L’étincelle à Boudouaou ?

R. Mahmoudi – La menace du ministre de l’Intérieur à l’encontre des enseignants grévistes de prendre des mesures musclées en cas de persistance du mouvement de protestation, ne s’est pas fait attendre, puisque, selon les échos qui nous sont parvenus hier, un impressionnant dispositif de sécurité y a été déployé dès le début de la soirée, dans l’attente d’un ordre pour faire évacuer la place. Encore une fois, le gouvernement préfère recourir à la répression pour résoudre un conflit social et prouve, par-là, son incapacité à assurer la stabilité et la paix sociales autrement que par les voies radicales, lesquelles voies ne font qu’approfondir le malaise partagé par de larges franges de la société. Les autorités, notamment le ministère de l’Education, ont-ils épuisé toutes les voies de recours avant de donner l’«assaut» ? Sont-ils conscients des conséquences que peut entraîner une telle décision ? La question n’est plus aujourd’hui de savoir si les revendications des enseignants grévistes sont légales ou non, ni de chercher à comprendre comment a été prise, au départ, la décision de marcher sur la capitale, puis celle d’entamer une grève de la faim au bout d’un périple de plus de 200 kilomètres, même si beaucoup reste à dire sur ce point. Toute la responsabilité morale incombe à Mme Benghebrit – qui a fait montre d’un zèle incompréhensible – et au gouvernement qui, non seulement n’ont pas su anticiper les événements à la veille du fameux concours de recrutement des enseignants, qui risque d’ailleurs de raviver la flamme, mais ont fait l’erreur de traiter le problème sous le seul angle de la loi. Alors qu’il s’agit, dans pareils cas, de privilégier un traitement politique et éthique. Car, avant tout, la situation que vivent les enseignants contractuels et vacataires, pose un problème plus global et plus crucial –celui de la précarité de l’emploi en Algérie – et d’une profonde crise sociale. Un gouvernement est là pour y apporter des remèdes et non pas pour l’aggraver.
R. M.

Comment (35)

    amal
    17 avril 2016 - 5 h 25 min

    @Bison (non vérifié) | 16.
    @Bison (non vérifié) | 16. avril 2016 – 11:25

    Celà provient de l’influence de la religion dans l’enseignement en allemagne où les conceptes de « vocatio » et « missio canonica » ont encore tout leurs poids dans ce domaine.
    Celà me rappelle d’ailleurs les méthode de recrutement des chouyoukhs de nos zaouia dans le passé. L’élève qui veut se perfctionner faisait un séjour chez ses maitres qui l’initient dans leurs spécialités puis ils lui remettaientt « el mithaq » en présence de témoins (parfois il boit de l’eau d’un récipient mis sur la tête du cheikh, mais là je crois que dans certaines régions les talba le font chaque jour avant les cours).

    RIENADIRE
    16 avril 2016 - 10 h 42 min

    @amal: ce type de recrutement
    @amal: ce type de recrutement existe deja en algerie.c’est le cas par exemple des enseignants des ecoles primaires.le candidat a l’enseignement suit un cursus de 4 longues annees de formation intensive al’issue desquel il effectue un stage trés encadré est souvent visiter par l’inspection charger de l’evaluer.la titularisation n’arrive que quant le candidat a satisfait a toutes ces epreuves.
    le probléme se pose pour l’autre type de recrutement ou ces contractuels aprés une courte formation, voire pas de formation universitaire, ont eu l’opportuniter d’un poste d’enseignat est qui se sont sedentariser sans se preocuper de leur avenire.
    aujourd’hui la chance d’un concours d’acceder a d’autres droits que leur interdisait la precariter, leur est offerte.
    l’ouverture des concours pour tous, permet aussi de donner la chance a d’autres personnes de pouvoir pretendre a des poste d’enseignant qui etait jusque la distribues aux plus nantis ou chanceux.
    c’est aussi la une occasion d’homogeiniser le niveau des enseignant.
    il faudrait demander a ces contractuel aujourd’hui dans la rue comment ils ont obtenu se poste qu’ils defende tant aujourd’hui.est le moyen le plus sure de le garder encore c’est de apsser le concours est non de s’endormir sur les paver comme ils le font depuis quelques jours.

