Résistance
Par Mohamed K. – La mobilisation populaire doit se concentrer sur le rejet de cette énième mascarade électorale promise aux Algériens, en imaginant les moyens pacifiques à mettre en œuvre.
Mépris et mensonges
Par Abdelkader S. – En affirmant que l’armée «n’a pas de candidat», Gaïd-Salah insulte l’intelligence des Algériens. Un mensonge de plus dans une imposture tissée avant la déchéance de Bouteflika.
Menace larvée
Par Mohamed K. – Gaïd-Salah insinue que l’armée sera déployée le jour de l’élection présidentielle qu’il veut imposer au peuple. Une autre bravade de celui dont les Algériens réclament le départ immédiat.
Benflis consent
Par Abdelkader S. – Faisant lui-même patrie de l’arrière-garde, septuagénaire, complice pendant de longues années du régime Bouteflika, Ali Benflis s’offre aujourd’hui encore aux tenants du pouvoir.
Les points sur les «i»
Par Karim B. – Dire qu’en relevant l’inanité d’un régime qui mène le pays aux abysses nous défendons les prévenus de Blida serait faire une lecture étriquée d’un article qui rappelle l’illégitimité du pouvoir.
Déraciner les régimes
Par Mohamed K. – Avec le soulèvement égyptien, le Mouvement populaire algérien est désormais perçu comme l’action qui, par son caractère pacifique, fera chuter les régimes dictatoriaux dans plusieurs pays.
Alger aux Algériens !
Par Karim B. – Alger sera encore plus remplie aujourd’hui que les vendredis passés et les voix des millions de manifestant s’élèveront dans le ciel pour dire à Gaïd-Salah et sa clique : dégagez !
Tel un sphinx
Par Mohamed K. – Donné comme partant depuis plusieurs semaines, l’actuel gouvernement continue à sévir envers et contre tous. Rejeté par la rue au départ, il l’est maintenant par la classe politique.
Aventurisme
Par Mohamed K. – Comme attendu, Abdelkader Bensalah s’est plié à la volonté du pouvoir de fait que représente le chef d’état-major, en convoquant le corps électoral à la date voulue par ce dernier.
Le moral de Gaïd
Par Abdelkader S. – Gaïd-Salah n’aime pas qu’on attente à son moral. Car l’armée c’est lui. Il la résume à sa petite personne en laquelle il voit le demiurge auquel le soldat comme le civil doivent dévotion.