Le commentaire d’un ex-soldat de l’armée française sur Ahmed Bencherif

Boumemediene Bencherif
Le colonel Bencherif (à gauche) avec Boumediene et Chaâbani. D. R.

Par Kamel M. – Un ancien soldat de l’armée coloniale a réagi sur les colonnes d’Algeriepatriotique à la mort du colonel Ahmed Bencherif. Le soldat, qui était dans la même caserne que le moudjahid décédé récemment, a posté un commentaire acerbe envers le déserteur de l’armée française qui, se rappelle-t-il, «le jour de sa désertion, le 27 juillet 1957, a égorgé la moitié de ma section, tout mon groupe, dont six appelés».

Cet ancien soldat de l’armée coloniale, pour qui l’indépendance de l’Algérie est restée en travers de la gorge, cite les noms de ses camarades passés au coutelas par Ahmed Bencherif avant de rejoindre la lutte armée. Une dizaine de harkis avaient subi le même sort, ajoute ce soldat qui a gardé l’anonymat.

«Il n’a eu aucun sentiment, aucune pitié», commente le soldat français qui, comble du sarcasme, qualifie le moudjahid Ahmed Bencherif de «criminel de guerre», pendant que l’armée française massacrait les populations algériennes et pillait les richesses du pays que la France occupait illégalement.

Dans un document historique repris par Algeriepatriotique, une correspondance secrète entre les ministres des Affaires étrangères britannique et français révèle les véritables visées de la France coloniale en Algérie. Selon Lord Aberdeen, Londres avait des doutes sur les véritables desseins des Français que les Britanniques soupçonnaient de vouloir «exterminer» les populations autochtones. Cette nouvelle révélation explique les massacres que la France coloniale n’a cessé de commettre depuis l’invasion de Sidi-Fredj en 1832 jusqu’à la fin de la colonisation, près d’un siècle et demi plus tard.

Le commentaire du soldat français prouve, par ailleurs, le rôle important joué par les déserteurs de l’armée française qui ont apporté leur expérience du combat et de l’organisation militaire à la Révolution de Novembre et ont permis à l’ALN de renforcer ses rangs en soldats expérimentés dont un grand nombre occuperont des postes de commandement.

K. M.

Comment (36)

    salim
    23 avril 2020 - 15 h 22 min

    Dans un livre écrit par un ancien capitaine de l’ Armée française citait ceci

    En 1956 Le caporal chef Ahmed Bencherif nous accompagnait dans un hélicoptère pour nous indiquer les habitations dans les douars ou se cachaient les fellagha pour les mitrailler

    Anonyme
    11 août 2018 - 13 h 44 min

    Designé chef de la wilaya 4 historique ca me fait rire au depend de ses lions entre autre le colonel medecin youcef el khatib c’est une tout autre histoire les vrais combatant de l’interieur qui ont etés liquidés un a un un plan machiavelique contocter par la france et l’etat major des frontiere

    Amcum
    11 août 2018 - 2 h 55 min

    Je vois sur la photo qu’il a de grosses joues et il est souriant, un sourire qui savoure le plaisir d’atteindre le pouvoir sur les cadavres de millions d’Algériens morts pour la liberté, notre liberté… Il est tellement gros qu’on a l’impression qu’il avait fait la guerre dans le réfectoire… Quand à ceux qui nous racontent des histoires à dormir debout qu’ils étaient condamnés à mort puis s’étaient évadés, hhhh ça ne se passait pas comme ça. On ne s’évadait pas des prisons coloniales. Le condamné avait deux choix et seulement deux choix: avouer ou mourir.

