrait se dérouler le pugilat, bien au contraire, il se présente en critique littéraire alors qu’il défend, bec et ongles une position politique qu’il serait embarrassé d’afficher.
    PS3 : j’avance des positions tranchées pour déclencher un débat bénéfiques pour tout le monde.

    tangoweb54
    30 juin 2016 - 13 h 57 min

    Cela prouve que ce Kamel
    Cela prouve que ce Kamel Daoud, doute de ses origines, il devrait plutôt s’appeler, Lévi ,Gaston ou Bigeart c’est un arriviste vendu qui renie sa race, il n’est pas digne d’être Algérien, il tire sur tout ce qui est Algérien Arabe ou Musulman, si j’avais le pouvoir je lui retire la nationalité Algérienne.

    Patriot DZ
    30 juin 2016 - 13 h 43 min

    pas étonnant, tout le monde
    pas étonnant, tout le monde sait que Kamel Daoud est le pantin de BHL

    Bison
    30 juin 2016 - 13 h 38 min

    ((« Kamel Daoud considère la
    ((« Kamel Daoud considère la langue arabe comme une langue de colonisation. Certes, cette affirmation peut être discutée dans des cercles savants, mais le chroniqueur ne dit jamais que la langue française est aussi une langue de colonisation. Au contraire, il prétend qu’elle est un «bien vacant», abandonnée en Algérie par les colons français lorsqu’ils quittèrent leur ancienne colonie. »))

    Je pense que c’est ce que, a peu de chose près, pensait Kateb Yacine! A moins que le grand kateb est aussi un neo-colonisé!!

    ((Cette comparaison des langues arabe et française ne s’arrête pas là. Pour lui, la langue arabe est une langue morte «piégée par le sacré, par les idéologies dominantes» ))…..Vous en pensez quoi vous, que c’est pas vrai!?? On se rappelle tous, ya pas si longtemps du tollé soulevé par la simple demande de certain, non d’exclure la langue arabe de l’école mais, de juste d’introduire l’arabe dialectal dans le système scolaire!! Pourtant c’était le bon sens, en plus c’est pas une langue étrangère, quoi de plus naturel que pour les petits d’apprendre dans leur langue maternelle et de leur peuple!! Là on ne remonte pas a l’arabisation a marche forcée de boumedienne et sans aucune étude sérieuse sur l’impact d’un tel acte,… etc!! C’est idéologique ou pas!? Vous etes docteur en physique, vous cherchez en quelle langue et vous avez publié combien d’articles et faite combien de decouvertes scientifiques en langue arabe!!?? Vous enfant parlent-ils au moins l’arabe!!?sinon, A part les soirées , oumssyates al chiirya, et autres poésiades d’ete et cansrantine la capitale de ka culture arabe, des milliards depenses, qui n’ont jamais construit un hôpital ou fait avancer la medecine pour soigner notre fakhamatouhou qui doit se rendre a Paris pour se soigner !!

    (((Et que le français est une langue de liberté, de dissidence et d’imaginaire.)) !!
    En tout les cas vous me semblez plus a laise et plus imaginatif en langue française qu’en arabe!

    Sinon, moi je pense que la majorité pour ne pas dire la totalité des detracteurs de kamel Daoud lui en veulent pour une seule chose, la même que pour boualem Sanssal, ces pseudo lien avec les sioniste, et de pas adhérer ou pas etre sensible suffisamment â notre cause nationales et principal, c’est a dire la cause palestinienne !! Combien de pays arabe et intellectuels arabes entretiennent de bonnes relations avec israël sans qu’on remettent en doute leur patriotisme sans aller jusqu’à les taxer de traitres!! Le Qatar, l’Arabie saoudite, les palestiniens même, morsi l’égyptien avec son fameux « ton ami Fidel » a Perez !!S’est bien connu chez nous, tu peut être le super patriote que la terre d’Algérie n’ait jamais porté si tu es juste un peu tiede avec cette cause a des milliers de kilomètres de nous et bien tout tombe a l’eau et tout est vain!!