    Bison
    16 avril 2016 - 10 h 25 min

    @amal,
    Nous sommes loins de

    @amal,

    Nous sommes loins de là, mais surtout engager sur concours des fonctionnaires est de la triche et néfaste pour le climat général du pays.
    ……..
    T’as sûrement fait l’école algérienne et uniquement l’école algérienne d’ailleurs ! Excuse moi de te dire que tes infos et ton exemple sur l’école ou plutôt la formation des enseignants allemands qui se retouve en droite ligne avec l’exemple de bouderbala sur les école scandinaves, Suède si je me rappelle bien; sont des hors sujets ou comparer des choses incomparable… long a expliquer!
    En effet, partir de tes infos et ton exemple grandiose pour arriver a ta conclusion a couper le souffle (la même d’ailleurs que celle de bouderbala) comme quoi par le fait que la qualité de notre formation ne soit pas la même qu’en Allemagne (j’espère qu’un allemand égaré ne va pas lire ca) selon toi et ne soit pas également a la hauteur de celle ses scandinaves (amis viking ne vous fachez pas) selon bouderbala alors les fonctionnaires peuvent ou souvent être embaucher sans concours! Concours remplacer par la marche et grève de afin! Ça promet!

    raselkhit
    16 avril 2016 - 9 h 54 min

    Il était grand temps que les
    Il était grand temps que les pouvoirs publics réagissent prennent le taureau par les cornes On ne peut plus accepter que les plus rétrogrades gèrent ce pays par des coups de forces L’école algérienne doit évoluer vers la modernité 15 siècle que nous subissons le dictat des conservateurs rétrogrades Au XXIème siècle l’école algérienne doit être une école moderne tournée vers l’avenir On doit voir ce qui se passe dans les états nations qui avancent et sans perdre notre personnalité algérienne évoluer vers les technologies du futur Si certains veulent tout obtenir sans travailler ils peuvent rêver mais pas entraver la marche du peuple Réfléchir effectivement comment les autres nations évoluent ce n’est que par le travail et non par les discours creux vides et rétrogrades un peuple doit d’abord travailler les autres questions seront résolues par le travail Tout un chacun est endroit de se poser la question « Qu’Est-ce que je peux pour mon pays?

    amal
    16 avril 2016 - 6 h 16 min

    @sami (non vérifié) | 15.
    @sami (non vérifié) | 15. avril 2016 – 21:33

    Ces gens ont déjà enseigné, vous vous rappelez? On ne peux pas ramener des gens des grandes écoles que nous n’avons pas!
    D’ailleurs même en allemagne par exemple la formation d’un enseignant se fait par la pratique. Il y a une formation à la base, bien sûr, dans des écoles sprécialisée où l’élève est envoyé là où ils ont besoin de lui pour pratiquer et est directement suivi par des formateurs, des inspecteurs, toute une armada de sprécialistes qui le connaissent personnellement. Son niveau est discuté par une commission spécialement constituée pour lui et il évolue ainsi, suivi, ses mentors connaissant chaque aspect de lui, chaque défaut, chaque qualité et il est conseillé en prenant concrètement compte de ces aspects là; chaque enseignant est « construit » brique par brique à la faveur de la pratique et jusqu’à la décision à prendre s’il sera fonctionnaire – aprés lui avoir attribué ses propres classe qu’il devra suivre – ou restera contractuel. Nous sommes loins de là, mais surtout engager sur concours des fonctionnaires est de la triche et néfaste pour le climat général du pays.

    Anonyme
    15 avril 2016 - 22 h 34 min

    La détermination des
    La détermination des enseignants contractuels et le caractère pacifique et citoyen de leur démarche suffisent pour convaincre de la légitimité de leur revendication. Ils ne demandent pas l’aumône ni une augmentation salariale. Juste la préservation d’un emploi qu’ils ont choisi depuis des années et qui les fait vivre.