    Malti
    9 août 2018 - 10 h 27 min

    C’était un DAF comme mon pére et il fut sont ami. Mon pere a deserté en 1954 comme Boudiaf dont il était l’ami aussi. Mon pere fut condamné à mort mais s’est sauvé avec Boudebza de la prison de Mostaganem(voir écho d’Oran 1956). Il nous a rendu service meme en ayant rejoind le clan de Oujda qui apres l’assassinat de Krim Belkacem à Frankfort, ce clan est devenu definitivement fort jusquà nos jours. J’ai decouvert un jour que mon pere bien qu’ayant deux fois été condamné à mort et j’ai en ma possession les procés verbaux du tribunal de Mostaganem, j’ai decouvert qu’il a été moussabil seulement dans les dossiers du ministyere des moudjahidines. Nous avons porté plainte contre les fonctionnaires de ce ministere qui ont reçu une rachoua pour nous salir, eux que mon pere alors militaire en 1962. En Oranie, les harkas ont tous été epargné et maintenant leur progeniture s’attaque aux descendants des vrais moudjahidine en corrompant les fonctionnaire du ministere des moudjahidine. Je suis parti les accuser face à face pour leur demander comment un homme qui avait rejoint les rang de l’ALN dés le début de la revolution se retrouve en 2 eme catégorie comme moussabil alors qu’il etait chef de la zone6, deux fois condamné à mort. Il echapa à la premiere condamnation apres une evasion avec Boudbza et les journaux de l’epoque en parlent. Comment un chef qui a entrainé Mandela en 1961 et des hommes qui avaient chassé tous les colons de l’ouest qui avec l’aide’ de l’OAS et l’OTAN voulaient jouer aux prolongation se retrouvent avec une mention moussabil. Il faut dire que le clan de Oujda s’est beaucoup attaqué à mon pere et pour ne rien arranger ce sont les harkis et fils de harkis que mon pere avait arreté pour normalement leur demander des comptes et au lieux de cela ils les a relaché pour ne pas commettre des crimes de guerre, ce sont ceux là dont le pere harki notoire qui ont glissé la piece comme ils disent à des fonctionnaires pour fausser notre histoire. J’ai demander un nom à une place ou une avenue portant le nom de mon pere, ce n’est pas encore fait pendant que les rues d’Oran commencent à porter des nom de harki que mon pere avait épargné. Je pense que l’algerois et la kabylie ont bien fait de n’epargner aucun harki.
    Il faut que les responsables des ministeres sachent ce que font leurs collaborateurs. Certains sont capable de vendre le pays entier pour quelques euros. Il faut informatiser toutes les administrations pour savoir qui fait quoi, comment et quand. Si non tous les abus sont possible puisqu’il ne peut y avoir de sanction si on ne peut pas remonter à l’auteur des mefaits. Si on ne trace pas toutes les transactions administratives, demains certains fonctionnaires corrompu nous vendront au Maroc. Je signale aussi que la maison de mes grand parents a été plastiquée deux fois par l’OAS. Ils appelaient ça la maison du chef de l’ALN et ils ont meme tué plusieurs personnes qui dormaient et furent tués dans leur sommeil en mars 1962. Apres cette date, l’OAS commença à se sauver vers l’Espagne et plusieurs bateaux qui servirent pour rapatrier les pieds noirs. Oran était leurs capitales. Apres cela, ils disent qu’ils n’etaient que moussabil alors que c’est lui qui signait les droit de passage. C’est lui et ses hommes qui avaient chassé les colon de Temouchent et de Mascara. Ils ner voulaient pas partir. Bencherif nous a beaucoup aidé apres. Il etait certes brute et ne discutait jamais quand il s’agissait des pieds noirs et des harkis. Ce fut une piece maitresse dans les dernieres heures de la decolonisation. Les dernieres heures de la colonisations furent plus dure que la guerre de liberation car l’OAS, financé par l’OTAN, avait donné le feu vert pour assassiner De Gaulle et reprendre les armes.

      Anonyme
      9 août 2018 - 20 h 12 min

      D’ou tiens-tu que Boudiaf a déserté de l’armée française avec ton père ? Boudiaf comme tous les algériens qui étaient astreint à passer le service militaire ou a faire carrière dans l’armée. Adjudant dans l’armée française en 1942 pendant la Seconde Guerre mondiale, il est commis au service des contributions à Djileli, puis est envoyé sur le front en Italie où il participa à la bataille de Monte Cassino, en meme temps que Ahmed ben bella, ainsi que Krim Belkacem qui était caporal, Larbi Ben M’Hidi qui était sergent et Rabah Bitat. Après les massacres de Sétif de 1945, il s’engage dans les mouvements nationalistes algériens, et adhère au Parti du peuple algérien (PPA) de Messali Hadj, puis participe à la création de l’Organisation spéciale (OS), branche armée secrète du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD)1. Vers la fin de 1947, il en constitue une cellule pour le département de Constantine. L’OS est démantelée par la police française en 1950, et avec les autres membres dirigeants de l’organisation, il est jugé et condamné par contumace pour ses activités militantes. En 1952, il est muté en France par le MTLD où il milite au sein de la communauté immigrée algérienne.

