Le moral de Gaïd
Par Abdelkader S. – Gaïd-Salah n’aime pas qu’on attente à son moral. Car l’armée c’est lui. Il la résume à sa petite personne en laquelle il voit le demiurge auquel le soldat comme le civil doivent dévotion.
Dangereux pyromanes
Par Houari A. – Les pyromanes qui ont commandité l’agression contre Salah Dabouz visent à creuser les clivages déjà exploités pour essayer de diviser le Hirak et le détourner de son caractère pacifique.
La pilule du «vice-»
Par Kamel M. – Ce n’est plus le départ des polichinelles Bensalah et Bedoui que le peuple réclame haut et fort, mais celui du tenace Gaïd-Salah. Un changement de gouvernement est un non-événement.
Marche victorieuse
Par Mohamed K. – Que va faire le pouvoir après avoir vu la réaction du peuple ? Va-t-il s’entêter à maintenir les échéances édictées dans un climat aussi tendu ? Va-t-il chercher d’autres subterfuges ?
Les fossoyeurs
Par Karim B. – La répartition du gâteau ne s’étant pas déroulée comme l’auraient voulue ceux qui nous chantent les vertus de la probité, une guerre pour la poursuite du pillage fait rage sous nos yeux.
Embarrassante hâte
Par Houari A. – Trois raisons pourraient avoir poussé le chef d’état-major à faire son annonce dans la précipitation, malgré les remous que celle-ci va provoquer et bien qu’il sache que le boycott sera massif.
Slogans contre laïus
Par Karim B. – Les slogans pertinents et percutants scandés par des millions de manifestants chaque semaine sont des réponses cuisantes aux dissertations hypnagogiques de Gaïd-Salah.
Libérer l’ENTV
Par Houari A. – L’ENTV doit revenir au peuple qui en est le seul maître. C’est à lui qu’elle doit soumission et obéissance car lui seul en fixe la ligne de conduite. C’est aussi cela l’esprit de l’article 7.
Il sème la division
Par Houari A. – Le chef d’état-major, Gaïd-Salah, et les quelques fidèles qu’il compte encore autour de lui s’emploient à répandre les graines de la division entre les militaires et le peuple.
Horreur et incurie
Par Saïd N. – Le Mouvement populaire du 22 Février a occulté le conflit larvé autour des lieux du culte mais le délitement des institutions a fait remonter toutes les horreurs refoulées. Le pire est à craindre.