    Anonyme
    15 avril 2016 - 21 h 30 min

    Quand le chef du pouvoir
    Quand le chef du pouvoir algérien rend visite à une organisation internationale qui a le souci de la bonne régulation du monde du travail, les membres de cette dernière doivent savoir qu’ils accueillent le premier responsable d’un pays où :

    * La grève de la faim est souvent le dernier recours des travailleurs.

    * Les syndicats autonomes sont réprimés et non reconnus malgré leur présence sur le terrain.

    * La centrale syndicale officielle – même si elle s’accapare le sigle de l’UGTA qui sut, en son temps, porter le combat syndical et anti-colonialiste des Algériens – n’est aujourd’hui que l’appendice bureaucratique d’un régime brutalement anti-populaire.

    La rhétorique du pouvoir, en l’absence totale d’espace public libéré du chantage et de la répression, ne se prive ni de manipuler les faits, ni de trafiquer les chiffres réels sur le chômage et la pauvreté.
    Aujourd’hui même, les enseignants manifestent à l’appel des syndicats autonomes pour demander l’ouverture d’un dialogue sérieux sur leurs conditions de travail et pour dénoncer les mesures d’intimidations prises par l’administration à l’encontre de leurs représentants.
    Alors que le gouvernement se targue de procéder à une réforme de l’enseignement, les premiers concernés, à savoir les enseignants, sont exclus du débat et traités par le mépris et la répression.

    sam
    15 avril 2016 - 20 h 38 min

    Tous ont un point commun une
    Tous ont un point commun une origine et une cause : Bouteflika.
    Sans Bouteflika ? Point de Saidani Ghoul Khelil al Maroki Tliba Les humiliations de Valls…etc…etc…
    Pour tout algérien qui respecte son pays, sachez différencier ce régime et ce ridicule pharaon avec l’Algérie et son peuple…On veut nous lier aux déboires de Bouteflika bessif….Or on ne lui a rien demander si ce n’est de partir loin avec sa Famille et sa tribu d apatrides et d’escrocs…
    ***************************

    Vous vous rappelez son premier mandat ?
    Il avait mis plus de 6 mois pour constituer son gouvernement.
    Il disait être à la recherche « d’Hommes d’Etat ».
    Rétrospectivement, on sait ce que ce vocable signifie chez lui: Al Capone et Dillinger.

    sami
    15 avril 2016 - 20 h 33 min

    Si on veut un enseignement de
    Si on veut un enseignement de qualité,alors exit le social.Sous d’autres cieux l’enseignement primaire et secondaire est primordial,et n’y accède que celle ou celui qui possède un permis d’enseignement qui est délivré par concours ou après de longues études dans une Grande École normale. Ces contractuels devraient accepter l’offre du Ministère qui est de comptabiliser dans l’évaluation du concours les années d’ancienneté.Benghébrit a hérité ce problème crée de toute pièce par benbouzid qui devrait être condamné pour crime contre l’humanité.Et c’est le régime et non Benghebrit qui refuse de négocier.C’est peut-être bien l’étincelle

    Rachid
    15 avril 2016 - 18 h 41 min

    Par Anonyme (non vérifié) |
    Par Anonyme (non vérifié) | 15. avril 2016 – 12:03

    Benghabrit ?? Une énième imposture signé Bouteflika.
    Incompétence irrascibilite et totalement dévouée non pas au pays et son mandat maïs à celui qui l’a nommé..

    Comme Hamel elle a totalement infesté son ministère de loyaux et dociles collaborateurs pour la plupart issus de l’extrême ouest…Elle est le parfait clone de Bouteflika en matière de gouvernance.. Autoritarisme ridicule autisme et incompétence.