        Anonyme
        14 août 2018 - 22 h 53 min

        Un DAF est un deserteur de l’armé française. Tout le probleme c’est quand il a deserté. A l’aube de la revolution ? ou à sa fin sentant le vent tourner ? Ils etaient tous des DAF. Krim, Boudiaf, Benbella et d’autres fondateurs de la révolution. Leur expérience dans l’armée française a fait qu’il sachent manier les armes et mener les hommes au combat. C’était ça la vraie clef de la réussite. Prendre des hommes de terrain pour former des jounouds capables capable de se battre et organiser des combats. Sans les DAF, aucun combat n’aurait pu être bien mené. Il faut rendre à César ce qui appartient à César.

    El Houari
    9 août 2018 - 4 h 44 min

    Cent trente deux de lutte et de souffrance;un quart de la population sacrifier; la majorité des survivants traumatisé;pour un résultat pire;ou nous sommes nous; un pouvoir confisqué et corrompus;des dirigeants venant de nul part attirés par les richesses du pays;des harkis responsables

    bedraham
    8 août 2018 - 23 h 06 min

    cette histoire d’evasion, meme dans le film les 12 salopards ne s’est pas produite, infiltration possible etant donne qu’il a executer tous les officiers et djounoud qui connaissaient son passe douteux et qui s’etaient opposes aux cabranates franca dans l’encadrement militaire un pacte que De Gaulle avait passe avec le futurs chefs de l’Algerie et apres que ces derniers ont reussi leur putch et renverser le GPRA. ce que le peuple subit acctuellement c’est le grand derrapage du 19 mars 1962 une usurpation du nationalisme Algerien et de l’integrite militantisme.

    Rayés Al Bahriya
    8 août 2018 - 22 h 47 min

    Feu Colonel Chabani Allah yarhamou…

    Il lui cachait à sa gueule lors de son procès de
    Condamnation à mort lancé contre lui par Ben Bella…

    Feu Chabani lança cette boutade au ben shérif :
     » Ibnou Baris ( paris ) Youhinou Ibnou Badis « …

    Un jugement de l’histoire, implacable et sans appel…

    Anonyme
    8 août 2018 - 21 h 20 min

    je sais que nacer est resté en travers de la gorges des résidus de frança….Mais ceci est une autre histoire…Quant à Ahmed ben bella et boumedienne ils font partie, comme ahmed bencherif des hommes qu’on ne peut critiquer qu’une fois qu’ils sont morts….Et la critique mensongère des morts est le propre des lâches…

    Anonyme
    8 août 2018 - 19 h 13 min

    il déserte le 1er régiment de tirailleurs algériens pour rejoindre l’ALN (Armée de Libération Nationale), avec une partie de sa compagnie dans la région de Sour-El-Ghozlane (ex-Aumale).

    Après avoir combattu en Wilaya IV historique (Algérois), il se rend à la frontière algéro-tunisienne où, pendant deux ans, il se consacre à la formation de djounouds. Membre du CNRA (Conseil National de la Révolution Algérienne) en janvier 1960, il est nommé à la tête de la Wilaya IV en juillet de la même année. S’il réussit à franchir la ligne Morice (barrage électrifiée le long de la frontière entre la Tunisie et l’Algérie) et à rejoindre le PC de la Wilaya IV, il est rapidement capturé le 28 octobre 1960. Une décision de Paris l’arrache à la justice militaire et l’expédie en France où il sera jugé, condamné à mort et emprisonné jusqu’à la fin de la guerre. Gracié, il est libéré en avril 1962 et part à Genève où il achève son récit-témoignage ‘’L’Aurore des mechtas’’ puis rejoint l’Etat-Major général de Houari Boumedienne qui le rétablit dans ses fonctions de chef de la Wilaya algéroise.

    En septembre 1962, l’Exécutif Provisoire le place à la tête du Commandement de la Gendarmerie Nationale. Il sera maintenu à ce poste pendant quinze ans sans interruption jusqu’au 21 avril 1977, date à laquelle il est nommé Ministre de l’Environnement, de la Bonification des Terres et de l’Hydraulique. Membre du Comité central du FLN en avril 1964, le colonel Benchérif participe au coup d’Etat du 19 juin 1965 et est Membre du Conseil de la Révolution (comprenant 26) de 1965 à 1978. Membre du bureau politique du FLN en février 1979, il est écarté le 29 juin 1980, exclu du Comité Central le 20 juin 1981, puis réintégré en 1989.