    Je sais pas mais j’ai le sentiment, juste un sentiment, que si demain l’Algérie aura besoin des sacrifices de ses enfants Kamel daoud vous devancerait au rendez vous!!sinon en période de paix qu’il choisissent la France ou Oran ou est le problème ! Vous étés bien au Canada !
    Pour finir, albert Memmi, qui vous inspire tant, le franco-tunisien, écrit dans quelle langue, qui es sa langue d’imagination et d’évasion !!
    Neoclonialisme pour neocolonialime , nous sommes tous des neocolonisés de quelqu’un! Chaabou al djazairi mousslimoun wa ila al aorobati yantissib!! C’dst pas suffisant d’etre algerien tout court il faut toujours lui ajouter un haillon, on ne sait jamais!!un peuple qui a su garder et preserver son identiter depuis des siècles malgré les aléas de l’histoire et dans toute sa diversité, tout a coup il devient urgent et on doit le remodeler, le remouler pour en faire.quoi!? ..un rien(un sans identité livré a tous les vents de l’est et d’ouest! A qui l’emporterait)!

    Moh del Fobor
    30 juin 2016 - 13 h 10 min

    Finalement, sans même s’en
    Finalement, sans même s’en rendre compte, l’auteur tombe dans le même piège que celui dont il reproche à Kamed Daoud (Sansal est un autre cas, plus cru, plus troublant, plus clivant) d’être tombé dedans : se taper sur la gueule les uns les autres. Un jour, une jeune collègue française, tout fraîchement sortie de longues études universitaires, qui m’avait accompagné dans mes activités associatives et militantes me déclara qu’elle avait remarqué une chose chez nous, les Algériens : nous sommes toujours contre mais jamais pour. On ne propose rien ou pas grand chose et gare à celui qui propose et défend une idée ou un projet! J’ai réfuté fermement ces propos mais, force à moi, de reconnaître leur justesse au bout d’un certain temps. C’est exactement ce que fait ce monsieur Bensaada: se basant sur une méthodologie et une grille d’analyse d’un étranger, juif français en l’occurrence (du colon et du sioniste, que rêver de mieux?) sans émettre aucun doute sur leur justesse ou leur exactitude, comme parole d’évangile, il dézingue méthodiquement son ancien collègue et son compatriote parce que ce dernier, à son corps défendant, parfois, a été coopté par des gens censés être nos ennemis mais qui deviennent de ce fait, plus sympathique que le fils de l’Algérie. Ces gens dont Bensaada parle, ce CRIF, ce lobby, ces colonialistes inconsolables, ils nous connaissent et, à chaque fois qu’un lumière brillera dans le ciel d’Algérie, ils la coopterons même si c’est juste par les paroles et nous, illico, nous l’excommunierons, faute de pouvoir la lapider, puisqu’elle ne sera plus entre nos mains. Mais comment voulez-vous construire une Nation comme ça?

      El la7fa
      30 juin 2016 - 14 h 01 min

      @Moh del Fobor

      @Moh del Fobor
      hahaha.
      Le CRIF, ce n’est pas celui qui interdit ou autorise écrivains, philosophes, politiques, humoristes… même juifs, bannissement, interdiction, procès, mise au placard… la liste est longue. Du coup , ils ne leur reste que deux philosophes à coopter, Finkelcrotte et Botul.
      Alors dites à votre collègue de balayer devant chez elle avant de raconter n’importe quoi et si elle est borgne, elle doit faire attention a mettre le trou de sa cagoule au bon endroit.

      mokhtar
      30 juin 2016 - 15 h 06 min

      j’ai lu votre contribution
      j’ai lu votre contribution sur le journal Algérie patriotique; j’étais surpris par votre critique acerbe des chroniques de kamel Daoud qui va jusqu’à faire de lui un néo colonisé.
      mais au vu de votre page et en apprenant que vous vivez au Canada j’ai tout compris.
      je vous comprend Monsieur ,vivre si loin transforme tout en rose; revenez et buvez de la tasse pour comprendre notre souffrance,celle de nos concitoyens « néo colonisés » ,

      Anonymous
      1 juillet 2016 - 9 h 24 min

      Totalement d’accord avec vous
      Totalement d’accord avec vous. Tout dépend de quel point de vue on se place. Du point de vue du colonialisme français ou du point de vue du colonialisme arabo-islamique… « L’essentiel c’est de se taper dessus » !

    brobro
    30 juin 2016 - 12 h 56 min

    Kamel daoud est un écrivain
    … sur le plan des idées Kamel Daoud est en avance sur son époque de 50 ans. les vérités qu’il assène font mal,mais il faut bien que quelqu’un les disent. il a eu le courage d’assumer . alors chapeau Kamel daoud.