    L’après Bouteflika annonce un désastre sans précédent tant tous les secteurs stratégiques sont en ruines..
    :::::::::::::::

    Des ministres de Bouteflika parmi eux une femme sont nommés à la demande de France.

    anonyme
    15 avril 2016 - 16 h 09 min

    Non, non et non, Monsieur
    Non, non et non, Monsieur Mahmoudi ! Sauf le respect que je vous dois, permettez-moi de vous dire que vous faites tout faux en croyant, à l’image de ceux qui ont déjà mis le pays à genoux par les mêmes procédés d’ordre politique, que le cas de ces trabendistes « malgré eux » de l’enseignement va être réglé, une fois de plus, sous le… même angle politique. Nous avons trop tendance, dans notre pays, à tout politiser alors que, pour votre gouverne personnelle, vous êtes censés ne pas ignorer que c’est la politique à outrance, la politique à n’importe quelle sauce, la politique à tout prix qui, en permettant à n’importe quel quidam de s’improviser militant politique de tel ou tel parti et de vouloir faire n’importe quoi, sous prétexte qu’il est dans le vrai, c’est cette politique là qui a tout dénaturé, tout dévoyé. Car le drame de l’Algérie, voyez-vous, c’est qu’il suffit qu’il y ait la moindre alerte, de n’importe quelle nature qu’elle soit, pour qu’on politise aussitôt ce qui, au départ, n’était peut-être qu’un tout petit incident d’ordre purement technique, ou administratif. Ici précisément, Vous voyez bien que même si le problème en question a une origine d’ordre politique, à savoir les passe-droit de triste mémoire de l’Etat-Parti unique des années 1960-70-80, qui de façon causale ont malheureusement permis la situation présente, son traitement, aujourd’hui, ne peut être que d’ordre purement technique, à la limite administratif. Et la ministre de l’Education, si je ne m’abuse, n’a rien fait d’autre que de suggérer, dans le respect de la loi, que ces enseignants se présentent au concours et ce, afin que les choses rentrent définitivement dans l’ordre. Pourquoi donc voulez-vous que ces choses là se compliquent alors que les données sont pourtant claires. Pour apporter une solution à un problème donné, il faut, que je sache, bien le comprendre d’abord. Savoir ce qu’il a exactement dans le « ventre ». C’est à cette condition et à cette condition seulement, me semble-t-il, qu’on peut lui apporter une solution idoine. Or ici, le problème a été déjà identifié comme tel, et le traitement prôné par la ministre de l’Education se trouve être des plus adéquats. Pourquoi aller chercher je ne sais où ailleurs, alors que le traitement en question est empreint de cette éthique que vous évoquez précisément dans votre article, mais en même temps avec son contraire, à savoir le politique. Ou alors préfèreriez-vous que cette ministre, déjà mise à mal par les islamistes, les médiocrates et les incompétents pour les raisons que vous connaissez, accepte encore une fois le fait accompli et qu’elle rejoigne la meute des contrefacteurs de tous bords, au grand dam des légalistes et des défenseurs des normes universelles dans ce pays ? Ne vous suffit-il pas de constater que l’Algérie a déjà trop souffert du grand « squatt » multidimensionnel qui la ronge dans tous les domaines, telle une malédiction et ce, depuis plus d’un demi-siècle, pour qu’on lui en rajoute encore, afin de la mettre définitivement à terre, afin qu’elle ne puisse plus se relever ? Sans rancune, n’est-ce pas ? J’espère ne pas être censuré par AP.

    Anonyme
    15 avril 2016 - 15 h 19 min

    @Par RasElHanout (non
    @Par RasElHanout (non vérifié) | 15. avril 2016 – 15:40

    Pour une fois ce pouvoir pourri a raison. La rue doit cesser de gerer le pays

    ………..

    Si la rue gérait le pays, les voleurs ne s’achèteraient pas une virginité chez les zaouïas des harkis.
    L’Algérie n’est pas géré, elle déambule toute seule sous le rythme des corrompus.

    Anonyme
    15 avril 2016 - 15 h 12 min

    Par sam (non vérifié) | 15.
    Par sam (non vérifié) | 15. avril 2016 – 11:41
    « Les algériens ont prit l’habitude de piétiner les lois de la république »
    Chakib Khalil ?
    Bouchouareb
    Ghoul ?
    Bedjaoui
    Saadani ?
    Tliba ?
    etc…

    ………………

    Tous ont un point commun une origine et une cause : Bouteflika.