      Anonyme
      8 août 2018 - 20 h 05 min

      pourquoi a-t’il été condamné à mort par la france? Pour sa désertion et vol d’armés et munitions, pour trahison de l’armée française dans laquelle il était engagé ou pour avoir tué ses compagnons d’armes ? On ne sait pas …..

    Unpatriotetahsah
    8 août 2018 - 16 h 43 min

    C’est un lâche traite tout ce qu’on veux il et entre les mains de dieu,y’a de plut grands criminels qui ont tuer et vendu leurs frères qui son encore au commande chez nous dieu et témoin de tout ils pensent qu’ils vont échappé à leurs crimes et trahisons ils ce trompe ke dernier souffle seras fatal piur eux…

    Crime et Trahison
    8 août 2018 - 14 h 43 min

    L’affaire Bencherif a été montée par les services de renseignements de l’armée française qui l’avaient chargée de la mission d’infiltrer l’ALN et de supprimer ses principaux chefs. Cette désertion, qui n’en était pas une, ne s’est pas faite sur les corps des prétendues victimes françaises ou harkies, c’était pour camoufler et rendre sa prétendue fugue encore plus plausible. Le dernier des agents de la SM algérienne sait tout cela. Bencherif avait une haine féroce des officiers et chefs authentiques de l’ALN et c’est après sa « désertion » que la plupart ont été donnés et liquidés au cours d’embuscades par l’armée française. A l’indépendance, il était, naturellement, dans le groupe d’Oujda que De Gaulle avait créé pour prendre le relais de son armée coloniale ; tout le monde connaît la suite jusqu’à la faillite actuelle. Bencherif, en plus d’avoir exécuté lâchement Chaabani, a étranglé de ses propres mains et au fil de fer deux colonels de l’ALN qui avaient les mains liés derrière le dos. S’il avait déserté et assassiné autant de soldats français, croyez-vous qu’il lui eût possible, à l’indépendance, de se balader librement à Paris et d’y mourir? La France aurait mis sa tête à prix et l’aurait jugé pour désertion, haute trahison et crimes de guerre. L’histoire de Bencherif est une supercherie dont l’Algérie authentique a fait les frais.

      Anonyme
      8 août 2018 - 17 h 55 min

      vous etes en train de divaguer

      Anonyme
      8 août 2018 - 19 h 04 min

      D’ou tu tiens tous tes mensonges?Serais-tu plus patriote et plus nationaliste que houari Boumedienne ou Ahmed Ben bella qui ont l’ont intronisé Hef de la gendarmerie nationale ? Sais-tu que la gendarmerie nationale est le corps constitué le plus propre de toutes les institutions de sécurité de l’Algérie…As-tu jamais entendu parler d’un officier supérieur de la gendarmerie qui serait melée à une quelconque affaire de corruption ?

        Bouzorane
        8 août 2018 - 20 h 30 min

        @Anonyme 8 août 2018 – 19 h 04 min
        2 larbins de nacer que tu qualifie de « nationalistes »!!!
        Elle bonne ta blague!

    khaled
    8 août 2018 - 14 h 33 min

    est ce qu’il est vrai ce mensonge .c’est un sanguinaire oui mais beaucoup plus contre ses frères c’est une perte pour sa famille certes mais pas pour l’Algérie .allah yarham echouhada sans plus

    Yeoman
    8 août 2018 - 14 h 23 min

    Je vais oser une petite méchanceté: j’ai l’impression que par le passé, et malgré les privatisations, les algériens avaient le regard plus intelligent et un port de tête plus élégant et plus digne. Ils s’habillaient aussi très simplement et avec les moyens de bord, mais ils donnaient l’impression de porter beau. De nos jours, et malgré la relative abondance matérielle, nous avons toujours l’air abattus, la mine défaite, le regard vide, le cou gras, la figure mal rasée et renfrognée …

      MELLO
      8 août 2018 - 20 h 13 min

      La rue Algerienne est triste , depuis les années 80 , l’Algerien s’est enlaidi, se rase mal, s’habille mal et l’élégance est partie. Pourquoi ? La majorité etant la classe ouvriere ajoutée aux sans emploi. La classe moyenne ainsi qu’une partie de l’élite se mettent au niveau plus bas afin de ne pas montrer des signes d’aisance. Aujourd’hui, l’Algerien a perdu sa « classe » surtout apres l’intronisation de ce phénomène islamiste.