    Benmessaoud
    30 juin 2016 - 12 h 39 min

    M. Bensaada, Fellag,
    M. Bensaada, Fellag, Abdelkader Secteur et Boukrouh et Sansal, notamment font pire que Daoud. La jalousie rend aveugle, comme la haine de Boudjedra contre Yasmina Khadra. Votre mayonnaise ne prend pas M. le Canadien ! Prière ne pas censurer SVP !

    arris
    30 juin 2016 - 12 h 33 min

    la tolerance de kamel daoud
    la tolerance de kamel daoud est bien orientée ,il tire a boulets rouge sut tout ce qui est arabe et musulmans soit pour regler un compte avec lui meme (traumatisé??)soit pour « plaire  » et attendre les dividendes de ces commandaitaires .comment passer inapercu toute la reaction de ces nombreux intellectuels qui ont denonce l acharnement de kamel daoud a degrader coute que coute l image des musulmans dans le monde , qui ont egelement denonce ces prises de positions a deux vitesses , on ne l a jamais entendu prendre position sur l extreme droite francaise et sa politique de rejet de tout ceux qui ne lui ressemble pas .
    dans son livre de contre enquete de mersault,il decrit les croaynts qui se rendent a la mosquee (ils ont en bien le droit je crois )a des rats
    comme par hassar c est finkelraut et zemmour qui sont les plus fideles defenseurs de cet ecrivaillon

    El la7fa
    30 juin 2016 - 12 h 29 min

    Merci et bravo Mr Ahmed B,
    Merci et bravo Mr Ahmed B, belle plume. Ce n’est qu’un retour à l’envoyeur, espérons que sur cette flèche qui, surement va atteindre cet oiseau sayanim (un Daoud peut cacher un David), reconnaîtra sa plume.
    Dieu merci, nous avons notre propre religion, notre propre langue, pure et non un dérivé du latin.
    Il peut faire ses selles sur le dos de sa maman en pensant la salir, mais qu’i n’oublie pas, qu’il ne fait que salir ses fesses.
    3amarlou foumou yansa émou.

    Anonymous
    30 juin 2016 - 12 h 26 min

    je viens de faire un tour sur
    je viens de faire un tour sur le site de ce personnage. de la pédanterie en veux tu en voilà ! comme il veut briller, il pense qu’il lui suffit de sortir un livre « pamphlétaire » contre un écrivain connu

    Rascasse
    30 juin 2016 - 12 h 26 min

    J’arttenderai la réplique de
    J’arttenderai la réplique de K.Daoud, je ne connais pas Bensaada, son interview reste quand même une « référence patriotique  » mais je me méfierais des pervers narcissiques…

      nassim
      2 juillet 2016 - 12 h 14 min

      une référence patriotique et
      … Nous sommes pas des moutons de panurge; Qu’on aime qu’on aime pas; kamel daoud est une plume académique qui fera du chemin

    Lghoul
    30 juin 2016 - 12 h 09 min

    Comment ne pas avoir la haine
    Comment ne pas avoir la haine de soi quand rien ne marche et rien n’avance et que tout est problematique ?

      Hurrrr
      30 juin 2016 - 12 h 56 min

      Faut-il pour ça se fouettez
      Faut-il pour ça se fouettez ou se suicider?
      Le complexe est une maladie qui se soigne .

        mokhtar
        30 juin 2016 - 15 h 11 min

        il faut commencer par
        il faut commencer par reconnaître monsieur le reconnaître pas passer son temps à fermer ses yeux et celles de ceux qui veulent bien en parler

      Vague De Fond
      30 juin 2016 - 14 h 36 min

      Bien dit, mais certains du
      Bien dit, mais certains du genre de ce Bensaada, ne veulent pas qu’on parle de  »rien ne marche et rien n’avance ».

    abrid
    30 juin 2016 - 12 h 01 min

    Quoi qu´on en dise , Daoud
    ….kamel ne fait que reprendre tout haut ce que beaucoup d´algeriens pensent tout bas , c´est à dire révoltés par ce que leur pays est devenu ; sale et corrompu ….quant au peuple il n´ya qu´à voir ce qu´on était dans les années 1970 et ce qu´on est devenu….quand des medecins vous prescrivent à leurs malades des rokia…ou que les toilettes publiques sont transformées en kiosques ….enfin je prefere ne pas en rajouter….y a de quoi degueuler par jets incessants et repetitifs …. hacha essamiine!

      Moh del Fobor
      30 juin 2016 - 12 h 44 min

      Je suis entièrement d’accord
      Je suis entièrement d’accord avec vous. Comment rester impassible et ne pas se révolter contre ce qu’on a fait de l’Algérie et des Algériens.