    Sans Bouteflika ? Point de Saidani Ghoul Khelil al Maroki Tliba Les humiliations de Valls…etc…etc…

    Pour tout algérien qui respecte son pays, sachez différencier ce régime et ce ridicule pharaon avec l’Algérie et son peuple…On veut nous lier aux déboires de Bouteflika bessif….Or on ne lui a rien demander si ce n’est de partir loin avec sa Famille et sa tribu d apatrides et d’escrocs…

    Anonyme
    15 avril 2016 - 14 h 48 min

    Si seulement ce sinistre de
    Si seulement ce sinistre de l’intérieur fait sortir ses chiens pour nettoyer nos rues des délinquants qui nous rendent le quotidien infernal. Il est plus facile de tabasser les pauvres enseignants.

    RasElHanout
    15 avril 2016 - 14 h 40 min

    Pour une fois ce pouvoir
    Pour une fois ce pouvoir pourri a raison. La rue doit cesser de gerer le pays

    TheBraiN
    15 avril 2016 - 14 h 22 min

    Le complot Français se
    Le complot Français se précise !
    D’un côté ça pousse les « activistes » à manifester , d’un autre ça incite les autorités à « rétablir l’ordre » !
    Ceci rappelle parfaitement le scénario Tunisien !

    habmlouk
    15 avril 2016 - 13 h 21 min

    Monsieur Mahmoudi, je vous
    Monsieur Mahmoudi, je vous demande de bien vouloir considérer la situaton sous un angle un peu moins polémique, même si le journalisme c’est aussi cà.

    Madame la ministre se trouve en posture délicate devant des revendications qui demandent à être discutées dans le calme et la bienséance. Le refus du dialogue et la recherche d’une solution par la tentative de coup de force, que représente cette occupation de fait de la place publique , ne relève plus du dialogue, mais du domaine de la loi et de l’ordre.

    Le plus simple et le retour à la raison et de reccourir au dialogue. Madame le Ministre mérite le respect qui est due à sa fonction, femme qui plus est, les insultes et les procès d’intention sont nuls et non avenues.Nous sommes tous des algériens…!

    Anonyme
    15 avril 2016 - 13 h 11 min

    Le ministre de l’intérieur

    Le ministre de l’intérieur n’a pas de patience pour les enseignants….Il a une juste une seule passion. Organiser la tournée de chakib chez les zaouias des harkis.
    Aujourd’hui, le voleur Chakib a pris son bain chez une zaouïa de mascara.
    Que j’ai honte pour mon pays.

    RIENADIRE
    15 avril 2016 - 12 h 58 min

    @bison: c’est meme pas a la
    @bison: c’est meme pas a la ministre d’intervenir mais aux parent de contrecarer ces paresseux de contractuel en les rappelant a leur poste parce qu’il ait de leur responsabilité de veiller à la bonne scolarisation de leurs enfant.aujourd’hui ce a qui on a offert la possibilité de travailler est d’integrer le corps enseignant crache dans la soupe, se detourne des main tendue pour leur offrir une voie de titularisation.
    quant dans d’autre parent on traque les eleves pour les recadrer est les rescolariser en algerie ce sont les enseignant precaire sans poste fixe a qui on offre une chance inouie d’avoir un avenir serieux, qui snobe les propositions est s’en vont hurler sur la place publique l’injustice des nouvelle mesure. faut-il en rire ou pleurer..tous depent de quel coter de la frontiére on se trouve

    Anonyme
    15 avril 2016 - 12 h 49 min

    Je ne comprend toujours pas
    Je ne comprend toujours pas pourquoi on refuse catégoriquement de recevoir ces manifestants ? Ils sont pacifiques, ce ne sont pas des voyous ni des extrémistes ! Ce sont des algériens comme les autres non ?
    J’espère juste que ce n’est pas parce que c’est des kabyles ?