        Anonyme
        9 août 2018 - 17 h 12 min

        L’algerien a été abruti par les psychotropes et la chira depuis que les seigneurs de la guerre qui ont le pris le pouvoir dans les années de sang ont cru intelligent de faire rentrer massivement la zetla marocaine pour soit disant détourner la jeunesse de l’islam politique….Le commerce devenant juteux et impuni une génération de jeunes algériens a grandi avec la drogue dans les écoles et les CEM….Maintenant que plusieurs centaines de milliers de jeunes se shootent au quotidien il est trop tard pour endiguer le phénomène……

      Yeoman
      8 août 2018 - 21 h 25 min

      Je voulais écrire PRIVATIONS, bien sûr, mais mon ordinateur se croit plus mal que le pauvre humain que je suis. Tu as raison MELLO, c’est depuis les années 80 que l’algérien s’est mis à perdre de son élégance.

    Felfel Har
    8 août 2018 - 13 h 53 min

    Ceux qui ont combattu pendant la guerre de libération nationale ont certes droit à notre reconnaissance puisqu’ils ont contribué à libérer le pays. Cependant, cette participation, à quelque titre que ce soit, leur donne-t-elle des droits pour tailler en pièces le pays, s’approprier un patrimoine immobilier laissé par les colons, se doter de privilèges dont celui de vivre impunément au-dessus des lois, bref remplacer dans leur comportement les colons? Que dire de ceux qui , dés 1962, se sont attelés à confisquer le pouvoir au peuple en le martyrisant et en éliminant physiquement tous ceux qu’ils considéraient comme gênants ou en les exilant? Heureusement qu’il y a d’authentiques patriotes qui ne se sont pas laissés happer par la folie du pouvoir, des passe-droits, de l’argent. Hélas, ils sont une minorité, et ce sont eux qui méritent notre respect et quand ils nous quittent, nous nous faisons un devoir de les honorer. Gloire éternelle à nos valeureux compatriotes qui sont restés propres et honnêtes!

    Moskosdz
    8 août 2018 - 13 h 51 min

    Ce soldat Français anonyme nous a éclairé encore mieux qui était derrière les criminels du FIS dont certains ont fait autant que Benchérif.

    khalilsadek
    8 août 2018 - 13 h 14 min

    Le colonel Bencherif etait un SOLDAT de l’armée de liberation national, qu’importe la maniere dont il a usé pour mettre hors d’état de nuir les SOLDATS de son ennemi , donc il n’est pas un criminel de guerre, ce qu’il a fait est insignifiant comparativemet aux ATROCITES de l’armée Francaise, la preuve, ce monsieur a gardé l’anonimat par honte, nous le remercions quand meme de ce temoignage utile.
    Comme le colonel bencherif ils y’en a beaucoups, je pense qu’il faut garder ce temoignage comme une PIECE A CONVICTION pour fermer le Bec a ceux qui parlent des officers de l’ALN issues de l’Armée Française (Dhoubat França) qui ont encadrés, puis confectionnés, façonnés et modernisés notre ANP.

    le niveau
    8 août 2018 - 12 h 53 min

    donc l’orsqu’il est mort ont sort les sujet !! fallait le dire avant sa mort

    Cheikh Hamdane
    8 août 2018 - 11 h 43 min

    Les algériens ne contestent pas le passé patriotique de Bencherif. Personnellement je l’ai remarqué à Oujda en 1962 collé à Boumediene même au réfectoire de la base, et jusqu’à Alger l’opportunisme de Bencherif quant il était à la tête de la gendarmerie Oui. et même les dernières années avant son décès quant il a bloqué l’entrée du tribunal par son véhicule ! Il s’est montré au dessus de la loi! être patriote en temps de révolution est un fait, mais devenir opportuniste et égoïste en temps d’indépendance est une autre chose.
    Le commandant Hafrad Bilal, ancien formateur de l’ALN, connait des choses sur le sujet.. Bilal comme beaucoup d’autres à fait partie de l’armée des frontières mais MARGINALISES après l’indépendance. en 1962 il n’avait aucun clan mais chacun courait derrière le pouvoir.