    Kouidri Saadeddine
    30 juin 2016 - 11 h 53 min

    La question posée par
    La question posée par Bensaada dans sa dernière réponse « Pourquoi des pays occidentaux ou moyen-orientaux doivent-ils décider pour nous de la valeur littéraire de nos auteurs » Il faut dans ce cas rappeler à M.Bensaada que son ancien collègue au Quotidien d’Oran a reçu en 2008 pour son livre « La préface du nègre » le prix Mohamed Dib en sus de la reconnaissance de ses lecteurs Se référer ici à l’étranger ne relèverait-il pas du néocolonisé pour M.Bensaada. Dans sa question lui le scientifique ne mentionne pas la valeur scientifique mais seulement la valeur littéraire. Encore un autre remugle du colonisé. Quand on est contre la critique de sa propre société, ici l’Algérie, par ses propres enfants, c’est qu’on est pour le statu quo qui n’arrange que les régressions. Sinon pourquoi s’apercevoir des défauts d’un collègue seulement après que d’autres, étrangers de sur quoi lui reconnaissent sa valeur littéraire ?

      Mohamed
      30 juin 2016 - 13 h 30 min

      Bravo! Je suis entièrement d
      Bravo! Je suis entièrement d’accord avec vous!

      Mokhtar
      30 juin 2016 - 15 h 15 min

      Bien vu tu a débusqué le néo
      Bien vu tu a débusqué le néo colonisé qui somnole dans ce Canadien.

    Redouane
    30 juin 2016 - 11 h 42 min

    C’est pour cela qu’on n
    C’est pour cela qu’on n’avancera jamais. Dés qu’un écrivain courageux critique les tabous et les failles de notre société bigote et hypocrite pour se mettre en question et de ce fait améliorer notre vision des choses, il se trouve evidemment toujours quelqu’ un pour le rabaisser et l’insulter.
    Alors , restons médiocres !

    Anonymous
    30 juin 2016 - 11 h 40 min

    tout un livre pour se baser
    tout un livre pour se baser sur ce que pensent X memmi et Y greish , et Z finfelk,, ???? sur le néo colonisé ;il s’agit de la défense d’une cause perdue d’avance ; une lutte d’idéologies différentes et inconciliables ;
    est ce si dur d’écrire sue l’échec de la gouvernance du pays ?si la possibilité d’écrire librement sans risques était donné à cet écrivain et si ses travaux ont été soutenus médiatiquement chez lui ,il ne serait pas allé chez le colonisateur ;
    en plus qui est en mesure d’assurer sa sécurité dans son pays lui qui a fait l’objet d’une fatwa franche pour exécuter sa condamnation?
    il faut savoir garder raison , on ne maintient pas éternellement un peuple dans cette nouvelle forme de colonialisme sans qu’il y ait des réaction adaptées ;
    le niveau intellectuel de cet écrivain de talent est MONDIALEMENT reconnu pas seulement par Fafa et « l’entité sioniste »

    Arezki
    30 juin 2016 - 11 h 18 min

    Kamel Daoud fait parti de ces
    Kamel Daoud fait parti de ces grands écrivains annimé d’une grande liberté d’esprit.
    Quand il parle de toutes les tares générées par l’islamo-arabisme, il sait de quoi il parle: il était en effet imam de son lycée et prenanit le chemin de l’islamisme. Et ça c’est la production de l’école « algérienne » squatée par le fondamentalisme arabo-musulmun. Hélas peu de gens comme Kamel Daoud arrivent à s’en sortir, et ceux qui s’en sortent ne passent pas d’un extrémisme à un autre comme le dit Ahmed Bensaada ! Ils retrouvent tout simplement leur liberté de penser. On peut être d’accord ou pas avec Kamel Daoud mais une chose est certaine: il appelle un chat un chat !
    Kamel Daoud n’a eu sa renommée mondiale que par son travail et surtout son courage.
    Le livre de Ahmed Bensaada aura sans doute un certain succès car dans le titre il y a « Kamel Daoud » …

      Abou Kalypse
      30 juin 2016 - 14 h 07 min

      Et le livre de Kamel Daoud a
      Et le livre de Kamel Daoud a eu beaucoup de succès car dans le titre il y’a Meursault…