    RIENADIRE
    15 avril 2016 - 12 h 06 min

    encore une fois ce qui est
    encore une fois ce qui est discutable ici n’ets pas le droit de greve ou de manifester mais les raison qui motivent ces gesticulations. troubler l’ordre public pour un caprice de favoris contractuel qui craignent que leurs qualites d’enseignant eest competences soit mises a mal par le passage obligé d’un concours.
    ne detournons pas le probléme de l’incompetnce des uns en chargeant ceux qui ont l’audace de proposer des changements a l’autre moitier du peuple ( celle des oubliés, des defavorisés, des manchots, de smeritants mais sans pouvoir etc…)beaucoup de cerveau timides, de talents, de genies restent dans l’ombre de cette population faute de soutien, de peur d’etre recalés parce que les poste sont pourvus avant meme qu’ils soit publier.
    donc cette mesure de selection, qui ne protége que les méritants, meriterait d’etre mise en place ets tester.si il y a des contestation aprés, la loi qu’on evoque tant ici, peut etre rappeler a ce moment la est on peut tenter des recours devant les tribunaux competents si le concours est frauduleux.
    cessons ces petite combine qui consiste a s etaler dans les rue pour echapper a un concours est a ces responsabilites a l’approche des examens.

    Anonyme
    15 avril 2016 - 11 h 06 min

    J’habite en France ,je vais
    J’habite en France ,je vais faire un périple de 2000kms pour demander un logement gratuit pour ma retraite si possible près de la plage de mon village!
    Çà va continuer longtemps le chantage ,les blocages de route ,les vols d’énergie et d’eau ect ect…
    Monsieur,vous devez éduquer les gens et non les encourager à défier les lois de la RÉPUBLIQUE.

    Anonyme
    15 avril 2016 - 11 h 03 min

    Benghabrit ?? Une énième
    Benghabrit ?? Une énième imposture signé Bouteflika.
    Incompétence irrascibilite et totalement dévouée non pas au pays et son mandat maïs à celui qui l’a nommé..

    Comme Hamel elle a totalement infesté son ministère de loyaux et dociles collaborateurs pour la plupart issus de l’extrême ouest…Elle est le parfait clone de Bouteflika en matière de gouvernance.. Autoritarisme ridicule autisme et incompétence.

    L’après Bouteflika annonce un désastre sans précédent tant tous les secteurs stratégiques sont en ruines..

    Anonyme
    15 avril 2016 - 10 h 57 min

    Par Anonyme (non vérifié) |
    Par Anonyme (non vérifié) | 15. avril 2016 – 8:15

    Monsieur R. Mahmoudi, notre gouvernement et nos ministres ont besoin de suivre une formation en communication politique pour savoir gérer et anticiper les conflits.
    …………

    Et pourtant ces dirigeants chantent la paix ailleurs.
    Il sont toujours présents pour éteindre les étincelles quand il s’agit d’un autre pays. Mais chez eux, au lieu déteindre pacifiquement, ils préfère sortir leurs chiens.

    Anonyme
    15 avril 2016 - 10 h 55 min

    Vous dites  » Mme Benghebrit –
    Vous dites  » Mme Benghebrit – qui a fait montre d’un zèle incompréhensible « . C’est a peine croyable, insinuez vous que les contractuels font preuve de bonne volonté. Ne melangeons pas les choses avec le Ministere de l’Interieur; il est la pour assurer l’ordre public, ne lui pretez pas d’autres intentions. SUr une chaine privée j’ai vu une contractuelle exigeait que leurs enfants soient prioritaires dans les recrutements. Une sorte d’heritage familial, allez vous soutenir cette demarche ? Nous verrons donc bientot la profession des parents faire partie de la « fredha » (texte religieux determinant les parts dans un heritage.

    sam
    15 avril 2016 - 10 h 51 min

    Je rappelle juste que marches
    Je rappelle juste que marches et grève sont des actions de revendications permises par les lois de la (drôle de) République.
    Par contre, trafic d’influence, abus de bien sociaux, du prévarication, rapine, et corruption ne le sont pas.
    (Quoique, je commence sérieusement à en douter par les temps qui courent…)

