Choléra et politique
Par Akram Chorfi – La responsabilité politique du gouvernement est engagée dans la réapparition du choléra en Algérie, locomotive de l’Afrique en matière de développement humain.
Par Akram Chorfi – La responsabilité politique du gouvernement est engagée dans la réapparition du choléra en Algérie, locomotive de l’Afrique en matière de développement humain.
Par M. Aït Amara – Les rodomontades exaspérantes de Hassan Aribi sur les réseaux sociaux et sur une chaîne privée doivent être contrées à travers tous les canaux pacifiques possibles.
Par Akram Chorfi – Comment faire transiter l’Algérie d’un système qui concentre tous ses ressorts sur le fait social aux dépens d’autres domaines plus prioritaires du point de vue stratégique ?
Par M. Aït-Amara – Des citoyens agacés de voir nos rues transformées en ruisseaux de sang et en dépotoirs pour les peaux gluantes ont posté des images dégoûtantes sur les réseaux sociaux.
Par Nouredine Benferhat – Les moutons sont introduits dans les immeubles, ce qui n’a été observé nulle part ailleurs. Qui doit empêcher ces pratiques qui transgressent les règles de la vie citadine ? L’Etat.
Par Akram Chorfi – L’Occident, fort d’un empire médiatique, a établi ses vérités et entend les tenir pour vraies aux yeux de son opinion publique, quitte à défendre le mensonge le plus effronté.
Par Akram Chorfi – La cherté de la vie n’est pas sans stresser les Algériens. Pour eux, présidentielle ou pas, rien ne risque de changer et ce n’est qu’une diversion de plus.
Par Hani Abdi – Aujourd’hui, un seul homme, Ould-Abbès, occupe et anime la scène politique par ses déclarations des plus extravagantes à l’égard de ses «partenaires» politiques.
Par Akram Chorfi – L’Aïd El-Kebir n’est pas la fête de la dépense ruineuse. C’est du moins ainsi qu’elle devrait se pratiquer, contrairement à la réalité qui est tout autre, le signe d’une dérive sociale.
Par Akram Chorfi – Le système est un mythe que nous avons créé pour éviter de culpabiliser en tant qu’habitants – pas encore citoyens – quant à notre responsabilité sur le sort de l’Algérie.