      Hurrrr
      30 juin 2016 - 15 h 17 min

      Grand écrivain ? J appel ça
      Grand écrivain ? J appel ça un opportuniste ! Un grand écrivain c est celui qui met en valeur sa culture et ses semblables ,pas celui qui crache sur la mamelle qui la nourit ! Faut-il être un sado- maso pour être grand écrivain ???
      Kamel Daoud ,je le met pas sur le même panier mais bon il est sur la voie de Sansal qui pour exister s’est mis à vomir sur ces congénères ! Comme d’autres faut-il être dans le déni de sa culture et de ses semblables pour être grand ???
      La grandeur se mesure sur un combat et non sur une soumission !
      Non monsieur n’est pas grand qui veut ….

    fakou
    30 juin 2016 - 11 h 05 min

    en Algérie il y a deux
    en Algérie il y a deux faunes d’écrivains exécrables .. les uns écrivent généralement en Français ( pas Kamel Daoud) roulent pour le lobby juif de France pour espérer avoir « une chance « éditoriale  » à Paris , donc il écrivent en fonction de ce besoin et confortant le judaïsme et la moindre proximité judaïque avec l’Algérie et les berbères , ce genre d’écrivain dénoncent le Sémitisme abominable des arabo-islamistes ce qui est de bonne augure mais ferment les yeux ou glorifient le non moins misérable et abominable Sémitisme des juifs et de leur idéologie religieuse raciste religion raciste .Etant écrivains ils devaient savoir que les deux idéologies théologiques et impériales dans leur passé et dans leur présent , arabo-islamique et judeo-sioniste sont de la même nature , de la même origine, de la même essence raciste et tribale et de la même prétention criminelle à l’universalité de leur domination et du déni de l’Autre et des Autres … Le deuxièmes collège d’écrivains généralement en langue arabe , mais quelque uns écrivent aussi en français , sont ce que l’on pourrait appeler les écrivains Mawalis , ceux qui se sont donné pour vocation et pour carrière de mentir sur la vraie histoire criminelle de la conquête arabe , ceux qui dénient à l’Algérie et aux pays du Maghreb de revendiquer leur identité et leur origine , ceux qui ont été derrière toute la propagande qui a encouragé les hordes wahabistes et les milices des frères musulmans égyptiens à faire de la terre algérienne une terre Siba et de ce pays une Sabaya et de sa conscience une Djaria .. ces écrivains hypocritement font de la surenchère contre les juifs mais juste pour accuser le berbère de la moindre liberté de ton (comme dans le cas des attaques contre Kamel Daoud et d’autres ) mais dans le fond ils reprennent à leur compte toute la mythologie sémitique biblique et mensongère de pacotille du juif et de l’Hébreu pour tromper le berbère et lui laver le cerveau .Comme écrivains de fanfaronnades comme leur mentalité de Mawali et leur langue et leur langage les y conforte et les y engage , vous les trouvez se gargariser de bouffonnes harangues contre Israël , la France , « El Gharb » , les juifs , l’Occident et toutes leurs bouffonneries, de mensonges et de grimaces .. Mais ce n’est que littérature de forain , de cirques et de foires . ils se taisent et ne disent mots sur les alliances des arabes -islamistes : jordaniens , égyptiens , saoudiens , qatariens , émiratis , turcs etc;; avec l’entité sioniste , ni la complicité arbe , juive et Occidentale dans plusieurs crimes dans le monde ; ni l’aide et la complicité qu’apportent Israel la France et les USA , au royaume de la charia et du « Haramaine » la patrie sacrée des Mawalis algériens l’Arabie pour tuer les peuples arabes et menacer les perses … les juifs sont les cousins des arabes et les écrivains algériens sont devenus dans ces deux cas des courtiers , des Samsars et des racoleurs …

    Anonymous
    30 juin 2016 - 11 h 04 min

    j’ai lu l’interview au
    j’ai lu l’interview au complet et comme je ne suis pas un féru de littérature j’ai demandé à Google de me renseigner sur Ahmed Bensaada. le gus a étudié la physique… je me pose un certain nombre de questions, dont, entre autres:

    Ahmed Bensaada place k daoud et hamadache sur le même plan. n’est ce pas exactement la tactique du pouvoir en place qui veut jouer le rôle d’arbitre entre les protagonistes de deux projets de société irréconciliables?
    quant à la situation de la culture et de la littérature algérienne (en supposant qu’une société dont la « reproduction » repose sur la distribution de la rente et sur la prédation puisse générer autre chose que la culture du tube digestif ambulant qui passe son temps à déféquer après avoir été gavé), ne faudrait il pas, pour porter un jugement quelconque, vivre au sein de la société qui les enfante?
    enfin, comment peut on se nourrir de son terroir (une entité a-historique?) et servir son peuple infantilisé et réduit à un ensemble de tubes digestifs ambulants quand on vit la belle vie au canada, endroit qui ressemble étrangement au paradis des musulmans, entre autres?