    Anonyme
    8 août 2018 - 11 h 31 min

    je me rappelle avoir lu dans les premières années de l’indépendance un lire écrit par ahmed Benherif intitulé « l’aurore des mechtas » dans lequel il parle de sa désertion en compagnie de plusieurs autres déserteurs dont il était le chef et surtout du pillage de l’armurerie. Il leur a fallut plusieurs bêtes de somme pour transporter les armes et les munitions vers les djebels et rejoindre les gars de l’ALN…. Je ne sais pas s’il parle de soldats qu’ils aurait tué..

    Delire
    8 août 2018 - 11 h 05 min

    Sérieux il delire se type , voilà comment brouillée les piste , les soldat français eux mêmes sont dans le flou , Lacoste travailler sur l’État de chaque soldat aussi minutieusement que possible , et pour sa les militaire ne se reconnaissent pas entre eux , le seule point commun c le drapeau , faut pas le trahir jusqu’à la fin , la fin de ses dernier vous la connaissez tous , tous morts en france

    Lyes Oukane
    8 août 2018 - 10 h 49 min

    Bonjour , chacun aura corrigé la coquille suivante . le débarquement de la horde coloniale sur notre territoire a commencé le 14 juin 1830 et non en 1832 .

    Quant au commentaire du soldat colonial ,comment dire ? je suis heureux de l’entendre encore geindre. Cela prouve que l’élimination de ses compagnons de caserne par le moudjahid Ahmed Bencherif ( Allah irahmou ) le ronge jour et nuit ,depuis 61 ans , comme une maladie incurable . Avec ,en bonus ,l’égorgement de dix harkis … je prends mon pied . Au bowling on appelle ça un strike ( faire tomber toutes les quilles d’un seul coup ) . Feu Bencherif ,une quinzaine de tués et autant de traumatisés à vie à toi tout seul et avec une seule boule ,t’es un as !

    Air Dz (Kabyle)
    8 août 2018 - 10 h 42 min

    Culotté cet ancien soldat français. Non mais sérieux, comme dirait al gore dans south park : il est serieuxeee ???!!!!! Il voyait qu’on allait leur offrir des roses!!! MDR…. Qu’est qu’ils ont à la place du cerveau!!!!???? Allah yerham chouhada. Et wantoutri viva l’Algéré ….

    Borfayor Lewwel
    8 août 2018 - 10 h 40 min

    Je ne defends pas Bencherif car je ne sais absolument rien de lui, mais je voudrais bien savoir comment un homme seul peut égorger la moitié d’une section et réussir à prendre la fuite. Ce n’est pas comme lâcher une rafale avec une mitrailleuse ou une grenade, un couteau ça prend du temps et ça fait du bruit. Pendant qu’il s’attaque au premier, les autres ne vont pas rester là à ne rien faire. Même s’ils dorment ils vont se réveiller et réagir. Qu’il ait le temps de poignarder un soldat, d’accord. Deux déjà c’est très difficile à croire. Plus que ça c’est de l’imagination.
    Mais je répète que je ne défends pas Bencherif. S’il avait pu le faire, il l’aurait peut-être fait, je n’en sais rien, je dis seulement que c’est physiquement impossible à croire.

    Mhand
    8 août 2018 - 10 h 28 min

    Et pourquoi il s’est retrouver libre a circuler a paris en plein guerre de liberation?? et il est mort a Paris non!
    Yaw Fakou!

      L
      9 août 2018 - 1 h 26 min

      J’ai lu quelque part, il est mort en Jordanie. Allah Yarhmou

    UMERI
    8 août 2018 - 10 h 25 min

    Pendant la Révolution, les es services de sécurité de l’armée coloniale, ont donné instruction a leurs troupes, de tuer en premier, les anciens combattants algériens, qui ont servi pendant la guerre mondiale, ceux qui ont participé au Vietnam, car ils constituent un danger, en raison de leur expérience qu’ils peuvent mettre a profit, pour former les éléments de l’ A L N.
    Quant a ce soldat, qui se réveille un peu tard, il n’a peut-être pas été témoin,des ravages causé par l’aviation française, en déversant ses bombes au Napalm, causant des pertes en vies humaines et la disparition de villages entiers. Témoignages contre témoignages, dans les excès et les abus, la balance penchera certainement du coté de la France coloniale.

    Rayés Al Bahriya
    8 août 2018 - 10 h 07 min

    Et qui a usurpé le pouvoir EN 1962 ? C’est eux, l’armée des frontières déguisée en ALN…
    Bencherif avait exécs uté le colonel Chabani soul’ordre de Ben Bella…

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