    Bison
    15 avril 2016 - 10 h 45 min

    Moi je suggère a madame la
    Moi je suggère a madame la ministre, pour rendre justice et dans l’intérêt des élèves pris en otage, d’exclure tous vacataires déserteurs de leurs classes ! C’est facile a faire, il suffit de voir les cahiers de présence! Des enseignants capables de jouer avec l’avenir des élèves que peut-on attendre d’eux, des enseignants capables de déserter des postes qu’ils ont accepté d’occuper jusqu’à fin de leurs contrats quattendez- vous d’eux une fois titulaires !? Des enseignants qui refusent de passer des concours comme tout le monde et recourent au chantage pour faire aboutir leurs revendications , quel exemple peuvent-ils donner a leurs élèves…etc
    Mais selon. Certains commentaires et autres observateurs professionnels c’est la faute a madame la ministre ou a son intransigeance »!
    Visiblement, tout le monde n’est pas contre d’obtenir un poste sans passer passer de concours ou par le mérite!
    On veut améliorer l’Algérie mais personne n’est prêt a rennnoncer a ces petites habitude s même mauvaise s!!

    sam
    15 avril 2016 - 10 h 41 min

    « Les algériens ont prit
    « Les algériens ont prit l’habitude de piétiner les lois de la république »
    Chakib Khalil ?
    Bouchouareb
    Ghoul ?
    Bedjaoui
    Saadani ?
    Tliba ?

    etc…

    Anonyme
    15 avril 2016 - 9 h 48 min

    il y a une fin à tout et un
    il y a une fin à tout et un début de fin à tout !
    en quoi passer un concours est scandaleux ?
    peur du piston ,des passe droits ,
    justice remplacée par les zaouïas,
    fraudes massives institutionnalisées,
    emploi politique
    remplacement des uns par les nouveaux affiliés

    la ministre est soutenue par le ministre du travail et celui des forces de l’ordre ;
    a t on utilisé tous moyens pour « dégoupiller » cette mine ?
    surement non ;
    des parties tapies dans l’ombre veulent briser l’élan réformateur de la ministre et surtout mettre à l’épreuve la gouvernance actuelle ,mise à nue par l’étranger.
    Boudouaou n’est pas loin d’alger .

    RIENADIRE
    15 avril 2016 - 9 h 40 min

    la ministre Benghibrit a
    la ministre Benghibrit a proposé de valoriser l’experience professionnel des contractuels qui venait a passer le concours augmentant ainsi leur chance de l’obtenir et à ceux qui echouerait ils serait prioritaire pour la reconduction de leur contrat. peut-on faire mieux comme gestes et diplomatie????
    il y a quelque chose d’aberrant dans toute cette histoire ou tous le monde se met dans un etat d’hysterie sans qu’il y cause ni motif legitime : oui pourcquoi craindre tant un concours quant on est dans l’enseignement depuis, pour certain de trés nombreuses année, et qu’on a participé a la formation de futurs professeurs, medecin,chef d’entreprise, etc..c’est a s’interroger tous de meme. on ne craint pas la responsabilité d’enseigner, de former les futurs cerveau de ce pays mais on a peur d’echouer a de petites epreuves, faite sur l’echelle nationale.qu’ele aurait été la reaction si on avais demender a ces contractuel de l’enseignement d’aller mesurer leur savoir est leur competences a une autre echelle,plus internationale???
    si on veut dissoudre toute la hogra, les probleme de piston, de droit aquis frauduleusemnt il faut passer par de nouvelle mesure.est le plus difficile etant bien evidemment de les ACCEPTER.quant on veut avoir des droit et faveur d’un statut il faut egalement accepter de s’acquitter des obligations inhérente a ce statut.
    quelq parent vont accepter de confier leur enfant a des formateur qui ont peur de passer des preuves les qualifiant et qui legaliserait leur statut et poste d’enseignant ?????

    lhadi
    15 avril 2016 - 9 h 21 min

    .
    .
    Toute personne, selon

    .
    .
    Toute personne, selon l’art 60 Chapitre v : des devoirs la constitution algérienne, fusse-t-elle ministre de l’intérieur censé ne pas ignoré la loi, est tenue de respecter la constitution et de se conformer aux lois de la république.
    .
    Le droit de manifester ainsi que le droit de grève sont inscrits sur le marbre de la loi fondamentale de la république.

    Un ministre compétent doit d’une part, anticiper les problèmes qui peuvent surgir et d’autre part, privilégier en toute circonstance la cohésion nationale.
    .
    Le problème auquel est confronté la ministre de l’éducation nationale aurait pu être évité si un amendement, visant à faciliter la titularisation des contractuels, eut été déposé.