      Abou Stroff
      30 juin 2016 - 11 h 13 min

      erratum: le texte ci dessus (
      erratum: le texte ci dessus ( Anonymous (non vérifié) 30 Jun 2016 – 12:04
      est signé Abou Stroff

      Didou
      30 juin 2016 - 12 h 00 min

      Toi l’anonyme, je crois
      Toi l’anonyme, je crois comprendre que tu es du même bord que ce Kamel Daoud. Le peuple algérien dans sa majorité, a exclu de ses rangs, depuis longtemps, les renégats que sont Sansal, Mehenni et ton cher Kamel Daoud.

    Djaffar
    30 juin 2016 - 10 h 17 min

    Kamel Daoud a déclaré
    Kamel Daoud a déclaré dernièrement qu’il était d’origine berbère Marocain.
    Berbère ou Marocain ça passe bien en France, surtout pas Algérien !

    TheBraiN
    30 juin 2016 - 10 h 07 min

    Un néo colonisé doublé d’un
    Un néo colonisé doublé d’un « inconscient » arabe de service ou des « qualités » nécessaires pour se faire « adopter » par l’establishment sioniste Français .
    M’ K.Daoud a vendu son âme pour quelques Euros ,une carte de séjour voire un passeport rouge!
    Grand bien lui fasse !

      New kid
      30 juin 2016 - 14 h 55 min

      Comme ton drabki de Zi 3ammar
      Comme ton drabki de Zi 3ammar fi barize

        homme libre
        1 juillet 2016 - 2 h 27 min

        Vous savez ou sont le néo
        Vous savez ou sont le néo colonisés c’est tous les invertébrés dont l’horloge s’est arrêtée au quatorzième siècle et qui à défaut de fournir l’effort d’être fiers de leurs origines sud méditerranéennes et nord africaines s’accrochent à un monde, qui les ne les accepte même pas d’ailleurs et qui frustrés mais fiers faussement n’acceptent pas d’avoir raté le siècle des lumières et tous le génie technologique mondial qu’ils n’arrivent toujours pas à reproduire d’ailleurs……Dieu a béni l’être humain  » wa karamna bani Adem » et l’Algérien n’a pas à rougir de la France…nous avons gagné la guerre..le complexe c’est plutôt une certaine France nostalgique qui le ressent…quant à la langue française c’est Un butin de guerre pour paraphraser un des génies de notre culture Et un patrimoine universel..faisons en une 3eme langue officielle …à nous l’Afrique… La technologie… Et franchement n’est ce pas une très belle langue….question : le Brésil rougit-il du Portugal et les USA de la GB…arrêtons l’hypocrisie… Kamel daoud vous renvoie seule votre réalité et ne veut pas que vous vous mentiez.. Kamel Daoud Se sent je crois juste obligé de dire la vérité à une certaine population qui n’est pas prêtes à l’entendre… A bon entendeur salut

          TheBraiN
          2 juillet 2016 - 10 h 10 min

          C’est quoi ce nouveau
          C’est quoi ce nouveau barbarisme généalogique « origines sud-méditerranéennes » ???
          En parlant de nouveau , je plaisantais car cette expression n’est pas si innocente que ça et renvoie à une identité berbéro-judaique .
          J’ose espérer que vous l’ignorez et que vous avez innocemment essayé de nous vanter votre vision identitaire .
          Autre chose , les Brésiliens avaient adopté le Portugal car , tout simplement, ils n’avaient pas de langue (mais des dialectes indigènes) un peu comme les Nord-Africains qui avaient adopté la langue arabe parce qu’ils n’avaient pas de langue (mais des dialectes indigènes ).
          Pour les USA il y avait aussi le fait que la majorité des envahisseurs-occupants étaient britanniques .
          Enfin , pour conclure, Kamel Daoud ne renvoie pas notre réalité mais dessine une piteuse image de l’arabe indigène qui avait mérité qu’on lui interdise les plages « Européennes » d’Algérie à lui et aux chiens .

          Ah j’oubliais , pour la technologie , je ne pense pas que le Niger ait effectué un énième essai nucléaire ou que le Cameroun ait trouvé la formule anti-SIDA avec la langue Française .

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