Opposition laminée
Par Bachir Medjahed – Nous avons des oppositions, non pas parce qu’elles sont contre le pouvoir, mais parce qu’elles ne sont pas intégrées au pouvoir. La nuance est de taille.
Par Bachir Medjahed – Nous avons des oppositions, non pas parce qu’elles sont contre le pouvoir, mais parce qu’elles ne sont pas intégrées au pouvoir. La nuance est de taille.
Par Akram Chorfi – L’Algérien, à peine visible dans la sphère entrepreneuriale dans son pays, devient une véritable référence et d’une utilité indispensable dans un pays qui n’est pas le sien.
Par Rabah Toubal – L’histoire des Al-Saoud, qui règnent depuis 1847 sur le Nejd et le Hidjaz – l’ossature du royaume d’Arabie Saoudite – est parsemée de trahisons et autres crimes abominables.
Par Bachir Medjahed – La mise hors jeu des députés de l’opposition traduit la certitude que dans le cadre du système actuel, la vie parlementaire politique n’a pas besoin qu’il existe une opposition.
Par Akram Chorfi – Il ne suffit pas, pour aller vers l’exportation de la production nationale hors hydrocarbures, de procéder à la rituelle mise à niveau de l’entreprise avec ses différentes articulations.
Par Rabah Toubal – Il ne manquait que la monstrueuse affaire Jamal Khashoggi aux pays arabes pour parachever le triste tableau qu’ils offrent au monde, depuis longtemps déjà.
Par Bachir Medjahed – L’Algérie excelle à se mettre par elle-même dans une posture difficile, en se payant le luxe de laisser se cultiver les facteurs de crise qu’elle inscrit dans des limites gérables.
Par Bachir Medjahed – Quelqu’un disait qu’il faudrait «traiter les citoyens aussi bien que les actionnaires». Les citoyens détiennent, en effet, bien une part de ce pays ou, plutôt, de cet Etat.
Par Akram Chorfi – Il n’y a d’économie viable et productive, en dehors de la rente pétrolière, que celle qui se fait par l’entreprise, de même qu’il n’y a de société que celle qui se fait par la famille.
Par Bachir Medjahed – Tous les Etats du monde arabe sont condamnés, tôt ou tard, à initier des processus démocratiques. «Printemps arabe» ou pas, cette démocratisation inexorable est une fatalité.