Droit dans le mur
Par Mrizek Sahraoui – Macron voulait incarner le Président d’un monde nouveau mais au rythme de ses déconvenues et désillusions, il va finir par compléter la liste des Présidents du monde ancien.
Par Mrizek Sahraoui – Macron voulait incarner le Président d’un monde nouveau mais au rythme de ses déconvenues et désillusions, il va finir par compléter la liste des Présidents du monde ancien.
Par Bachir Medjahed – A supposer que le Président décide seul, selon son intime conviction, déciderait-il du sort de tout un pays au gré de ses humeurs et de ses lubies ? Qui a le pouvoir et qui l’exerce ?
Par R. Mahmoudi – Avec le départ arraché de «haute lutte» du Président, une nouvelle ère s’ouvre sur le pays, avec ses espérances désormais permises mais, aussi, ses craintes de désenchantement.
Par M. Aït Amara – S’il faut se réjouir de ce que la justice et la gendarmerie ont ouvert des enquêtes sur les affairistes qui ont profité du système Bouteflika, il faut se demander pourquoi n’avoir pas agi avant.
Par Houari A. – Que cherchent les Tunisiens ? Après le groupe d’activistes en mission à Alger, c’est au tour du correspondant de l’agence Reuters de s’illustrer par une campagne d’intox.
Par Bachir Medjahed – Les pouvoirs croient que l’emploi de la force sera perçu comme procédant d’une détermination alors que l’insistance des populations est une détermination qui ne faiblira pas.
Par Bachir Medjahed – L’article «sans eux» ne règle plus rien. Durant ces cinq années, à combien s’élèvent les fruits de la corruption ? Combien de procès ont été orientés sur intervention ?
Par M. Aït Amara – Les buccinateurs du Quai d’Orsay à Alger s’échinent à produire des arguments pour discréditer tout témoignage qui démasquerait les velléités d’ingérence de la France.
Par R. Mahmoudi – L’acte VI des manifestations prévues ce vendredi sera un baromètre déterminant de ce que sera la suite des événements après l’appel de l’ANP à l’application de l’article 102.
Par R. Mahmoudi – Les attaques se sont concentrées sur Ahmed Ouyahia. Mais en plus des slogans vindicatifs qui le ciblent chaque vendredi, les coups viennent cette fois-ci de son propre camp.