Ben Salmane et l’UMA
Par R. Mahmoudi – Si rien n’a filtré des objectifs officiels de la visite du prince héritier d’Arabie Saoudite en Algérie, un tel déplacement ne devrait pas se limiter à une présence symbolique.
Par R. Mahmoudi – Si rien n’a filtré des objectifs officiels de la visite du prince héritier d’Arabie Saoudite en Algérie, un tel déplacement ne devrait pas se limiter à une présence symbolique.
Par Akram Chorfi – Comment l’Algérie peut-elle s’ouvrir au Maroc quand, en le faisant, elle s’ouvre à des entités étrangères qui gèrent, en marionnettistes habiles, les affaires de ce royaume ?
Par Bachir Medjahed – Des centaines de millions d’euros transférés illégalement par des Algériens. Pourtant, c’est à eux de développer le pays et non aux étrangers. Mais là n’est pas leur souci.
Par Akram Chorfi – Sans fonction sociale, l’activité partisane perd sa vocation dynamique et se perd dans les méandres électoralistes. Alors, quels partis politiques pour cette Algérie du XXIe siècle ?
Par Bachir Medjahed – Une élection clôture une fin de transition et ne l’ouvre pas. Sommes-nous dans une phase de transition qui n’a pas encore commencé ou une phase déjà consommée ?
Par Bachir Medjahed – Plus l’échéance présidentielle approche, plus on remarque que le pouvoir a mis en place une véritable stratégie d’occupation de la scène politique. L’opposition est étouffée.
Par Akram Chorfi – La vie politique du pays est submergée de faits partisans et de guerres intestines qui n’apportent rien aux citoyens algériens et qui n’ont même pas vocation à enrichir la vie politique.
Par Bachir Medjahed – Le monde arabe va changer. Il est en train de changer. Dans le sang. Peut-être va-t-il sombrer d’abord vers l’islamisme, la démocratie ou des guerres internes interminables.
Par Sadek Sahraoui – Nicolas Beau vient de donner la preuve qu’il nourrit une haine viscérale à l’encontre de l’Algérie, et que l’un de ses objectifs est de mener une guerre sans merci aux services algériens.
Par Bachir Medjahed – Pour la 4e fois, la main sur le Coran, le Président avait prêté serment face à la nation. Il s’était engagé à défendre les institutions. Pas à défendre les amis au détriment des institutions.