    Cette armada de contractuels dont l’expérience professionnelle est indéniable, pourrait, dans ces conditions, faire valoir ses doléances sur la base d’un dossier demandé.
    .
    Le vent de la colère de cette corporation aurait pu, aurait du être évité pour le bien des uns et des autres et in fine de la nation.
    .
    Fraternellement lhadi
    
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    elkhayam
    15 avril 2016 - 8 h 44 min

    Les algériens ont prit
    Les algériens ont prit l’habitude de piétiner les lois de la république par des marches et des grèves de la faim.

    amal
    15 avril 2016 - 8 h 32 min

    Il aurait quand-même fallu
    Il aurait quand-même fallu agir avec diplomatie.
    Benghebrit serait apparemment une autre incapable.
    Pourtant, le fait de séparer les examents des enseignants contractuels de celui des nouvelles recrues aurait pu régler le problème et éteindre la mèche.
    Mais encore fallait-il, pour trouver des solutions, faire preuve d’une volonté réèlle et civilisée de régler le conflit. Or, régler un conflit est un art qui s’apprend dans les universités et fait partie de la formation pour acceder à des postes de management.
    La préparation est aussi un aspect important pour « régler » les conflits, savoir dés le départ la réaction vis-à-vis de telle ou telle décision. Y a t-il des spécialiste qui ont fait un « brain-storming » pour prévoire toutes les possibles réaction vi-à-vis de cette décision? J’en doute!
    Mais pour appliquer les règles pour le règlement d’un conflit, la triche n’a pas lieu d’être, « fairness » doit être évidente pour le plus faible et une culture du respect de l’autre doit être à la base, tout comme un sentiment d’être complémentaires, d’avoir le même but.
    On ne peut pas continuer à gouverner à coups de matraque au 21ème siècle.
    Notre société gouvernée jusque là par les « coups d’oeils assassins » doit faire son choix, le bon choix qui plait à tout le monde sans effusion de sang.

    RIENADIRE
    15 avril 2016 - 7 h 16 min

    il est difficile de
    il est difficile de comprendre ces mouvements de greve a la veille des examens et dans une période tres difficile pour le pays.la responsabilite morale incombe a chacun et non a la seule ministre. mettre en place de nouvelles mesures n’est jamais aisé surtout lorsque ces mesures peuvent bouleverser les privileges acquis par certains. en quoi c’est scandaleux de passer un concours?a l’heure ou on veut lutter contre les passe-droits, corruption, piston, n’est ce pas le meilleur moyen de donner la chance a chaque algerien de pouvoir obtenir un poste par ses seules capacites et competences?par ailleurs, a l’heure ou on n’a cesser de critique la qualite de l’enseignement dans ce pays,il etait temps de commencer a mettre en palce un autre systeme d’evaluation et de selection des enseignants puisque jusque la le recrutement etait critiquer autant que la qualite des enseignements.
    comme dans tous pays, il est difficile de mettre en place de tels changements sans provoquer quelques remous et contestations. il est de la responsabilite de chacun d’entamer un dialogue avec serenite au lieu de s’ecrouler sur les places publiques et donner un spectacle pathetique au monde. les dirigeants de ce pays devraient tendre davantage l’oreille, accorder plus d’interet aux requetes des protestataires au lieu de brandir une quelconque menace. surout à l’heure actuelle ou de nombreux regards interessés sont tournes vers ce pays.
    si les contractuels deja en poste venaient a echouer au concours, on leur assuré qu’ils seraient prioritaires pour le renouvellement de contrats alors pourquoi toute cette agitation?
    n’est il pas inconscient d’encourager ces actions de greve et de mouvements de rue alors que le pays traverse l’un des plus difficiles moments ?

    Anonyme
    15 avril 2016 - 7 h 15 min

    Monsieur R. Mahmoudi, notre
    Monsieur R. Mahmoudi, notre gouvernement et nos ministres ont besoin de suivre une formation en communication politique pour savoir gérer et anticiper les conflits.

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